Assessment Report

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DTM Djibouti, DTMDjibouti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Djibouti
Période couverte
Dec 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Flow Monitoring

En décembre 2023, 29 636 mouvements migratoires ont été observés aux points de suivi des flux (FMP) à Djibouti, avec une moyenne quotidienne de 956 mouvements migratoires. Les flux migratoires observés sur l'ensemble des FMP ont légèrement augmenté de 29 pour cent par rapport à novembre 2023 au cours duquel 22 968 mouvements avaient été enregistrées.
Sur ces 29 636 mouvements, 8 216(28%) ont été observés dans la région d'Obock où les migrants traversent le golfe d'Aden en direction de la péninsule arabique. Les flux migratoires aux FMP d'Obock ont connu une augmentation de 69 pour cent par rapport au mois de novembre 2023. Cette augmentation pourrait être due à une diminution des contrôles aux frontières avec l'Éthiopie conjuguée aux rumeurs de reprise des départs de bateaux à partir des côtes d’Obock où les migrants ont l’habitude de traverser le golfe d'Aden pour rejoindre la péninsule arabique.
Entre janvier et décembre 2023, les arrivées en provenance d’Éthiopie ont atteint (122 968 mouvements migratoires) marquant une augmentation significative de 20 pour cent par rapport à la même période de l'année précédente (101 656 mouvements migratoires). Les mouvements migratoires en novembre se sont dirigés principalement: vers la péninsule arabique (48%), entrants (43%), transitants vers l'Éthiopie (4%), transitants à l'intérieur de Djibouti (4%), et sortants (1%). Les retours spontanés depuis le Yémen ont baissé de 43 pour cent en raison des marées hautes agitant la mer, passant de 505 retours du Yémen en novembre à 286 en décembre parmi lesquels figuraient 14 femmes (5%).

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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
English
Emplacement
Niger
Période couverte
Dec 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de suivi des flux de populations de la Matrice de suivi des déplacements, récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport s’est faite du 1 er au 31 décembre 2023 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Oct 12 2023
Dec 19 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
  • Baseline Assessment
  • Village Assessment

Ces dernières années, l’insécurité généralisée en Haïti a poussé des milliers de personnes à fuir leurs zones de résidence. Bien que les violences surviennent le plus souvent dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP) située dans le département de l'Ouest, d'autres départements sont également touchés car de plus en plus de personnes quittent la ZMPP pour se réfugier dans les départements provinciaux.

Ce rapport présente les principaux résultats des évaluations DTM menées fin 2023 dans les départements de l'Ouest, du Sud, du Sud-Est, de l'Artibonite, de la Grande Anse, du Centre et des Nippes sur la situation des déplacements dans le pays. Au total, 313 901 personnes sont déplacées internes dans le pays, dont une majorité d'enfants (55%). Les résultats indiquent que 147 000 personnes ont déjà fui la ZMPP pour se réfugier dans les départements provinciaux.

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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Nov 01 2023
Nov 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
French
Emplacement
Niger
Période couverte
Nov 01 2023
Nov 30 2023
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM, en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations (Flow Monitoring Points, FMP, en anglais) ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport s’est faite du 1er au 30 novembre 2023 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois.

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Regional Office Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Burkina Faso
Période couverte
Nov 01 2023
Nov 30 2023
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de Suivi des flux de populations de la Matrice de suivi des déplacements, récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Faramana et Yendéré en avril 2018 pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.Deux autres points importants (Fada N’Gourma et Cinkansé) ont été  mis en place en mai 2023.

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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Oct 01 2023
Oct 31 2023
Activité
  • Survey
  • Site Assessment
  • Village Assessment

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Jul 01 2023
Sep 30 2023
Activité
  • Flow Monitoring

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte des données qui vise à identifier des zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et les partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

Cet outil récolte des données clés sur l’amplitude des flux migratoires, les profils des voyageurs ainsi que leurs parcours et intentions, afin de fournir une meilleure compréhension des flux migratoires dans la région et de contribuer à l’élaboration de politiques migratoires basées sur des preuves

À cet effet, plusieurs points de suivi des flux de population (Flow Monitoring Point, FMP) sont installés dans des zones de transit importantes. Durant le troisième trimestre de 2023, seul le FMP de Faya était actif, situé dans la province du Borkou, au nord du Tchad. Ce rapport présente les données clés collectées entre juillet et septembre 2023 au niveau de ce FMP. Le rapport est subdivisé en trois sections: 

  • La première section présentant les données obtenues lors de l’enregistrement des flux (FMR).
  • La deuxième section présentant les résultats des enquêtes individuelles effectuées auprès des voyageurs (FMS).
  • La dernière section présentant les vulnérabilités et les risques d’exploitation des migrants.

 

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DTM Djibouti, DTMDjibouti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Djibouti
Période couverte
Oct 01 2023
Oct 31 2023
Activité
  • Flow Monitoring

En octobre 2023, 22 709 mouvements migratoires ont été observés aux points de suivi des flux (FMP) à Djibouti, avec une moyenne quotidienne de 733 mouvements migratoires. Les flux migratoires observés sur l'ensemble des FMP ont augmenter de 31% en octobre par rapport à septembre 2023 au cours duquel 17 292 mouvements avaient été enregistrées .

Sur ces 22 709 mouvements, 4 875(21%) ont été observés dans la région d'Obock où les migrants traversent le golfe d'Aden en direction de la péninsule arabique. Les flux migratoires aux FMP d'Obock ont connu une augmenter de 32% par rapport au mois de septembre 2023. Cette augmentation pourrait être due à une diminution des contrôles aux frontières avec l'Éthiopie conjuguée aux fausses rumeurs de reprise des départs de bateaux à partir des côtes d’Obock où les migrants ont l’habitude de traverser le golfe d'Aden pour rejoindre la péninsule arabique.

Entre janvier et octobre 2023, les arrivées en provenance d’Éthiopie (101 585) ont connu une augmentation significative de 24% par rapport à la même période de l'année précédente (81 889). Les mouvements migratoires en octobre étaient principalement: Vers la péninsule arabique (48%), entrants (41%), transitants vers l'Éthiopie (7%), transitants à l'intérieur de Djibouti (4%), et sortants (1%). Les retours spontanés depuis le Yémen ont augmenté de 5%, passant de 559 en septembre à 588 en octobre dont 20 femmes (3%).

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 01 2023
Sep 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Ce rapport met en exergue les principaux résultats issus de l’enregistrement de flux de migrants et des enquêtes individuelles effectués par la DTM auprès des migrants transitant aux différents points de suivi de flux (FMP) du Mali au cours du troisième trimestre de l’année 2023.

Les différents résultats témoignent du fait que le Mali soit l’une des principales routes empruntées par les migrants en Afrique de l’Ouest. En effet, la diversité des nationalités observées, des routes empruntées, des pays de provenance et de destination, démontrent la place prépondérante qu’occupe le Mali dans les mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre.

Les problématiques de la traite des personnes, du trafic illicite de migrants, de vulnérabilités, ainsi que l’insécurité observée de jour en jour sur les routes migratoires, auxquelles sont exposées les migrants restent des facteurs sur lesquels peu d’information sont fournies. La forme d’exploitation principale observée au cours de ce trimestre était le travail forcé des migrants. Ce type d’exploitation est fortement lié à la non-possession de documents d’identification par le migrant, qui l’expose au risque d’abus.

Aussi, bien que le changement climatique soit un facteur de la migration au cours de ce trimestre, il semble être statistiquement lié au motif économique.