Ce tableau de bord présente les principaux résultats de suivi des mouvements de populations dans la province
de l’Ituri, à l’issue du huitième cycle d’évaluation conduit par l’unité la Matrice de suivi des déplacements
(Displacement Tracking Matrix, en anglais (DTM)) de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Ces évaluations ont été réalisées à travers un exercice de collecte de données conduit du 5 au 25 juillet 2022,
en collaboration avec l’ONG locale, Réseau d’Action pour le Développement et le Progrès Intégré (RADPI),
et la Commission Nationale pour les Réfugiés (CNR). Lors du ce cycle, un total de 5 685 villages, couvrant
36 zones de santé (ZS), ont été évalués à travers des consultations avec 15 608 informateurs clés.

Ce tableau de bord présente les principaux résultats de suivi de mouvement de la population dans la province du
Tanganyika à l’issue du huitième cycle d’évaluation conduit par l’unité DTM de l’OIM. Ces évaluations ont été réalisées à
travers un exercice de collecte de données conduit du 6 juillet au 10 août 2022, en collaboration avec l’Organisation nongouvernmentale (ONG) locale Promotion de Développement Humain et Protection de l’Environnement Social (PDHPES)
et la Division Provinciale des Affaires Humanitaires (DIVAH Tanganyika). Lors de ce cycle, un total de 5 081 villages,
couvrant 11 zones de santé (ZS), ont été évalués à la suite de consultations menées auprès de 14 633 informateurs clés.

Ce tableau de bord présente les principaux résultats de suivi des mouvements de la population dans la province du Sud-Kivu à l’issue du neuvième cycle d’évaluation conduit par la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix en anglais (DTM)) de l’OIM. Ces évaluations ont été réalisées à travers un exercice de collecte de données conduit du 1 au 31 juillet 2022, en collaboration avec l’organisation non-gouvernmentale (ONG) locale Réseau d’Action pour le Développement et le Progrès Intégré (RADPI) et la Division Provinciale des Affaires Humanitaires (DIVAH) du Sud-Kivu. Lors du neuviième cycle, un total de 5 260 villages, couvrant 34 zones de santé (ZS), ont été évalués par le biais de 16 591 informateurs clés.

Since 24 February 2022, an increasing number of refugees from Ukraine and other third-country nationals (TCNs) entering Slovakia has been registered as a result of the war in Ukraine. As of 30 September, Slovak authorities have reported 846,761 border crossings from Ukraine, out of whom 92 per cent were reported to be refugees from Ukraine and 7 per cent as other (EU national or Third Country Nationals). At the same time, 616,009 border crossings to Ukraine have been reported since 24 February 2022. 

This report is based on a survey launched by IOM’s Displacement Tracking Matrix (DTM) with persons crossings to Ukraine from Slovakia since mid-April, and presents an analysis based on 324 surveys collected between 19 April and 30 September 2022 by IOM Slovakia trained enumerators.

Individuals crossing into Ukraine are not necessarily returnees and conclusions on definitive trends cannot be drawn. The sample is not representative of all persons crossing to Ukraine, and results should only be considered as indicative.

This snapshot summarizes available data on Bangladeshi nationals’ presence in Lebanon. The first page visualizes on a map
the number of Bangladeshi nationals quantified by IOM’s Migrant Presence Monitoring (MPM) Round 1 of data collection
that took place between October 2020 and June 2021 across Lebanon.1 The second page presents the data in a table by
governorate and district. The MPM baseline assessment is designed to systematically assess, through a series of MPM
Rounds, cadastres (Admin 3 areas) in Lebanon to quantify the presence of migrants per this administrative area to support
operational assistance, coordination, and planning. Data collection is based on estimations received from Key Informants
(KI) who are mostly composed of Mukhtars, local authorities of these areas, and Municipality officials. The full report can
be accessed here.2 The snapshot is part of the outputs of IOM’s EU-funded Displacement Tracking Matrix (DTM) project
“Regional Evidence for Migration Analysis and Policy” (REMAP) in Bangladesh. The objective of DTM REMAP is to strengthen
the evidence-based formulation and implementation of humanitarian and development policy and programming on
migration and forced displacement in Afghanistan, Bangladesh, the Islamic Republic of Iran, Iraq and Pakistan.

Starting on 24 February 2022, a large-scale armed conflict in Ukraine triggered an unprecedented humanitarian crisis across the
country, characterised, among other elements, by the displacement of a significant proportion of the Ukrainian population.

As early as April 2022, the International Organization for Migration (IOM) began observing significant return movements. Conditions of return vary widely, as returnees arrive back to areas not directly affected by the war, but which have experienced a significant influx of internally displaced persons (IDPs), as well as to conflict-affected and recently de-occupied areas which have sustained severe damage. Due to the volatility of the current situation, it is impossible to determine what proportion of the returns observed at present are permanent or temporary. Existing data shows, however, that the returnee population in Ukraine is characterized by a unique set of needs and vulnerabilities which set it apart from those who had never been displaced and from the population of IDPs.

To support partners in providing targeted, evidence-based assistance to those returning to their areas of habitual residence following a period of forced displacement, IOM presents the Ukraine Returns Report. This publication will strive to analyze IOM’s latest data on the situation and needs of the returnee population and on the conditions of return, collected through the Displacement Tracking Matrix (DTM) assessments conducted in the country.

This September 2022 edition of the Ukraine Returns Report presents a detailed analysis of data collected through the ninth round of IOM’s General Population Survey (GPS), conducted between 17 and 26 September among the adult population in Ukraine. The geographical scope of the assessment covers the entire territory of Ukraine, all five macro-regions (West, East, North, Centre, South, and the city of Kyiv), with the exception of the Crimean peninsula and the non-government-controlled-areas of Ukraine (NGCA). The general population survey was conducted using a random‐digit‐dial (RDD) approach, and 2,002 unique and anonymous respondents aged 18 and over were interviewed using the computer-assisted telephone interview (CATI) method.

Au cours des huit premiers mois de l’année 2022, dans un contexte marqué par l’insécurité, des combats et attaques sporadiques se sont poursuivis dans plusieurs localités du pays occasionnant des déplacements internes de populations civiles dans le Nord et dans le Centre du pays. Le caractère violent des conflits a provoqué d’importants déplacements de populations à l’intérieur du territoire malien et dans les communes frontalières entre le Burkina Faso et le Niger. Par ailleurs, l’amélioration significative des conditions de sécurité dans certaines localités a permis à de nombreuses personnes déplacées internes (PDI), vivant toujours dans des conditions extrêmes à regagner leurs foyers au Centre et au Nord du pays, mais de nombreux obstacles persistent, les empêchant de trouver des solutions durables à leur déplacement.

Le nombre de personnes déplacées a atteint la barre des 422 620 individus en août 2022. L’augmentation du nombre de personnes déplacées à cette date par rapport aux mois précédents s’explique par le fait que les huit premiers mois de l’année 2022 ont été marqué par la recrudescence des violences dans les régions de Ménaka, Gao, Tombouctou et Mopti. La zone du Liptako Gourma, ou des trois frontières entre le Mali, le Niger et le Burkina Faso, devient l’épicentre de cette crise multiforme, confirmant ainsi la complexité de l’assistance humanitaire. De surcroît, les récurrentes contraintes d’accès humanitaire éloignent bon nombre de personnes des services sociaux de base vitaux, les poussant parfois à recourir à des stratégies de survie ou d’adaptation négatives

Une recrudescence des affrontements entre gangs rivaux, ainsi que l'éruption de manifestations parfois violentes, des pillages, pénuries de biens essentiels et le blocage d'axes routiers et ports dans la Zone métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP) au cours des derniers mois ont accrû l'insécurité déjà présente et a aggravé une situation économique déjà précaire. Cela a contribué à des déplacements urbains à grande échelle. Ce rapport présente les résultats de l'évaluation hebdomadaire des déplacements et de la situation humanitaire effectuée par le système d'alerte précoce du ZMPP.

253 nouveaux déplacements (-28% par rapport à la période d'évaluation précédente) et 186 nouvelles arrivées (-61% par rapport à la période d'évaluation précédente) de personnes déplacées internes ont été rapportés pendant la période d’évaluation dans les 292 quartiers évalués. La plupart de ces déplacements ont eu lieu dans les communes de Pétion-Ville (56%), Cité Soleil (20%) et Carrefour (19%). Durant la période d’évaluation du 24 au 30 septembre, la DTM avait observé 353 nouveaux déplacements et 473 nouvelles arrivées de personnes déplacées dans 341 quartiers évalués. La situation sécuritaire s'est améliorée par rapport à la période d'évaluaton précédente, suite à une accalmie dans la violence des manifestations, au déblaiement des nombreuses barricades qui bloquaient la majorité des rues de la capitale et à une meilleure liberté de circulation. Néanmoins, elle reste toujours tendue, avec 157 quartiers affectés par l'insécurité (-14% par rapport à la période d'évaluation précédente)  et 49 par des violences généralisées (pas de changement). Douze quartiers ont signalé des occurrences d'épidémie dans le contexte de la résurgence de l'épidémie de choléra en Haïti, qui au 7 octobre 2022 avait conduit au décès de huit personnes. Huit quartiers étaient situés à Cité Soleil, les autres étant situés à Port-au-Prince (2 quartiers), Delmas (1) et Tabarre (1).
 

As a subcomponent of the Mobility Tracking methodology (Round Four), the Emergency Event Tracking (EET) tool is deployed to track sudden displacement, provide more frequent updates on the scale of displacement, and quantify the affected population when needed.

Since 24 February 2022, people have been fleeing from Ukraine to the neighbouring countries as a result of the war in Ukraine. As of 04 October 2022, 645,561 refugees from Ukraine and Third Country Nationals (TCNs) were registered at border crossing points (BCPs) while entering from Ukraine into the Republic of Moldova. At the same time, movements of persons crossing back to Ukraine have also been reported. According to national authorities, 170,931 Ukrainian nationals and TCNs, who have entered into the Republic of Moldova after 24 February 2022, have since exited back to Ukraine (Source: General Inspectorate for Border Police).

The International Organization for Migration (IOM) has conducted displacement and intention surveys with adults (18 years and above) crossing back to Ukraine, through CBS Axa Research, since April 2022. Data is collected at two main border crossing points (BCPs) with Ukraine – Palanca and Otaci. This report presents the main findings based on data collected between 06 September and 04 October 2022. 

Individuals crossing into Ukraine are not necessarily returnees (many are making short visits) and conclusions on definitive trends cannot be drawn. The sample is not representative of all persons crossing to Ukraine, and results should only be considered as indicative.