Monthly Overview of:

• Arrivals in the Western Balkans
• Top three nationalities at arrivals in the reporting month
• Migrants presence in reception facilities
• Assisted Voluntary Returns and reintegration

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• Arrivals in the Western Balkans
• Top three nationalities at arrivals in the reporting month
• Migrants presence in reception facilities
• Assisted Voluntary Returns and reintegration

La région de Liptako-Gourma, située à la frontière entre le Niger, le Burkina Faso et le Mali, est une zone particulièrement affectée par des crises multidimensionnelles englobant des défis sécuritaires, humanitaires, et de développement. Confrontée à l'insécurité croissante due à la présence de groupes armés non étatiques et à des conflits intercommunautaires, cette région connaît des niveaux élevés (environ 190.000 personnes) de déplacement interne de populations. Les besoins humanitaires y sont considérables, incluant un accès urgent à la nourriture, à l'eau potable, aux soins de santé, et à l'éducation pour les personnes déplacées et les communautés d'accueil. Les efforts de réponse aux besoins des personnes affectées sont entravés par le manque de ressources et par les difficultés d'accès dues à l'insécurité, soulignant ainsi l'importance d'une approche intégrée qui combine assistance humanitaire et initiatives de développement pour adresser les causes profondes de la crise.

Afin de trouver des solutions durables aux déplacements internes et de prévenir de nouveaux déplacements dans la région, il est crucial de comprendre les niveaux de stabilité dans les zones accueillant les populations déplacées. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a introduit l’Indice de Solution et de Mobilité (ISM) en 2019 pour évaluer la stabilité des zones accueillant les rapatriés ou les populations déplacées dans le Tahoua et Tillabéri. Cet indice vise à identifier les facteurs qui influent sur la stabilité d'un lieu afin de déterminer les interventions prioritaires pour la transition et le rétablissement, renforçant ainsi la résilience et la stabilité dans une région marquée par les conflits et les déplacements. L’ISM mesure les perceptions de stabilité et analyse les facteurs influençant les décisions des populations de rester ou de se déplacer. Il fournit un outil permettant aux autorités et aux partenaires de développer des stratégies plus efficaces, de prioriser les ressources et de planifier les interventions dans les zones fragiles et instables, en intégrant des approches humanitaires, de relèvement et de stabilisation. Ce rapport présente les résultats du quatrième cycle de collecte de données de l'Indice de stabilité, réalisé entre le 18 novembre et le 8 décembre 2023 dans les régions de Tahoua et Tillabéri, au Niger.

Les régions de Tahoua et Tillabéri, situées dans l'ouest du Niger, font face à des défis humanitaires et sécuritaires complexes exacerbés par des conflits armés et des crises alimentaires récurrentes. Les deux régions sont confrontées à des déplacements massifs de population, résultant des attaques de groupes armés et des tensions intercommunautaires. Tillabéri, en particulier, est souvent le théâtre de violences transfrontalières, obligeant des milliers de personnes à fuir leurs foyers. Ces déplacements mettent une pression supplémentaire sur les ressources limitées et les infrastructures locales, aggravant les conditions de vie des populations hôtes et déplacées. Les efforts humanitaires se concentrent sur la fourniture de services essentiels tels que l'eau, la nourriture, et les soins de santé, ainsi que sur le renforcement de la résilience communautaire. Malgré les défis, des initiatives locales et internationales s'efforcent d'améliorer la sécurité, de stabiliser les communautés, et de faciliter le retour volontaire et sécurisé des déplacés dans leurs zones d'origine.

Afin de trouver des solutions durables aux déplacements internes et de prévenir de nouveaux déplacements dans la région, il est crucial de comprendre les niveaux de stabilité dans les zones accueillant les populations déplacées. L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a introduit l’Indice de Solution et de Mobilité (ISM) en 2019 pour évaluer la stabilité des zones accueillant les rapatriés ou les populations déplacées dans le Tahoua et Tillabéri. Cet indice vise à identifier les facteurs qui influent sur la stabilité d'un lieu afin de déterminer les interventions prioritaires pour la transition et le rétablissement, renforçant ainsi la résilience et la stabilité dans une région marquée par les conflits et les déplacements. L’ISM mesure les perceptions de stabilité et analyse les facteurs influençant les décisions des populations de rester ou de se déplacer. Il fournit un outil permettant aux autorités et aux partenaires de développer des stratégies plus efficaces, de prioriser les ressources et de planifier les interventions dans les zones fragiles et instables, en intégrant des approches humanitaires, de relèvement et de stabilisation. Ce rapport présente les résultats du quatrième cycle de collecte de données de l'Indice de stabilité, réalisé entre le 4 et le 23 mars 2023 dans les régions de Tahoua et Tillabéri, au Niger.

In May 2024, Transhumance Flow Monitoring tool identified 1,912 herders in Kaduna State and 172 herders in Katsina State. The herd count was estimated at 8,376 for Kaduna State and 4,358 for Katsina State. Notably, 97 per cent of the total number of herders departed from states within Nigeria, while the remaining 3 per cent departed from Niger.

On the 7th of July 2024, IOM Displacement Tracking Matrix (DTM) conducted a rapid intention survey covering Renk TC 1, 2 and TC-Extension.
The objective of the assessment is to understand the population's return intentions, preferred destinations of return, as well as reasons for choosing to remain in the transit center.
As of the start of data collection, a total of 10,735 individuals (8,130 returnees and 2,605 refugees) were reported to be present at the Renk TC while 652 households were sampled to be interviewed with the vast majority of respondents being South Sudanese (99.8%)

On 24 March 2024, East Sepik province in Papua New Guinea, experienced an earthquake and preceding flooding which affected an estimated 11,269 individuals from 2,204 households and as well, left an estimated 2,436 individuals from 523 households displaced. 

The affected population are within their community of origin. This displacement profile presents findings from the Displacement Tracking Matrix (DTM) assessment conducted in communities of East Sepik from 14 – 21 of June 2024.