-
Countries
-
Data and Analysis
-
Special Focus
-
Crisis Responses
Contacter
DTM Cameroon, DTMCameroon@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Jan 01 2024
Jun 30 2025
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
Ce tableau de bord fournit la situation des déplacements dans 1 318 localités cibles (dont 1 160 villages et 156 sites spontanés) accueillant des personnes déplacées internes (PDI), retournées et réfugiées hors camp. La collecte des données a été réalisée auprès de 3 689 informateurs clés et 18 groupes de discussion ont été organisés entre le 19 et le 30 juin 2024 dans les six départements (Diamaré, Logone-Et-Chari, Mayo-Danay, Mayo-Kani, Mayo Sava et Mayo-Tsanaga) de la région de l’Extrême-Nord.
Contacter
iomabidjan@iom.int
Langue
French
Emplacement
Côte d’Ivoire
Période couverte
Apr 01 2024
Jul 31 2024
Activité
- Flow Monitoring
- Mobility Tracking
- Transhumance Tracking Tool
La transhumance transfrontalière est une activité économique majeure en Afrique de l’Ouest qui contribue au développement de l'ensemble de la région. Les différents cycles de transhumances, qui se déroulent généralement des pays sahéliens vers les pays côtiers et inversement en fonction des saisons, ont subi des bouleversements importants au cours des dernières décennies. La variabilité climatique, la pression démographique, la raréfaction des ressources naturelles, la volatilité politique et l’insécurité au Sahel ont profondément affecté les itinéraires et les flux de transhumance. C’est dans un tel contexte que la région du Bounkani en Côte d’Ivoire est marqué par un afflux d’éleveurs transhumants venant du Burkina Faso et qui s’installent dans les différents départements. Cette situation entraine une compétition accrue autour des ressources naturelles, ce qui débouche sur des conflits plus ou moins violents dans certaines localités. En partenariat avec le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) dans le cadre du projet « Renforcer la résilience aux risques liés au changement climatique pour la paix et la stabilité socioéconomique dans le Nord-Est de la Côte d’ivoire », l’OIM en collaboration avec le Réseau Billital Maroobe (RBM) a déployé l’outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool -TTT) avec pour objectif de fournir des données sur les mouvements de transhumance et ainsi prévenir et gérer les conflits liés à la transhumance.
Ce tableau de bord présente le résultat du suivi des flux de bétails transhumants d’avril à juillet 2024 dans les sous-préfectures de Doropo, Gogo Niamoué et Téhini. Au total, 3 359 animaux accompagnés de 96 éleveurs ont été comptabilisés au cours de cette période.
Contacter
iomabidjan@iom.int
Langue
French
Emplacement
Côte d’Ivoire
Période couverte
Sep 01 2024
Dec 31 2024
Activité
- Flow Monitoring
- Mobility Tracking
- Transhumance Tracking Tool
La région du Bounkani en Côte d’Ivoire est confrontée à des conditions de vie souvent difficiles et marquée par des défis multiples et interdépendants. Les résultats de l’Indice de Solution et Mobilité (ISM), mis en œuvre dans la région entre 2023 et 2024, ont permis de souligner une insuffisance des services sociaux de base et des opportunités économiques de même que la précarité de la situation sécuritaire. En outre, les tensions communautaires sous-jacentes dues à l’accès et à la gestion des ressources naturelles, affectées par les effets négatifs du changement climatique, mettent en péril la coexistence pacifique entre les populations. Au cours de ces dernières années, ces tensions se sont accentuées entre agriculteurs et éleveurs, par le biais de l’afflux de populations burkinabés fuyant la crise sécuritaire au Sahel. Un grand nombre de ces déplacés seraient arrivés dans la région du Bounkani avec du bétail, contribuant ainsi à augmenter la pression sur des ressources naturelles déjà rares, en particulier la terre et l’eau. Selon la cartographie de la transhumance réalisée par l’OIM en 2024 dans la région, la taille bu bétail transhumant transfrontalier est estimée à 173 540 animaux accompagnés de 2491 éleveurs en plus des transhumants internes. En outre les informateurs clé interrogés au cours de cet exercice ont souligné l’augmentation des flux de bétail dans leur région depuis 2022, et les trois quarts d’entre eux évoquaient des probabilités de conflits agrospastoraux.
Par ailleurs, du fait de l’insécurité existante dans leurs territoires d’attache, les éleveurs transhumants semblent s’installer pour une période plus longue qu’habituellement dans les départements du Bounkani et très peu de mouvements cycliques ont été observés au niveau des zones frontalières d’après les résultats des exercices de comptage en cours actuellement.
En partenariat avec le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) dans le cadre du projet « Renforcer la résilience aux risques liés au changement climatique pour la paix et la stabilité socioéconomique dans le Nord-Est de la Côte d’Ivoire », l’OIM, en collaboration avec le Réseau Billital Maroobe (RBM) a déployé l’Outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool - TTT) dans la région du Bounkani et un système d’alerte précoce a été mis en œuvre dans 3 départements de la région : Bouna, Doropo et Téhini. Ce système, soutenu par des sentinelles, recueille des alertes liées à des incidents qui perturbent ou risquent de perturber la coexistence pacifique entre les communautés d'éleveurs transhumants et d'agriculteurs.
Ce présent rapport présente des données d’alerte précoce recueillies entre septembre et décembre 2024 dans neuf sous-préfectures réparties dans les départements de Bouna, Dorpo et Téhini, Durant cette période, 115 alertes, dont 110 évènements et 5 alertes de mouvements ont été signalés.
Contacter
DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
French
Emplacement
Niger
Période couverte
Oct 01 2024
Oct 31 2024
Activité
- Flow Monitoring
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM, en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et les tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d’importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport a eu lieu du 1er au 31 Octobre 2024 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois.
Contacter
DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 01 2024
Aug 31 2024
Activité
- Survey
- Mobility Tracking
- Transhumance Tracking Tool
L’Outil de Suivi des Transhumances (TTT - Transhumance Tracking Tool) permet de mieux comprendre les dynamiques liées à la transhumance interne et transfrontalière. Il combine quatre composantes : le suivi des flux, l’enquête détaillée, les mécanismes d’alerte ainsi que l’outil de présence et profil.
Afin de mieux comprendre la transhumance, notamment quels sont les rôles des transhumants, les sources d'information utilisées pour s'informer sur la proximité de pâturage, les raisons des mouvements des éleveurs, les itinéraires empruntés, le niveau d’éducation des transhumants, ou les possibles raison de changement de route au cours du mouvement, l’OIM a déployé la composante « enquête détaillée » du TTT en partenariat avec l'ONG Tassaght, membre du Réseau Billital Maroobè (RBM) au Mali. Après évaluations, sept points de comptage ont été identifiés et positionnés dans les zones de Koira-Beiry et Douentza dans le cercle de Douentza; de Samani, Zon et Timiri dans le cercle de Koro. Ces cercles choisis sont les points de passage clés des éleveurs transhumants effectuant des mouvements internes et transfrontaliers. Ce rapport présente les données de l’enquête détaillée collectées entre le 1er juillet et le 31 août 2024. Pendant cette enquête, mille cent soixante-seize (1 176) chefs de troupeaux transhumants ont été interrogés.
Dans le contexte du Mali, la transhumance est une activité pratiquée en majorité par les hommes (99%). Ce qui explique un échantillon de personnes interrogés presque totalement masculin. Ils sont peu nombreux à avoir fréquenté une école formelle (16%) car la majorité n’a aucun niveau d’éducation (62%) ou ont un niveau coranique (20%). Parmi les chefs de troupeaux transhumants , la majorité est propriétaire de leurs troupeaux (67%) et d’autres sont des employés (33%).
Contacter
DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 25 2024
Sep 30 2024
Activité
- Survey
- Mobility Tracking
- Transhumance Tracking Tool
L’Outil de Suivi des Transhumances (TTT - Transhumance Tracking Tool) permet de mieux comprendre les dynamiques de transhumance interne et transfrontalière. Il combine quatre composantes : le suivi des flux, l’enquête détaillée, les mécanismes d’alerte ainsi que l’outil de présence et profil.
Afin de mieux comprendre la transhumance, notamment les rôles des transhumants, les sources d'information utilisées pour s'informer sur la proximité de pâturage, les raisons des mouvements des éleveurs, les itinéraires empruntés, le niveau d’éducation des transhumants, ou les possibles raisons de changements de route au cours du mouvement, l’OIM a déployé la composante « enquête détaillée » du TTT en partenariat avec l'ONG Tassaght, membre du Réseau Billital Maroobè (RBM) au Mali. Après évaluation, sept points de comptage ont été identifiés dans la région de Kayes (Djelimayel, Fallou, Boulekessi, Koriga, El Kabra, Koronga, Nayel Peulh) et dix dans la région de Sikasso (Diaramana, Boura, Fakola, Manankoro, Bezanso, Kalana, Misseni, Tionqui, Zantiguila, Fangala). Ces points sont des passages clés des éleveurs transhumants effectuant des mouvements internes et transfrontaliers. Ce rapport présente les données de l’enquête détaillée collectées entre le 25 juillet et le 30 septembre 2024. Pendant cette enquête, sept cent trente-quatre (734) chefs de troupeaux transhumants ont été interrogés..
Dans le contexte du Mali, la transhumance est une activité pratiquée en majorité par les hommes (100%). Ce qui explique un échantillon de personnes interrogés totalement masculin. Ils sont peu nombreux à avoir fréquenté une école formelle (11%) car la majorité n’a aucun niveau d’éducation (58%)ou ont un niveau coranique (31%). Parmi les chefs de troupeaux transhumants , la majorité est propriétaire de leurs troupeaux (51%) et d’autres sont des employés (49%).
Contacter
DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Dec 21 2024
Jan 03 2025
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
- Site Assessment
Environ 931 846 personnes sont estimées avoir traversé la frontière vers le Tchad depuis le début de la crise au Soudan, incluant 216 337 parmi eux qui sont des retournés tchadiens depuis fin décembre
2024. L’OIM s’attend à ce que ce nombre passe à 250 000 d’ici fin juin 2025, en raison du conflit et de l’insécurité alimentaire qui perdurent au Darfour.
Contacter
DTM CAR, DTMRCA@iom.int
Langue
French
Emplacement
Central African Republic
Période couverte
Jan 12 2025
Jan 12 2025
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
- Site Assessment
Ce tableau de bord présente un aperçu de l’évaluation rapide menée le 12 janvier 2025 dans la sous-préfecture d’Alindao, à la suite de l’incendie survenu le 11 janvier 2025 aux environs de 10h00 sur le site de déplacés de l'AFAPS, situé dans la préfecture de la Basse-Kotto, précisément dans la localité de Bangui-ville. Il est important de noter que les populations affectées se sont déplacées au sein de la même localité.
Contacter
DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Nov 01 2024
Dec 30 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
- Site Assessment
- Village Assessment
Le Round 9, qui s'est déroulé du 01 novembre au 30 décembre 2024, indique la présence de 1 041 229 personnes déplacées internes en Haïti, soit 48% de plus qu’au round 8. Les violences armées survenues durant le dernier trimestre 2024 dans plusieurs localités du pays sont la raison de cette augmentation, notamment dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP; la capitale du pays), la commune de l’Arcahaïe et dans le département de l’Artibonite. Les PDI en Haïti représente désormais 9% de la population haïtienne.
Contacter
DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Dec 14 2024
Dec 16 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
- Event Tracking
Les pluviométries enregistrées cette année ont occasionné des dégâts énormes (en termes d’abris) et entraîné un grand nombre de déplacements dans toute l’étendue du territoire. Bien que l’année 2022 ait été caractérisée par des quantités de pluies abondantes, causant des inondations presque dans tout le pays, cette année les pluies ont été importantes, provoquant des inondations directes dans certains endroits et la montée des eaux, qui est également à l'origine d'inondations. Selon le Bureau de Coordination des Affaires Humanitaires, au 1er octobre 2024, 1 941 869 personnes sont affectées par des inondations. Parmi les provinces les plus touchées, la province du Lac reste la plus affectée (avec plus de 277 409 personnes).
Les données sur les 70 ménages enquêtés ont été collectées du 14 au 15 décembre 2024 dans 7 quartiers, tandis que les données sur les 376 ménages (2 144 personnes) affectés, ont été collectées du 14 au 16 décembre 2024 dans 8 quartiers de la sous-préfecture de Ngouboua (province du Lac), par les acteurs étatiques et humanitaires. L’objectif est de fournir un aperçu de la situation des inondations des quartiers les plus affectés, en détaillant les populations affectées, leurs profils, vulnérabilités et besoins.