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Crisis Responses
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Nov 13 2024
Nov 17 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Ldamang et Dzawandaï continuellement déplacées vers la localité de Mokolo plus précisemment à Zimangayak; Wayam Tambak; Wouyak Dongoï; Goda Ldamtsaï dans l’arrondissement de Mokolo, département de Mayo-Tsanaga, dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun.
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DTM Cameroon, DTMCameroon@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Apr 01 2024
Jun 30 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Transhumance Tracking Tool
La transhumance au Cameroun, et en particulier dans l’arrondissement du Logone Birni, région de l’Extrême Nord, est une pratique ancestrale qui consiste à déplacer périodiquement des troupeaux de bétail sur de longues distances à la recherche de pâturages et d'eau.
La transhumance est une activité vitale pour de nombreuses familles qui dépendent de l'élevage pour leur subsistance. Elle est faite de mouvements saisonniers entre régions voisines ou plus éloignées selon la disponibilité en eau et en pâturages. Il est ainsi possible que des troupeaux présents dans l’arrondissement du Logone Birni, région de l’Extrême Nord, proviennent de régions plus éloignées, voire d'autres pays comme le Tchad, le Nigeria ou la République centrafricaine.
Cependant, en grande partie du fait des aléas climatiques, le calendrier pastoral et les routes empruntées par les éleveurs transhumants sont amenés à changer avec pour conséquence le risque d'une augmentation des conflits entre communautés (agriculteurs, pêcheurs, éleveurs locaux et éleveurs transhumants) quant au partage des ressources naturelles que sont l'eau et les pâturages.
L’OIM, avec le financement du Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF), met en œuvre un projet dénommé : «Appui à la cohabitation pacifique entre les communautés du Logone Birni à l’Extrême Nord du Cameroun», dont l'un des résultats est le développement et le renforcement d'un système d'alerte précoce fiable et adapté pour prévenir d'éventuels conflits et faciliter leur résolution aux niveaux communautaire et institutionnel, prévenant ainsi l'escalade de la violence.
C’est dans ce cadre que l’OIM déploie son outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool (TTT), en anglais) dans l’arrondissement du Logone Birni, département du Logone-Et-Chari, région de l’Extrême Nord du Cameroun dans le but de collecter et partager des données sur les mouvements en transhumance et les risques de catastrophes pour ensuite mieux orienter les actions du projet.
Type de carte
Location Map
Date de publication
Fri, 11/22/2024 - 01:18
Activité
Mobility Tracking
Ce rapport est une mise à jour de celui qui a été publié le 15 novembre (ETT 52.1) suite aux violences armées survenues depuis le 11 novembre dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP). Au total, 40 965 personnes ont été déplacées en raison de ces violences dont 64% vers des zones situées dans la commune de Port-au-Prince, 25 vers celle de Delmas et 9% à Pétion-ville (voir le graphique ci-dessous). Il est à souligner que ces chiffres représentent les plus grands déplacements massifs observés à’ l’intérieur de la ZMPP depuis que la DTM met en œuvre le suivi des urgences (voir page 2). La majorité des personnes déplacées (90%; soit 37 007 individus) se sont réfugiées dans 23 sites dont 4 qui existaient déjà avant ces incidents et 19 qui ont été créés à cause de cette situation. De plus, 21 sites ont également été vidés à la suite de ces incidents, dont les populations sont en grande majorité parties vers de nouveaux sites (voir carte ci-dessous et/ou cette carte interactive).
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Nov 11 2024
Nov 20 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ce rapport est une mise à jour de celui qui a été publié le 15 novembre (ETT 52.1) suite aux violences armées survenues depuis le 11 novembre dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP). Au total, 40 965 personnes ont été déplacées en raison de ces violences dont 64% vers des zones situées dans la commune de Port-au-Prince, 25 vers celle de Delmas et 9% à Pétion-ville (voir le graphique ci-dessous). Il est à souligner que ces chiffres représentent les plus grands déplacements massifs observés à’ l’intérieur de la ZMPP depuis que la DTM met en œuvre le suivi des urgences (voir page 2). La majorité des personnes déplacées (90%; soit 37 007 individus) se sont réfugiées dans 23 sites dont 4 qui existaient déjà avant ces incidents et 19 qui ont été créés à cause de cette situation. De plus, 21 sites ont également été vidés à la suite de ces incidents, dont les populations sont en grande majorité parties vers de nouveaux sites (voir carte ci-dessous et/ou cette carte interactive).
Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 31 mai 2024, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 30 septembre 2024.
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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Oct 26 2024
Nov 08 2024
Activité
- Other
Environ 910 000 personnes sont estimées avoir traversé la frontière vers le Tchad depuis le début de la crise au Soudan, incluant 209 153 parmi eux qui sont des retournés tchadiens depuis début novembre. L’OIM s’attend à ce que ce nombre passe à 240 000 d’ici fin décembre 2024, en raison du conflit et de l’insécurité alimentaire qui perdurent au Darfour.
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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Oct 01 2024
Oct 31 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Le suivi des urgences a pour objectif de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains, ainsi que sur les urgences liées à la sécurité et aux conditions climatiques. Les informations sont collectées par le biais d’entretiens avec des informateurs clés ou par des observations directes.
Ce tableau de bord présente un résumé des informations sur les mouvements de personnes confirmés au cours de la période du 1er au 31 octobre 2024 dans la province du Lac.
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DTM Djibouti, DTMDjibouti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Djibouti
Période couverte
Sep 01 2024
Sep 30 2024
Activité
- Flow Monitoring
En septembre 2024, 43 330 mouvements migratoires ont été observés aux points de suivi des flux (PSF) de Djibouti. Parmi ces mouvements, 19 838 étaient entrants en provenance d'Éthiopie. Les mouvements migratoires ont augmenté de 12 pour cent par rapport à août principalement en raison des conflits dans les régions d'Amhara et du Tigré, qui ont incité de nombreux Éthiopiens à emprunter les routes migratoires vers Djibouti.
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Sep 01 2024
Sep 30 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
La Matrice de Suivi des Déplacements, (Displacement Tracking Matrix – DTM, en anglais), est un outil de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), qui permet de suivre et de surveiller les déplacements et la mobilité des populations. Le transfert du programme de matrice de suivi des déplacements, (Displacement Tracking Matrix – DTM), au gouvernement par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), à travers la signature d’un protocole en novembre 2014 et de deux accords de partenariat entre le gouvernement et l’UNHCR pour la gestion et la coordination des sites de personnes déplacées internes et l’enregistrement des rapatriés ont permis à la DNDS une centralisation et une meilleure harmonisation des données sur les mouvements de populations et de l’évaluation des besoins des populations déplacées et retournées. La méthodologie et les outils utilisés par la DTM ont été élaborés par la Commission Mouvements de Populations (CMP), groupe de travail du cluster protection. Pour l’enregistrement des rapatriés, une Procédure Opérationnelle Standard (POS) est établie entre la DNDS et l’UNHCR. Les équipes DTM sont présentes dans l’ensemble des régions du Mali. Depuis plusieurs années, le Mali est affecté par des crises politiques, sécuritaires et humanitaires liées aux violences armées, aux tensions intercommunautaires et à des désastres naturels (inondations). La situation sécuritaire durant les neuf premiers mois de l’année 2024 marquée, les attaques ciblée par des individus armées et par des affrontements militaires sporadiques entre les Forces Armées Maliennes (FAMA) et les groupes armés non-étatiques. Le transfert du programme matrice de suivi des déplacements DTM (Displacement Tracking Matrix) au Gouvernement par l’OIM, en novembre 2014 et la signature de deux accords de partenariat entre le Gouvernement et l’UNHCR pour la gestion des sites PDIs et l’enregistrement des rapatriés, ont permis au Gouvernement du Mali d’obtenir une meilleure compréhension des caractéristiques des populations déplacées et retournées, ainsi que de mettre au jour leurs besoins et accès aux services de base. Ces informations sont collectées puis disséminées auprès de la communauté humanitaire et des pouvoirs publics afin de leur fournir une analyse complète des caractéristiques, mouvements et besoins des populations déplacées dans le pays et d’orienter les programmes d’aide humanitaire.