Fear of attacks and subsequent confirmed attacks in Ancuabe district by Non-State Armed Groups triggered displacements movements between 02-09 June. Recent attacks in Nanduli locality triggered the movements of 5,652 individuals within Ancuabe, Chiure, Quissanga, Balama, Mecufi, Mueda, Macomia, Montepuez, Meluco, Namuno, Nampula, Balama, Metuge and Cidade de Pemba. Approximately 246 IDPs have been identified with vulnerabilities. At least 32% of these movements are departures from sites in Metuge. New arrivals recorded within this report map 1,642 individuals predominantly moving into sites across Chiure, Metuge and Ancuabe.

Cette étude a cherché à comprendre plus précisément la nature des flux migratoires liés à l’extraction aurifère dans la région d’Agadez tout en prenant en compte les défis de protection posés pour les migrants, en particulier concernant leur accès aux soins de santé et leurs vulnérabilités face aux risques d’exploitation économique sur les sites d’or. La collecte de données s’est déroulée du 8 au 22 décembre 2021,

Since the onset of the war in Ukraine, a number of people fleeing from Ukraine to  neighbouring countries has been observed. This report presents findings based on cumulative and daily registrations, by the General Inspectorate for Border Police (GIBP), since 24 February 2022 onwards, of movement flows of Ukrainian refugees and third-country nationals (TCNs) entering from Ukraine to the Republic of Moldova from all Border Crossing Points (BCPs) and exiting the country from all BCPs, towards Romania and towards Ukraine, as well as via flights. In addition, it presents data on those who entered since 24 February and are still present in the country. 

Since 24 February 2022, an increasing number of people fleeing from Ukraine to the neighbouring countries has been observed, as a result of the war in Ukraine. As of 7 June, 489,283 Ukrainian refugees and third country nationals (TCNs) were registered at border crossing points (BCPs) while entering from Ukraine into the Republic of Moldova. Additionally, 87,621 Ukrainian refugees and TCNs, who have entered into the Republic of Moldova after 24 February, have since exited back to Ukraine.

This report presents a summary of displacement survey findings commissioned by the International Organization for Migration (IOM) in partnership with UN Women. Data were collected before crossing to Ukraine at three main border crossing points (BCPs) – Palanca and Tudora (Stefan Voda district in the South) and Otaci (Ocnita district in the North) between 16 April and 27 May. Individual crossings into Ukraine are not necessarily returnees and conclusions on definitive trends cannot yet be drawn. The sample is not representative of all persons crossing to Ukraine, and results should only be considered as indicative.

Fear of attacks and subsequent confirmed attacks in Ancuabe district by Non-State Armed Groups triggered displacements movements between 02-08 June. Recent attacks in Nduli locality triggered the movements of 4,887 individuals within Ancuabe, Chuire, Quissanga, Balama, Mecufi, Mueda, Macomia, Montepuez, Meluco, Namuno, Nampula, Balama, Metuge and Cidade de Pemba. Approximately 213 IDPs have been identified with vulnerabilities. At least 27% of totl movements observed are departures from sites in Metuge. New arrivals recorded within this report map 996 individuals predominantly moving into sites across Chiure, Metuge and Ancuabe.

L’OIM, à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport s’est faite du 1er au 30 Avril 2022 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois.

L’OIM, a travers l’outil de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring) de la Matrice de suivi des déplacements (DTM), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations (FMP) ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Dori/Seytenga en février 2018, à Kantchari en mars 2018, ainsi qu'à Faramana et Yendéré en avril 2018  pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.​

Au Burkina Faso, le suivi des flux de population se fait au niveau des quatre FMP et vise à mettre en lumière les zones particulièrement sujettes aux migrations transfrontalières et intrarégionales.

Ce rapport présente les données recueillies aux FMP du Burkina Faso en avril 2022.

L’OIM, a travers l’outil de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring) de la Matrice de suivi des déplacements (DTM), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations (FMP) ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Dori/Seytenga en février 2018, à Kantchari en mars 2018, ainsi qu'à Faramana et Yendéré en avril 2018  pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.​

Au Burkina Faso, le suivi des flux de population se fait au niveau des quatre FMP et vise à mettre en lumière les zones particulièrement sujettes aux migrations transfrontalières et intrarégionales.

Ce rapport présente les données recueillies aux FMP du Burkina Faso en mars 2022.

L’OIM, a travers l’outil de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring) de la Matrice de suivi des déplacements (DTM), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations (FMP) ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Dori/Seytenga en février 2018, à Kantchari en mars 2018, ainsi qu'à Faramana et Yendéré en avril 2018  pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.​

Au Burkina Faso, le suivi des flux de population se fait au niveau des quatre FMP et vise à mettre en lumière les zones particulièrement sujettes aux migrations transfrontalières et intrarégionales.

Ce rapport présente les données recueillies aux FMP du Burkina Faso en février 2022.

Según los últimos datos de Migración Colombia, a corte del 31 de agosto de 2021, al menos 264.148 refugiados y migrantes venezolanos residen en el departamento de Antioquia, lo que lo posiciona como el segundo departamento de Colombia con mayor número de migrantes. Con el fin de obtener datos actualizados y con mayor nivel de detalle requeridos para la elaboración de la política pública de la ciudad, en octubre de 2021, La Organización Internacional para las Migraciones(OIM) Colombia despliega la Matriz de Seguimiento de Desplazamiento (DTM) para personas refugiadas y migrantes con vocación de permanencia en Medellín, priorizando las comunas: Popular; Santa Cruz; Manrique; Aranjuez; Castilla; Doce de Octubre; Robledo; Villa Hermosa; Buenos Aires; La Candelaria; Laureles – Estadio; La América, San Javier; Belén y los corregimientos de San Cristóbal, Altavista, San Antonio de Prado y Santa Elena. Los resultados de esta actividad de recolección de información, se presentan en este informe compuesto por 10 apartados, que le permitirán a los distintos actores y sectores de respuesta tener una mayor comprensión del fenómeno migratorio presente en la ciudad.