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Monthly overview of:

• Arrivals in the Western Balkans
• Top three nationalities at arrivals in the reporting month
• Migrants presence in reception facilities
• Assisted Voluntary Returns and reintegration

This report provides insights into the profiles, experiences, needs, routes travelled and intentions of migrants transiting through the Western Balkans. IOM surveyed 979 migrants from 1 September to 30 September 2024 in Albania, Bosnia and Herzegovina, Montenegro, North Macedonia, Serbia and Kosovo*.

*References to Kosovo* shall be understood in the context of UN Security Council Resolution 1244 (1999).

En août 2024, 38 627 mouvements migratoires ont été observés aux points de suivi des flux (PSF) de Djibouti. Parmi ces mouvements, 20 383 étaient entrants en provenance d'Éthiopie, soit une hausse de 6 % par rapport à juillet. Les migrants d’origine soudanaise (15) et tchadienne (4) ont été enregistrés dans les mouvements se dirigeant vers l’Arabie saoudite, caractérisant ainsi la diversification des nationalités de migrants en transit dans le pays.

Au cours de cette période, le nombre de migrants bloqués a augmenté de 6 % en raison principalement, d’une part, au renforcement des mesures de sécurité par les autorités djiboutiennes sur les côtes d’Obock et, d’autre part, des fortes pluies dans les régions où certains oueds en crue ont réduit des mouvements de migrants.

In August 2024, 38,627 migratory movements were observed at Djibouti's flow monitoring points (FMPs). Of these movements, 20,383 were inbound from Ethiopia, an increase of 6 per cent from July.

Migrants of Sudanese (15) and Chadian (4) origin were recorded in the movements heading for Saudi Arabia, thus characterising the diversification of the nationalities of migrants in transit in the country.

During the period, the number of migrants stranded increased by 6 per cent, mainly due to the Djibouti authorities stepping up security measures on the Obock coast and to heavy rainfall in the regions where some flooded wadis reduced migrant movements.

Este reporte brinda información sobre el volumen de las poblaciones que transitan durante las horas de observación en tres puntos fronterizos del Perú (Tumbes, Tacna y Desaguadero). A través de esta herramienta se recopila información una vez a la semana y estima el volumen de los flujos observados.

Este reporte brinda información sobre el volumen de las poblaciones que transitan durante las horas de observación en tres puntos fronterizos del Perú (Tumbes, Tacna y Desaguadero). A través de esta herramienta se recopila información una vez a la semana y estima el volumen de los flujos observados.

La province du Nord-Kivu, est confrontée à un conflit persistant caractérisé par la présence de divers acteurs armés tels que le groupe Mouvement du 23 mars (M23/AFC) les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et leurs allies. La persistance de ce conflit, l'expansion de la zone d'influence du groupe M23 et l'activité d'autres groupes armés dans et autour de la ville de Goma (capitale de la province du Nord-Kivu) ont accru les défis sécuritaires et humanitaires.

Les efforts conjoints des acteurs régionaux et internationaux pour trouver une solution pacifique au conflit et faciliter le dialogue entre la RDC et le Rwanda ont abouti à la signature d'un accord de cessez-le-feu le 30 juillet 2024. Malgré ces efforts et le cessez-le-feu qui en a résulté, la période du 15 août au 30 septembre 2024 a été marquée par des affrontements impliquant le groupe M23, les forces liées au gouvernement congolais et d'autres groupes armés dans l'ensemble des territoires de Masisi, Rutshuru et Nyiragongo.

Les deux parties se sont fréquemment accusées mutuellement de violations du cessez-le-feu, ce qui a provoqué de nouveaux déplacements, des déplacements secondaires et de nouveaux déplacements de populations déjà rentrées chez elles. La situation est aggravée par les oppositions entre les différents groupes armés qui luttent pour le contrôle des localités face à l'expansion du M23.

Les déplacements prolongés et l'accès limité à l’assistance humanitaire continuent d'exacerber la complexité de la crise et la situation des populations déplacées et retournées. Goma et les zones adjacentes du Nord et du Sud-Kivu accueillent un grand nombre de personnes déplacées et manquent de ressources pour leur apporter un soutien suffisant.

Depuis le début de la crise, l'OIM, par le biais de la Matrice de Suivi des Déplacements (DTM), a continué à mener des évaluations rapides dans les territoires touchés, y compris le suivi des situations d'urgence (EET/ERM) et des analyses de crise, et enregistrer les nouveaux arrivants, dans le but de répondre aux besoins d'information immédiats concernant la dynamique des déplacements et les besoins humanitaires afférents.

Ce rapport présente les résultats des évaluations menées dans les zones de déplacement et de retour, entre le 30 juillet et le 9 octobre 2024, liées à la crise M23.

The province of North Kivu faces ongoing conflict characterised by the presence of various armed actors, notably the Mouvement du 23 mars (M23), the Congo River Alliance (AFC), the Armed Forces of the Democratic Republic of Congo (FARDC) and the regional forces of the Southern African Development Community (SADC). The persistence of this conflict, the expansion of the M23’s area of influence, and the activity of other armed groups in and around the city of Goma (the capital of North Kivu province), have increased security and humanitarian challenges.

Joint efforts by regional and international players to find a peaceful resolution to the conflict and facilitate a dialogue between the DRC and Rwanda led to the signing of a ceasefire agreement on 30 July 2024. In spite of these efforts, and resulting ceasefire, the period from 15 August to 30 September 2024 was marked by attacks and clashes involving M23, government forces, and other armed groups throughout Masisi, Rutshuru and Nyiragongo territories. There have been frequent accusations by both sides accusing the other of ceasefire violations, which have provoked new displacement, secondary displacement, and the displacement of previously returned populations. The situation is aggravated by rivalries between the various armed groups fighting for control of localities against M23 expansion.

Prolonged displacement and limited access to humanitarian aid continue to exacerbate the complexity of the crisis and the situations of both displaced and returnee populations. Goma and the adjacent cities to both North and South Kivu are hosting large numbers of displaced people and lack the resources to provide them with sufficient support.

Since the beginning of the crisis, IOM, via the Displacement Tracking Matrix (DTM), has continued to conduct rapid assessments in affected territories, including emergency monitoring (EET/ERM), crisis analysis, and registration, with the purpose of addressing immediate information needs surrounding displacement dynamics and humanitarian aid.

This report presents the results of the assessments carried out in the areas of displacement and return, between 30 July and 9 October 2024, linked to the ongoing M23 crisis.

Environ 910 000 personnes sont estimées avoir traversé la frontière vers le Tchad depuis le début de la crise au Soudan, incluant 222 743 parmi eux qui sont des retournés tchadiens depuis fin septembre. L’OIM s’attend à ce que ce nombre passe à 240 000 d’ici fin décembre 2024, en raison de la reprise du conflit au Darfour.