Internal displacement

This report presents the findings of the Migrant Presence Monitoring (MPM) data collection exercise conducted by IOM in Lebanon from May to July 2024, covering all districts. The MPM is an annual assessment that aims to determine the number of migrants present in different areas of Lebanon to support humanitarian assistance and planning efforts. To ensure accurate data, the MPM relies on key informants (KIs), such as representatives from migrant communities, local leaders (mukhtars), and municipal officials. This year, recruitment agencies were also included as KIs to enhance data reliability in their respective areas. The assessment focuses on small areas to gather detailed and precise information. It not only categorizes migrants by nationality, sex, and age but also considers their living situations, distinguishing between “live-in” and “live-out” migrants. Overall, the MPM provides valuable insights into the migrant population in Lebanon, contributing to informed decision-making and effective support for those in need.

The information from IOM-MPM's findings, complementary to data from past assessments, aims to enable partners across the international community and Lebanese partners to have access to an evidence base on migrant presence, to support well-informed, targeted, and coordinated response. The complementary evidence generated from the MPM exercise also serves as a baseline and tertiary source for triangulation for other data collection exercises. For example, MPM data was used to develop of a sampling frame of migrants for the Multi-Sectorial Needs Assessment (MSNA) 2021, 2022 and 2023 exercises led by the Humanitarian Country Team (HCT).

The MPM assessment follows the methodology of IOM’s global Displacement Tracking Matrix (DTM) Mobility Tracking component. Tailored to the operational context in Lebanon, the MPM assessment analyzes data to provide multi-layered information on the presence and mobility of migrants. This assessment aims to complement existing data collection exercises and it is implemented in coordination with key actors to maximize synergies, interoperability and avoid duplication.

This report reflects data corresponding to Sudan Mobility Update (6) dataset. The dataset is available here.

Overview: 
This report provides an overview of the total population of internally displaced persons (IDPs) in Sudan, including those displaced both before and after the onset of the conflict on 15 April 2023.   
 
Key Findings: 

• An estimated total of 10,763,116 IDPs were displaced to 8,842 locations, in 183 localities, across all 18 states in Sudan. 
• An estimated 7,987,783 individuals were displaced internally within Sudan since 15 April 2023.  
• An estimated 27 per cent of IDPs who were initially displaced prior to the onset of the current conflict experienced secondary displacement since 15 April 2023.  
• Approximately 2,316,538 individuals crossed borders into neighbouring countries since 15 April 2023.  
• The top states of origin among IDPs were Khartoum (34%), South Darfur (19%), and North Darfur (14%).   
• The states hosting the most IDPs were South Darfur (17%), North Darfur (15%) and Gedaref (9%).  
• Over half (52%) of IDPs were reportedly children under the age of 18-years-old.  

Annex 1 includes an operational matrix with a table of estimated IDPs per state, disaggregated by displacement before versus after 15 April 2023.  

Note: The number of IDPs displaced post 15 April 2023 (7,9987,783 IDPs) includes the estimated 1,045,439 IDPs who were initially displaced prior to 15 April 2023 and experienced secondary displacement since 15 April 2023. DTM Sudan defines an internally displaced person as any person who has been forced or obliged to flee from their habitual residence due to an event dating from 2003 onwards. 

La région de Maradi, située dans le centre sud du Niger, fait face à une crise humanitaire grave en raison du conflit en cours et des attaques de groupes armés non étatique (GANE). Environ 18 000 personnes originaires de plusieurs localités de la région ont été contraintes de se déplacer pour fuir les menaces. Les déplacés internes, les réfugiés et les communautés d’accueil sont confrontés à des défis majeurs tels que l’accès restreint à l’eau potable, à la nourriture, aux
soins de santé, à l’électricité et à l’éducation. Les organisations humanitaires s’efforcent activement de répondre à ces besoins urgents en fournissant une aide vitale, en soutenant les infrastructures locales et en protégeant les droits des personnes touchées. Cependant, la situation demeure préoccupante et nécessite une attention continue ainsi que des ressources supplémentaires pour atténuer les souffrances et trouver des solutions durables.

Afin de trouver des solutions durables aux déplacements internes et de prévenir de nouveaux déplacements dans la région, il est crucial de comprendre les niveaux de stabilité dans les zones accueillant les populations déplacées. L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a introduit l’indice de solution et de mobilité (ISM) en 2023 pour évaluer la stabilité des zones accueillant les rapatriés ou les populations déplacées dans la région de Maradi. Cet indice vise à identifier les facteurs qui influent sur la stabilité d’un lieu afin de déterminer les interventions prioritaires pour la transition et le rétablissement, renforçant ainsi la résilience et la stabilité dans une région marquée par les conflits et les déplacements.

L’ISM mesure les perceptions de stabilité et analyse les facteurs influençant les décisions des populations de rester ou de se déplacer. Il fournit un outil permettant aux autorités et aux partenaires de développer des stratégies plus efficaces, de prioriser les ressources et de planifier les interventions dans les zones fragiles et instables, en intégrant des approches humanitaires, de relèvement et de stabilisation. Ce rapport présente les résultats du premier cycle de collecte de données de l’ISM, réalisé entre le 18 novembre et le 8 décembre 2023 dans la région de Maradi, au Niger.

L’évaluation rapide de l’OIM (Suivi des Urgences) est un outil mis en place dans le but de collecter des informations sur les mouvements importants et soudains des populations. Ces informations sont collectées à la suite de visites terrain et/ou d’entretiens téléphoniques avec les informateurs clé des sites de déplacement ou des communautés d’accueil. Les informations sont ensuite recueillies dans les outils Évaluation Rapide Multisectorielle (ERM). Ce rapport synthétique présente les résultats des évaluations réalisées du 06 – 10 août 2024 à travers des évaluations menées sur terrain avec les informateurs clé. Evaluation réalisée lors d’entretiens téléphonique avec des informateurs clé.

En date du 29 juillet 2024, les affrontements ont eu lieu entre les groupes armés Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et Twa dans le village de Tumbwe Koki et dans le site de Kantambo (tous les deux dans le groupement de Tumbwe Fief, dans la chefferie de Tumbwe, dans le territoire de Kalemie, province du Tanganyika). À cause des affrontements, la population des villages directement touchés (Tumbwe Koki, Nkosa, Chai, et camp Kantambo) a préventivement déplacé vers les villages Mapanda, Kawama Mulwanyi, Likasi et Kasama (2 530 individus, soit 506 ménages). Les personnes déplacées sont actuellement hébergées en familles d’accueil,
dans un site spontané (dans Kasama) ou les centres collectifs : l’église 8eme Communauté des Églises Pentecôtistes en Afrique Centrale (CEPAC) à Mapanda et Communauté des Églises Pentecôtistes au Congo (CEPECO) à Kawama.

L’évaluation rapide de l’OIM (Suivi des Urgences) est un outil mis en place dans le but de collecter des informations sur les mouvements importants et soudains des populations. Ces informations sont collectées à la suite de visites terrain et/ou d’entretiens téléphoniques avec les informateurs clé des sites de déplacement ou des communautés d’accueil. Les informations sont ensuite recueillies dans les outils Évaluation Rapide Multisectorielle (ERM). Ce rapport synthétique présente les résultats des évaluations réalisées du 05 – 09 août 2024 à travers des évaluations menées sur terrain avec les informateurs clé.

Du 27 juillet au 06 août 2024, les quartiers Nyamugo, Nyakaliba, Kasali dans la commune de Kadutu, les quartiers Ndendere et Panzi dans la commune d’Ibanda, et le quartier Mulambula dans la commune de Bagira, ont fait face à une série d’incendies déclenchés par plusieurs causes, telles que l’imprudence lors de la cuisson, des pannes d’installation électrique des panneaux solaires et du courant de la société nationale d’électricité, et des incendies criminels. Ces incendies ont causé des dégâts matériels, brûlant environ 400 habitations à Nyamugo, 300 habitations à Ndendere, et 20 habitations à Nkafu. Cela a déplacé environ 9 075 individus, soit 1 815 menages, les obligeant à s’installer provisoirement dans des familles d’accueil dans les communes de Kadutu, Ibanda, et Bagira, dans la province du Sud-Kivu.

Mobility Tracking and Multi Sectoral Location Assessment Data was collected in Wajir County between 1 and 19 November 2023. Key findings included:

• Drought was the main reported driver of displacement: 21% of sub locations reported that they had to travel more than 45 minutes by foot to access drinking water

• Key informants in 30 sub-locations reported they had no functional water sources

• Of the 20,500 assessed households in the county, 1,871 households were headed by children. Of these, 1,124 children (60%) were without relatives or community support and 309 (17%) children were without any support

• 90% of arrivals arrived at sub-locations which already struggled with the severe effects of drought, resource-based conflict, and ethnic clashes indicating that ‘arrivals’ had insufficient resources to travel to more distant, resource-rich environments and indicating a possible cycle of displacement as needs are not met in locations of displacement

• 89%of key informants reported the presence of pastoralist households. Yet two thirds of pastoralist households dropped pastoralism between

• six months to one year before data collection- at the peak of the drought period This indicates significant economic and cultural shifts for pastoralists 67%

Over 5,800 individuals have been displaced in the region of Ghat (southwestern Libya) after heavy rains caused flooding in the towns of Ghat and Tahala. The majority of displaced individuals are being hosted by family members while others are sheltered in camps and schools. The location of displaced individuals is outlined in the flash update.