During the reporting period (05 to 11 October 2022), a total of 117 movements were recorded - 50 arrivals (2,055 individuals), 33 departures (1,433 individuals), and 34 returns (4,472 individuals). The largest arrival movements were recorded in Macomia (1,524 individuals), and Muidumbe (349 individuals). The largest departure movements were recorded in Palma (585 individuals), Nangade (326 individuals) and Mueda (290 individuals). The largest return movements were observed from Montepuez (2,158 individuals) to Mocimboa da Praia, within Muidumbe (1,324 individuals) from Cidade de Pemba (310 individuals) to Ancuabe and within Quissanga (321 individuals). Of the total population, 16 per cent of mobile groups were displaced for the first time, 47 per cent for a second time and 37 per cent were displaced at least three times.

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de 09 informateurs clés, principalement les autorités locales, les organisations de la société civile (OSCs), et les représentants de populations sinistrées dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente les informations sur les personnes affectées par la montée des eaux du fleuve Logone ayant provoqué des inondations et plusieurs dégâts matériels.

Depuis le 15 octobre 2022 jusqu’à nos jours, les localités situées sur les berges du fleuve Logone du coté de la République du Tchad ont été victimes de la montée des eaux (inondations) provoquant le déplacement de plusieurs personnes vers deux villages notamment : Kawadji 1, Kawadji 2 dans l’arrondissement de Kousseri, département du Logone et Chari, dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun.

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de 05 informateurs clés (principalement les autorités locales, ONG, OSCs et les représentants de populations affectées) dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente les informations sur les personnes affectées par les attaques répétées des groupes armés non étatiques ayant provoqué plusieurs dégâts matériels.

Le mois d’octobre 2022 est marqué par des exactions des groupes armés non étatiques notamment dans les localités de Naga, Gorétal Tchandi, Dororo, Katikimé et Doroliman dans l’arrondissement de Darak et Tchika, dans l’arrondissement de Hilé-Alifa, département du Logone et Chari. Dans la nuit du 09 au 10 octobre 2022, les GANE (Groupe Armé Non Etatique) ont fait une incursion dans la localité de Katikimé 2 (Doroliman). Deux jeunes personnes y ont été enlevées, une pirogue, ainsi que 750 litres de carburant emportés. Le 12 octobre 2022, les groupes armés ont fait une nouvelle incursion dans la localité de Katikimé 2, une femme et son enfant ont été kidnappés, plusieurs boutiques cambriolées et les biens des populations emportés. Ce incidents ont provoqué le déplacement de plusieurs d’un millier de personnes vers les localités de Makary centre et Ngouma dans l’arrondissement de Markary, de Blangoua, arrondissement de Blangoua, et les localités de Hilé Alifa 1 et 2, situées dans l’arrondissement de Hilé Alifa dans le même département.

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de 09 informateurs clés, principalement les autorités locales, les organisations de la société civile (OSCs) et les représentants de populations sinistrées dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente les informations sur les personnes affectées par la montée des eaux du fleuve Logone ayant provoqué des inondations et plusieurs dégâts matériels.

Depuis le 13 octobre 2022 jusqu’à nos jours, plusieurs villages de l’arrondissement de Goulfey, département du Logone et Chari, dans la région de l’Extrême-Nord, ont été victimes de la montée continuelle des eaux (inondations) du dit fleuve provoquant le déplacement de plusieurs centaines de personnes vers 5 villages notamment : AFIE KOTOKO, GOURLE, ALLARADA, DOUNGOURA et SIO ARDEBE dans le même arrondissement.

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de 09 informateurs clés, principalement les autorités locales, les organisations de la société civile (OSCs), et les représentants des populations sinistrées dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente les informations sur les personnes affectées par la montée des eaux du fleuve Logone ayant provoqué des inondations et plusieurs dégâts matériels.

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de 10 informateurs clés (principalement les autorités locales et les représentants de populations sinistrées) dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente les informations sur les personnes affectées par la montée des eaux du fleuve Logone ayant provoqué des inondations qui ont causé l’effondrement de plusieurs maisons et provoqué de nombreux dégâts matériels matériels.

Depuis le 10 octobre 2022 jusqu’à nos jours, les localités situées sur le long du fleuve Logone, notamment le village Ngargoudja jusqu’au grand carrefour du quartier douane dans l’arrondissement de Kousseri, département du Logone et Chari, dans la région de l’Extrême-Nord, ont été affectées par la montée continue des eaux (inondations) du dit fleuve. Ceci a provoqué déplacement de plusieurs milliers de personnes vers les localités de Krouang 2, Madagascar 1, Madagascar 2 et Djambal bar dans le même arrondissement.

Between 17 June and 26 September 2022, IOM conducted 2,191 surveys in collective sites or distribution centers with Ukrainian nationals and Third Country Nationals (TCNs) in Poland. All respondents crossed the border into Poland due to the ongoing war in Ukraine.

Starting on 24 February 2022, the war in Ukraine triggered an unprecedented humanitarian crisis and generated large scale displacement both within Ukraine and into the neighbouring countries. As of the end of September, 6.2 million persons were internally displaced in Ukraine1 and 7.4 million refugees from Ukraine were recorded in Europe.2 According to available administrative data, more than 13 million border crossings of refugees and Third-Country Nationals (TCNs) not in need of international protection from Ukraine were reported into the neighbouring countries since February 2022. At the same time, around 6 million were estimated to have returned including both from other locations within Ukraine and self-reported from abroad,3 and about 6 million cross-border movements were registered from Poland, Romania, Slovakia, and the Republic of Moldova among the neighbouring countries into Ukraine as of mid-September. 

Since mid-April, IOM has deployed its Displacement Tracking Matrix (DTM) tools to collect individual surveys in neighbouring countries with persons crossing into Ukraine, with the aim to improve the understanding of main profiles, displacement patterns, intentions and needs. 

This report is based on 9,495 valid surveys collected by IOM’s DTM in five European countries neighbouring Ukraine with adult refugees from Ukraine and TCNs crossing to Ukraine between 01 June and 15 September 2022: 3,519 in Romania, 3,151 in Poland, 2,418 in the Republic of Moldova, 259 in Hungary and 148 in Slovakia. Total results were weighted as per the number of border crossings into Ukraine reported in each country of the survey during the aforementioned period. 

Movements can be pendular, and do not necessarily indicate sustainable returns as the situation across the country remains highly volatile and unpredictable. Hence, individuals surveyed while crossing into Ukraine from neighbouring countries are not necessarily returnees, and conclusions on definitive trends cannot be drawn.

Ce tableau de bord présente les principaux résultats de suivi des mouvements de populations dans la province
de l’Ituri, à l’issue du huitième cycle d’évaluation conduit par l’unité la Matrice de suivi des déplacements
(Displacement Tracking Matrix, en anglais (DTM)) de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Ces évaluations ont été réalisées à travers un exercice de collecte de données conduit du 5 au 25 juillet 2022,
en collaboration avec l’ONG locale, Réseau d’Action pour le Développement et le Progrès Intégré (RADPI),
et la Commission Nationale pour les Réfugiés (CNR). Lors du ce cycle, un total de 5 685 villages, couvrant
36 zones de santé (ZS), ont été évalués à travers des consultations avec 15 608 informateurs clés.