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Crisis Responses
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Apr 01 2023
Apr 30 2023
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
Au cours des quatre premiers mois de l’année 2023, dans un contexte marqué par l’insécurité, des combats et attaques sporadiques se sont poursuivis dans plusieurs localités du pays occasionnant des déplacements internes de populations civiles dans le Nord et dans le Centre du pays. Le caractère violent des conflits a provoqué d’importants déplacements de populations à l’intérieur du territoire malien et dans les communes frontalières entre le Burkina Faso et le Niger. Par ailleurs, l’amélioration significative des conditions de sécurité dans certaines localités a permis à de nombreuses personnes déplacées internes (PDI), vivant toujours dans des conditions extrêmes à regagner leurs foyers au Centre et au Nord du pays, mais de nombreux obstacles persistent, les empêchant de trouver des solutions durables à leur déplacement.
Lors de l’opération de collecte et de mise à jour des données menée en avril 2023, un total de 375 539 PDI a été identifié. Le nombre de PDIs est en effet passé de 412 387personnes en décembre 2022 (rapport DTM de décembre 2022) à 375 539 en avril 2023. Ainsi de décembre 2022 à avril 2023, une diminution de 36 848 personnes déplacées (environ 9% de diminution) a été constatée.
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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
May 14 2023
May 14 2023
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
L'objectif de l’outil de suivi des urgences (Emergency Tracking Tool (ETT) en anglais) est de collecter des informations sur les mouvements de population importants et soudains, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés ou par des observations directes. Ce tableau de bord présente des informations sur un mouvement qui a eu lieu le 14 mai 2023 dans la ville d’Ounianga-Kébir, située dans la province de l’Ennedi Ouest, près de la frontière Libyenne.
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DTM Cameroon, DTMCameroon@iom.int
Emplacement
Cameroon
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
Période couverte
Feb 08 2023 -Feb 20 2023
Data collection for round 26 was conducted from 8 to 20 February 2023 through 3,715 key informants, in 6 departments (Diamaré, Logone Et Chari, Mayo Danay, Mayo Kani, Mayo Sava and Mayo Tsanaga) ) of the Far North region. During this round, 680,512 mobile individuals were identified, including 427,833 IDPs, 203,166 Returnees, and 49,513 Out-of-camp refugees.
Population Groups
Survey Methodology
Unit of Analysis Or Observation
Type of Survey or Assessment
Keywords
Geographical Scope
Administrative boundaries with available data
The current dataset covers the following administrative boundaries
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DTMBurkinaFaso@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burkina Faso
Période couverte
Apr 01 2023
Apr 30 2023
Activité
- Flow Monitoring
L’OIM, à travers l’outil de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring) de la Matrice de suivi des déplacements (DTM), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations (FMP) ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Dori/Seytenga en février 2018, à Kantchari en mars 2018, ainsi qu'à Faramana et Yendéré en avril 2018 pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. C’est points ont été inactifs du 1er novembre 2022 au 31 mars 2023 et la reprise des activités de collecte des données a débuté dans deux points importants que sont Faramana et Yendéré le 1er avril 2023. D’autres points de suivis des flux tels que Fada N’Gourma et Cinkansé sont en cours de mise en place.
Au cours du mois d’avril 2023, au total 40 317 migrants ont été observés au niveau des deux FMP (dont 18 835 individus entrant au Burkina Faso (47%) et 21 482 individus quittant le Burkina Faso (53%)).
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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
French
Emplacement
Senegal
Période couverte
Nov 01 2022
Dec 31 2022
Activité
- Other
- Flow Monitoring
Depuis presque quelques années, de plus en plus de personnes empruntent la Route Atlantique Ouest Africaine (WAAR). Cette route migratoire, qui avait été particulièrement active en 2006, est redevenue une route fréquemment empruntée par les migrants. Ainsi en 2019, année de référence de cette activité, 2 687 migrants sont arrivés aux îles Canaries (Espagne).
Depuis octobre 2020, l’OIM réalise un suivi des principaux lieux de départ de bateaux en direction des îles Canaries (Espagne). Ce rapport présente les principales données collectées, la méthodologie employée et les autres évènements identifiés par les enquêteurs le long des côtes sénégalaises.
Le développement et la mise en œuvre de programmes et politiques migratoires favorisant une migration sûre, ordonnée et légale en Afrique de l’Ouest et du Centre requière une meilleure compréhension des mobilités humaines dans la région.
La mobilité régionale prend différentes formes. La transhumance, la migration saisonnière lors des saisons des récoltes et des extractions de minerais, la migration économique à destination de l’Afrique du Nord et de l’Europe, les mouvements liés aux fêtes religieuses et culturelles, le tourisme, les mouvements étudiants, les déplacements forces, l’exode rural, et les migrations environnementales, sont des exemples de mouvements observes en Afrique de l’Ouest et du Centre, reflétant la diversité de la mobilité dans la région.
Ce rapport a pour tâche de fournir un aperçu des dynamiques, des tendances et schémas migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre et au-delà. Le rapport est mis à jour de manière régulière afin de fournir les dernières informations concernant les mobilités régionales.
Les cartes présentées dans le rapport ne servent pas qu’à établir des informations sur les mobilités dans la région. Elles fournissent également des données qui peuvent orienter la mise en œuvre de programmes d’assistance aux migrants (protection, gestion des flux de transhumance, retour des populations déplacées et l’élaboration de politiques migratoires fondées sur des éléments factuels.
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Regional Office Dakar, RODakarepcteam@iom.int
Langue
French
Emplacement
Senegal
Période couverte
Oct 01 2022
Dec 31 2022
Activité
- Flow Monitoring
Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM).
Le suivi des flux, qui est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et des partenaires nationaux et locaux, est composé de deux outils : l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR), qui recueille des données clés sur l’ampleur, la provenance, la destination et les modalités des flux, et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS), conduites auprès des voyageurs afin d’obtenir des informations sur les profils, les parcours migratoires et les intentions des migrants. Le suivi des flux de populations récolte ainsi des données clés sur les flux et les tendances migratoires, les profils des voyageurs, les parcours et intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre.
Au Sénégal, depuis 2017, plusieurs points de suivi des flux de populations (FMP) ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Sénégal pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays, récolter des données sur les tendances de mobilité, les profils et les parcours des voyageurs dans le pays.
Après un arrêt des activités entre avril 2021 et mai 2022 marqué par la fermeture des points existants, la collecte de données a repris avec l’ouverture d'un nouveau site à Rosso (Sénégal), permettant de faire le suivi des dynamiques migratoires depuis le nord du Sénégal, zone de passage de la route méditerranéenne occidentale, et des mouvements entre le Sénégal et la Mauritanie.
Ce rapport présente les données collectées pendant le dernier trimestre de l’année 2022 (octobre à décembre 2022), au niveau du seul FMP actif au Sénégal.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 14 2023
Mar 16 2023
Activité
- Mobility Tracking
- Site Assessment
- Baseline Assessment
Ce rapport présente une vue d'ensemble de la situation de déplacement, des besoins humanitaires multisectoriels et des conditions de vie dans les zones accueillant les populations déplacées dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP). Les informations présentées sont issues des évaluations des quartiers et des sites réalisées par la matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’OIM en collaboration avec la Direction Générale de la Protection Civile (DGPC), entre le 14 février et le 16 mars 2023. Il s’agissait du troisième exercice (round 3) de ces évaluations. Sur les 429 quartiers constituant la ZMPP, 411 ont été évalués, soit une couverture de 96 pour cent. Lors du round 2, conduit du 25 octobre au 23 novembre 2022, ce sont 377 quartiers qui avaient été évalués. Les données ont été collectées au moyen de deux questionnaires structurés permettant de collecter le nombre et les profils démographiques des populations déplacées ainsi que les besoins multisectoriels et les conditions de vie dans les lieux les accueillant. Un questionnaire a été déployé au niveau des communautés hôtes et un autre au niveau des sites spontanés. Les données ont été collectées auprès d’informateurs clés incluant des représentants religieux, des représentants de la société civile, des gestionnaires de sites ainsi que des travailleurs humanitaires.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jan 01 2022
Dec 31 2022
Activité
- Survey
- Registration
Depuis la fin de l'année 2021, des milliers de migrants haïtiens ont été rapatriés en Haïti. De janvier à décembre 2022, un total de 22 444 migrants ont été rapatriés par voie aérienne et maritime1 . L'OIM fournit une assistance aux migrants rapatriés à leur arrivée et mène également des enquêtes afin de comprendre leurs profils et leurs besoins et ainsi orienter l'élaboration de stratégies et politiques de gouvernance migratoire. En 2022, l'OIM a mené ces enquêtes auprès de 11 011 ménages rapatriés. Le présent rapport fournit les principaux résultats de ces enquêtes.
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DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Mar 01 2023
Mar 31 2023
Activité
- Event Tracking
- Village Assessment
Ce système d’alerte précoce (SAP) communautaire a pour objectif d’informer les communautés et les autorités sur les menaces liées aux aléas naturels afin d’en atténuer les impacts.
La méthodologie utilisée repose sur :
1.L’dentification des zones de couverture géographique
À travers des rencontres avec les autorités locales et les services techniques, deux moughataas (départements) ont été identifiés au niveau de la wilaya (région) du Hodh Ech Chargui, comme étant les moughataas les plus exposées aux risques de catastrophes. À la suite de cela , dix villages ont été priorisés au niveau de chaque moughataa comme étant ceux les plus exposés aux risques de catastrophes.
2.La reconnaissance des risques dans ces zones géographiques
Après l’identification des zones de travail dans les moughataas de Bassikounou (Lemghayss, Bouglingala, Ehssey Lebyadh,Lagdaf, Medalla, Kindierla, Boyziya, R’ken, Ehel Ahmedou et Bir Elbarka) et d'Adel Bagrou (Bougla, Miborye Delleh,Mbaratt Erme, Lemgahayss, Agourare, Massgoule Lebyadh, Ehel Berbare, Goubiye, Dar Naim Ezmarrigue et Leguayde), des entretiens ont été menés avec les autorités locales, chefs de villages et représentants de communauté ont été menés dans chaque village afin d’identifier les événements qui surviennent dans ces localités. Les événements relevés sont majoritairement les suivants : les feux de brousses, les fortes températures, les sécheresses et inondations.
3.La mise en place d’un SAP pour la réduction des risques liés aux catastrophes
Après reconnaissance des risques auxquels les zones de couverture sont exposées, un système d’alerte précoce communautaire (basé sur les individus et les communautés) a été mise en place afin d’informer les populations sur les menaces, mais également afin de documenter les événements liés aux aléas naturels, conflits agropastoraux ou maladies, survenus dans ces villages. Deux types d’informations sont partagées dans ce SAP:
•Informations préventives: Les informations préventives partagées aux communautés telles que les bulletins provenant de l’office national de la météorologie (ONM), du Ministère de l’élevage, du Ministère de l’environnement, d'Action contre la faim (ACF) ou du Programme Alimentaire Mondial (PAM). Ce partage d’information passe par un point focal des alertes (PFA) au niveau de la société civile qui est chargé de collecter l’ensemble des alertes qui concernent ces localités. Par la suite, le PFA partage rapidement ces alertes à des relais communautaires formés sur l’identification des menaces et qui sont en relation avec les communautés pour relai rapide de ces informations vers ces derniers.
•Evénements : les événements survenus dans les localités identifiées et principalement liés aux aléas naturels tels que les feux de brousse, les inondations, les sécheresses ou les vagues de chaleur ou de froid.. Les informations sur ces événements permettent, entre autres, de mieux connaitre les capacités des populations à répondre aux événements et à évaluer la réponse des autorités. Elles servent également à collecter des informations permettant de veiller à la survenue de nouveaux risques non-identifiés lors de la phase de cartographie des risques. Les informations sur les événements liés aux aléas naturels sont partagées par les relais communautaires à un point focal des alertes (PFA) chargé de vérifier si les autorités ont déjà été informées des événements pour les événements nécessitant une réponse par ces derniers. Ainsi, si les autorités n'ont pas été auparavant informées, elles le seront par le biais des PFAs. Enfin, les PFAs sont également chargés de consolider toutes les informations liées aux événements dans une base de données pour des raisons de documentation.