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Data and Analysis
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Special Focus
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Crisis Responses
Type de carte
Location Map
Date de publication
Sat, 11/16/2024 - 00:43
Activité
Mobility Tracking
Ce rapport est une mise à jour de celui qui a été publié le 13 novembre (ETT 52) suite aux violences armées survenues depuis le 11 novembre dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince. Au total, 19 866 personnes ont été déplacées en raison de ces attaques dont 62% vers des zones situées dans la commune de Port-au-Prince, 29 vers celle de Delmas et 7% à Pétion-ville(voir le graphique ci-dessous). La majorité des personnes déplacées (87%), soit 17 377 individus, se sont réfugiées dans 15 sites, dont 3 qui existaient déjà avant ces incidents et 12 qui ont été créés à cause de cette situation. De plus, 17 sites ont également été vidés à la suite de ces incidents. Il est à souligner que des déplacements continuent au moment de la rédaction de ce rapport et que d’autres mises à jour seront publiées
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Nov 11 2024
Nov 15 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ce rapport est une mise à jour de celui qui a été publié le 13 novembre (ETT 52) suite aux violences armées survenues depuis le 11 novembre dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince. Au total, 19 866 personnes ont été déplacées en raison de ces attaques dont 62% vers des zones situées dans la commune de Port-au-Prince, 29 vers celle de Delmas et 7% à Pétion-ville(voir le graphique ci-dessous). La majorité des personnes déplacées (87%), soit 17 377 individus, se sont réfugiées dans 15 sites, dont 3 qui existaient déjà avant ces incidents et 12 qui ont été créés à cause de cette situation. De plus, 17 sites ont également été vidés à la suite de ces incidents. Il est à souligner que des déplacements continuent au moment de la rédaction de ce rapport et que d’autres mises à jour seront publiées
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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Nov 12 2024
Nov 13 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Le suivi des urgences a pour objectif de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains, ainsi que sur les urgences liées à la sécurité et aux conditions climatiques. Les informations sont collectées par le biais d’entretiens avec des informateurs clés ou par des observations directes.
Ce tableau de bord présente un résumé des informations sur les mouvements de personnes confirmés en date du 13 novembre 2024 dans la province de Hadjer-Lamis.
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 01 2024
Sep 30 2024
Activité
- Survey
- Flow Monitoring Survey
- Flow Monitoring
Le suivi des flux de population a pour but de recueillir des données sur les flux et tendances migratoires, les profils des voyageurs et les parcours et intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre. Les zones à forte mobilité sont identifiées en collaboration avec les autorités nationales et locales. Des points de suivi des flux (Flow Monitoring Points, FMP) sont ensuite installés à des lieux de transit clés par lesquels passent les migrants. Au Mali, les FMP sont situés à Gogui (région de Kayes), Heremakono (région de Sikasso), Tombouctou (région de Tombouctou), Place Kidal (région de Gao) et Wabaria (région de Gao). Les FMP ont été choisis afin d’assurer un meilleur suivi des migrations à destination ou en provenance des pays d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Libye, Tunisie) ou d’Europe (Italie, Espagne, France) via les routes méditerranéennes centrales ou occidentales, mais également, des migrations saisonnières, notamment d’orpaillage au Mali, en Guinée et au Sénégal. Les données recueillies au FMP de Wabaria ne sont pas comptabilisées parmi les chiffres d’enregistrement des flux pour éviter tout double comptage. Ce rapport présente les données clés collectées entre le 01 juillet et le 30 septembre de cette année au niveau des quatre FMP au Mali. Il est subdivisé en deux sections :
- Une section présentant les données obtenues lors de l’enregistrement des flux (FMR).
- Une autre section présentant les résultats des enquêtes individuelles effectuées auprès des voyageurs (FMS).
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Nov 10 2024
Nov 12 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ce tableau de bord fournit des informations sur le déplacement de populations de la localité de Bideiné qui se sont continuellement dirigées vers la localité de Blangoua-Bâche dans l’arrondissement de Blangoua, département de Logone-et-Chari, région de l’Extrême-Nord du Cameroun.
En octobre 2024, 3 213 595 individus sont déplacés, y compris 2 622 002 personnes déplacées internes (82% de la population affectée) et 591 493 réfugiés (18% de la population affectée). Soixante-cinq pour cent des individus (2 101 972 personnes) se situaient au Burkina Faso, 14 pour cent résidaient au Mali (451 844 personnes), 11 pour cent au Niger (366 991 personnes) et 4 pour cent en Mauritanie (140 756 personnes). Le recent déversement de cette crise vers les pays côtiers, à savoir la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin, fait preuve d’un nombre croissant de réfugiés arrivant du Sahel central vers ces pays et, à l’interne, des populations déplacées. En octobre, sont recensés 151 932 individus affectés dans ces quatre pays réunis (25 848 au Bénin, 62 078 en Côte d’Ivoire, 7 242 au Ghana et 56 764 au Togo) dont un total de 25 830 déplacés internes.
En octobre 2024, le Cameroun, le Chad, le Niger et le Nigeria accueillaient un total de 6 069 794 individus affectés par la crise, dont des personnes déplacées internes (PDI), des retournés (anciennes PDI et retournés de l’étranger) et des réfugiés (vivant en et hors des camps). Treize pour cent des individus affectés (779 110 personnes) résidaient au Cameroun, 5 pour cent au Tchad (294 099 personnes), 9 pour cent au Niger (555 664 personnes) et enfin, 73 pour cent au Nigeria (4 440 921 personnes). De façon générale, les nombres montrent une forte augmentation de retournés anciens PDI (+45%), des augmentations de PDI (+1%) et de réfugiés (+2%), ainsi qu’une diminution de retournés de l’étranger (-8%) depuis décembre 2023.
En octobre 2024, il est dénombré un total de 4 024 862 individus affectés, y compris 455 533 personnes déplacées internes (PDI) (11% de la population déplacée), 2 309 365 retournés anciennes PDI (57%), 539 800 retournés de l’étranger (14%) et 720 164 réfugiés (18%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (282 008 individus ou 42% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (207 776 individus ou 31% des réfugiés) et au Tchad (137 988 individus ou 20% des réfugiés). Néanmoins, 10 648 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Le pays est aussi le refuge d’individus de pays voisins avec 43 983 réfugiés venus du Soudan (29 660 individus), de la RDC (6 505), du Tchad (4 951 individus) et du Sud Soudan (2 867 individus).
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Nov 11 2024
Nov 13 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ces informations ont été recueillies à la suite des violences armées survenues depuis le 11 novembre 2024 dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince, particulièrement dans les communes de Delmas (quartiers de Delmas 13 et Delmas 28), Tabarre (quartier de Tabarre 27) et Port-au-Prince (quartiers de Solino et Fort National). Au total, 4 372 personnes ont été déplacées en raison de ces attaques, dont 3 586 à Port-au-Prince, 488 à Tabarre et 298 à Delmas. La majorité des personnes déplacées (76%), soit 3 326 individus, se sont réfugiées dans 8 sites, dont 6 qui existaient déjà avant ces incidents et 2 qui ont été créés à cause de cette situation. Le reste des personnes (24%) a trouvé refuge auprès des familles d'accueil. Il est à souligner que des déplacements continuaient au moment de la rédaction de ce rapport et que des mises à jour seront en publiées. Par ailleurs dans plusieurs quartiers, les informateurs clés ont indiqué que les populations ne sont pas en mesure de fuir en raison de l’intensité des violences et des barricades.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
- Other
Haiti faces numerous environmental, socio-economic, and political challenges, including the impacts of climate change, environmental disasters, and population movements. This study aims to establish and understand the links between these phenomena and to develop effective, sustainable solutions to address them.
The report provides an overview of environmental degradation, climate change, and migration in Haiti. It analyzes the causes of deforestation and land degradation, such as cultivation practices and timber extraction. Additionally, the study outlines Haiti's vulnerabilities to climate change and presents a recent history of migration, focusing on issues like insecurity, poverty, and lack of economic opportunities.
Agroecology presents viable solutions to these challenges. Agroecological practices can create employment opportunities in areas affected by both involuntary return migration and internal displacement. Recent figures from IOM indicate that 702,973 people have been internally displaced in Haiti. This study examines how transitioning to agroecology can help targeted populations sustainably improve their socio-economic conditions.
Moreover, agroecology can enhance food security and strengthen local agricultural production. Haiti is currently experiencing a humanitarian crisis exacerbated by a deteriorating security situation, with approximately five million people—almost 50% of the population—facing acute food insecurity.
The study investigates the potential for transitioning to agroecology in Haiti and analyzes strengths and weaknesses at both national and local levels. It cross-references data to identify municipalities most affected by deforestation and involuntary return migration. Five areas are selected for in-depth analysis: Cap-Haïtien, Cornillon Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix, and the Port-au-Prince metropolitan area.
For each area, the report assesses local conditions for agroecology, including challenges and opportunities, based on scientific data and numerous interviews with local authorities, farmers, and forcibly returned migrants. The study illustrates how transitioning to agroecology can enhance local capacities to adapt to climate change and prevent deforestation. Additionally, it analyzes how these solutions can facilitate the sustainable reintegration of deported migrants.
The study proposes ways to strengthen and build upon local knowledge to address deforestation and environmental degradation, capitalizing on best practices. Finally, it presents concrete recommendations for agroecological activities in each selected area, tailored to local circumstances, challenges, and opportunities.