Event Tracking

IOM Yemen DTM’s Rapid Displacement Tracking (RDT) tool collects data on estimated numbers of households forced to flee on a daily basis from their locations of origin or displacement, allowing for regular reporting of new displacements in terms of estimated numbers, geography, and needs. It also tracks returnees who returned to their location of origin.

From 1 January to 10 August 2024, IOM Yemen DTM tracked 2,077 households (HH) (12,462 Individuals) who experienced displacement at least once.

Between 4 and 10 August 2024, IOM Yemen DTM tracked 55 households (330 individuals) displaced at least once. The majority of people moved into/within the following governorates and districts:

• Ma’rib (36 HHs) – Ma’rib City (20 HHs), Ma’rib (11 HHs), Harib (5 HHs) districts. Most displacements in the governorate originated from Al Hodeidah and Hajjah.
• Al Hodeidah (18 HHs) – Al Khukhah (9 HHs), Hays (9 HHs) districts. Most displacements in the governorate were internal.
• Ta’iz (1 HH) – Al Qahirah (1 HH) district. All displacements in the governorate originated from Ibb.

The majority of people moved from the following governorates and districts:

• Al Hodeidah (28 HHs) – At Tuhayta (7 HHs), Al Jarrahi (7 HHs), Ad Durayhimi (3 HHs) districts.
• Ta’iz (6 HHs) – Maqbanah (4 HHs), Al Waziyah (2 HHs) districts.
• Hajjah (5 HH) – Mabyan (3 HHs), Hayran (2 HHs) districts.

IOM identified 41 additional households displaced in the previous reporting period, which covered 28 July - 03 August 2024, in the governorates of Al Hodeidah (22 HHs), Ta’iz (11 HH), and Ma’rib (8 HHs). These figures have been added to the cumulative displacement total recorded since the beginning of the year.

Between 29 July and 4 August 2024, a total of 832 new arrivals were recorded at locations in Benue State. The new arrivals were recorded at locations in Agatu, Guma, Gwer-west, Logo and Ukum local government areas (LGAs) of Benue State.

Between 29 July and 04 August 2024, a total of 1,590 new arrivals were recorded at locations in Adamawa and Borno states. The new arrivals were recorded at locations in Askira/Uba, Bama, Damboa, Dikwa, Gwoza, Hawul, Kala Balge, Mobbar, Monguno and Ngala Local Government Areas (LGAs) of the most conflict-affected Borno State, and in Fufore, Girei, Gombi, Guyuk, Hong, Lamurde, Madagali, Michika, Mubi North, Mubi South, Numan, Song, Yola North and Yola South LGAs of Adamawa State.
ETT assessments identified the following movement triggers: poor living conditions (564 individuals or 35%), military operation (461 individuals or 29%), seasonal farming (214 individuals or 14%), improved security (88 individuals or 6%), fear of attack (86 individuals or 5%), government re-integration (82 individuals or 5%), family re-unification (56 individuals or 4%) and access to humanitarian support (39 individuals or 2%).

In South Sudan, a complex humanitarian crisis is unfolding due to various factors such as communal conflicts, land disputes, insecurity, violence, natural disasters, and displacement across borders.

From the 16th to the 31st of July 2024, 9,186 returnees arrived in seven different counties within the country. All the recorded returnees were displaced from Sudan because of the ongoing Sudan crisis that started in April 2023. Most returns (2,517 individuals) cited Northern Bahr el Ghazal as their state of destination.

South Sudan is grappling with a multifaceted humanitarian crisis marked by significant internal displacements. The factors fueling these displacement dynamics are diverse, encompassing communal clashes, land disputes, insecurity, violence, disasters, and cross-border movements.

Between 16th and 31st July 2024, a series of events led to the displacement of 3,180 individuals across Aweil West (2,190 individuals), Jur River (522 individuals), and Panyijar counties (468 individuals). Key informants have indicated that these displacements were primarily caused by flood-related disasters.

Environ 910,000 personnes ont traversé la frontière vers le Tchad depuis le début de la crise au Soudan, incluant 201,379 parmi eux sont des retournés tchadiens. L'OIM s’attend à ce que ce nombre passe à 240,000 d’ici fin décembre 2024, en raison de la  reprise du conflit au Darfour.

An estimated 910,000 people have crossed into Chad since the onset of the crisis in Sudan, of which 201,379 among them are Chadian returnees. IOM expects this number to rise to 240,000 through to December 2024. This is due to ongoing conflict and food insecurity in Darfur, owing to the current suspension of the humanitarian corridor between Chad and Darfur.

L’évaluation rapide de l’OIM (Emergency Event Tracking, EET) est un outil mis en place dans le but de collecter des informations sur les mouvements importants et soudains des populations. Ces informations sont collectées à la suite de visites terrain et/ou d’entretiens téléphoniques avec les informateurs clés des sites de déplacement ou des communautés d’accueil. Les informations sont ensuite recueillies dans les outils ERM. Ce rapport synthétique présente les résultats des évaluations réalisées du 20 – 24 juillet 2024 à travers des évaluations menées sur terrain avec les informateurs clé.

Depuis ledébutdel'année2023, les affrontements entre le groupe M23 et les forces armées congolaises (FARDC) ont occasionné un mouvement de population des territoires de Rutshuru et Masisi. Les populations déplacées se sont rendues dans les villages de Minova, Bwisha, Kalungu, Kitembo, Bugulube, Mukwidja, Kiniezire, Bubale 1 et 2, (dans les groupements de Buzi et Mbinga-Nord, dans la chefferie de Buhavu, dans le territoire de Kalehe).

Récemment, certains déplacés qui vivaient jadis dans les familles d'accueil, les centres collectifs et les sites spontanés des villages ci-haut cités ont décidé de repartir vers les villages de Musinga, Fadhili, Kafunzi et Mushenyi/Mabula (dans le groupement Mbinga-Sud, dans la chefferie de Buhavu, dans le territoire de Kalehe, dans la province du Sud-Kivu).

L’évaluation rapide de l’OIM (Emergency Event Tracking, EET) est un outil mis en place dans le but de collecter des informations sur les mouvements importants et soudains des populations. Ces informations sont collectées à la suite de visites terrain et/ou d’entretiens téléphoniques avec les informateurs clés des sites de déplacement ou des communautés d’accueil. Les informations sont ensuite recueillies dans les outils ERM. Ce rapport synthétique présente les résultats des évaluations réalisées du 19 – 26 juillet 2024 à travers des évaluations menées sur terrain avec les informateurs clé.

Depuis le 26 juin 2024, les affrontements entre les groupes armés M23 et les Forces armées congolaises (FARDC) ont occasionné un mouvement de population dans le Nord-Kivu et le Sud-Kivu, respectivement dans les territoires de Masisi (groupement de Ufamandu 1 et 2, dans la chefferie de Bahunde) et de Kalehe (groupement de Buzi, dans la chefferie de Buhavu). Les populations, estimées à 1 872 ménages, soit 11 232 individus, se sont déplacées vers les villages de Mukwija, de Nyamasasa, de Kiniezire et Karango (dans le groupement de Binga-Nord, dans le territoire de Kalehe).

La population déplacée n’a toujours pas reçu d’assistance humanitaire depuis le début de cette crise. La DTM signale toute fois que le mouvement continue suite à la dégradation de la situation sécuritaire dans le territoire.

L’évaluation rapide de l’OIM (Emergency Event Tracking, EET) est un outil mis en place dans le but de collecter des informations sur les mouvements importants et soudains des populations. Ces informations sont collectées à la suite de visites terrain et/ou d’entretiens téléphoniques avec les informateurs clés des sites de déplacement ou des communautés d’accueil. Les informations sont ensuite recueillies dans les outils ERM. Ce rapport synthétique présente les résultats des évaluations réalisées du 19 – 25 juillet 2024 à travers des évaluations menées sur terrain avec les informateurs clé.

À cause des affrontements entre le groupe M23 et les forces armées congolaises (FARDC) et des affrontements entre les groupes armés Mai-Mai Mwenye Asili et Raiya Mutomboki dans la province de Sud-Kivu, des déplacements de la population ont été enregistrés, dépuis le 22 juin 2024, dans les limites des villages de Busurungi, Biriko, Mutindi et Ufamando (dans le groupement Walowalwando, dans la chefferie de Bakano, dans le territoire de Masisi, de la province du Nord-Kivu) et dans les localités de Chabonda, Byola, Kinene et Mafuo (dans le groupement de Kalima, dans la chefferie de Buhavu, dans le territoire de Kalehe, de la province du Sud-Kivu).

La totalité des personnes déplacées a trouvé refuge dans les familles d’accueil des communautés hôtes des Centres Kambale, Bulambika, et Kichanga.