Assessment Report

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Regional Office Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burkina Faso
Période couverte
May 01 2024
May 31 2024
Activité
  • Flow Monitoring
  • Flow Monitoring Registry

L’OIM, à travers l’outil de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, ainsi que leurs expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations (Flow Monitoring Points, FMP) ont été progressivement installés  dans plusieurs lieux de transit importants à Faramana et Yendéré en avril 2018 pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.​ Deux autres points importants (Cinkansé et Dori) ont été  respectivement mis en place en mai 2023 et en janvier 2024.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
May 01 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment

Depuis plus de 10 ans, le Mali est affecté par une crise sécuritaire sans précédente, poussant plusieurs ménages à quitter leurs localités d’origines. La persistance de l’insécurité croissante continue d’affecter les conditions de vie des populations déjà fragilisées par l’insuffisance d’accès aux services sociaux de bases et les aléas climatiques; certaines localités continuent d’être blocus avec des impacts socioéconomiques et humanitaires qui accroitraient la vulnérabilité de certaines populations.

Au cours des deux premiers trimestres de l’année 2024, d’importants mouvements de populations ont continué d’être observés dans des localités au Nord et au Centre du Mali. Le suivi des déplacements reste très complexe, dans un contexte marqué par l’insécurité, entrainant des mouvements de courte durée qui ont continué à être signalés dans différentes régions du pays, des combats et attaques sporadiques dans plusieurs localités, occasionnant des déplacements internes de populations civiles. Au-delà des mouvements internes, le caractère violent des conflits a provoqué d’importants déplacements de populations dans les communes frontalières entre le Burkina Faso et le Niger.

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring
  • Flow Monitoring Registry

Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM). 

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte de données qui vise à identifier les zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et les partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Dec 29 2023
Feb 07 2024
Activité
  • Survey
  • Return Intention
  • Mobility Tracking

Suite au conflit armé survenu en avril 2023 au Soudan, plus de 750,000 personnes ont été contraintes de quitter ce pays pour se réfugier au Tchad, principalement à l’Est. Cela inclut plus de 180,000 retournés qui sont des ressortissants tchadiens vivant au Soudan depuis de nombreuses années et qui ont été enregistrés par l’OIM dans plusieurs sites dans les provinces du Sila et du Ouaddaï. L’OIM a organisé une enquête en décembre 2023 afin de recueillir des informations détaillées sur les conditions actuelles des retournés tchadiens et des communautés qui les accueillent ainsi que sur les intentions de retour des retournés. De ce fait, 1 005 ménages ont été enquêtés dans la province du Ouaddaï et 589 ménages dans la province du Sila.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 24 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment

Le Round 6, publié au début du mois de mars 2024, a indiqué que 362 551
personnes étaient déplacées internes en Haïti. Ce nouveau rapport indique la présence de 578 074 personnes déplacées
internes, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire
observée dans la ZMPP, la capitale d’Haïti, entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI
a été plus marquée en province où il a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des
violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

Le Grand Sud a été la région ayant connu la plus grande augmentation du nombre de PDI qui y sont accueillies (130%
de plus comparé au round 6). Près de la moitié (47%) des PDI dans le pays se trouvent dans le Grand Sud.

La majorité des PDI dans le pays sont accueillies en province : 68% en province vs 32% dans la ZMPP.

Les PDI en province sont principalement les personnes qui ont fui la ZMPP : 78% des PDI en province sont venues de
la ZMPP. L’Artibonite, où la moitié des PDI ont fui des zones situées dans ce département, fait exception. Dans tous les
autres départements du pays les PDI sont majoritairement venues de la ZMPP.

Au niveau national, la majorité des PDI sont accueillies en familles d’accueil : 80% contre 20% en sites. Cependant, dans
la ZMPP la majorité des PDI résident plutôt en sites (61% en sites vs 39% en familles d’accueil), alors qu’en province c'est
l'inverse qui se produit (97% en familles d’accueil vs 3% en sites). Il est crucial d’appuyer les communautés hôtes en
province, notamment dans le Grand Sud, afin de leur permettre de continuer d’accueillir les PDI; et important de
promouvoir la cohésion sociale entre ces deux groupes de populations. Sans une résilience des communautés hôtes, le
nombre de sites en province risquera d’augmenter comme cela a été le cas dans la ZMPP. En effet, au début de la crise la
majorité des PDI dans la ZMPP étaient accueillies en familles d’accueil: seulement environ 2 PDI sur 10 étaient en sites en
2022 ; ce chiffre est passé à 6 PDI sur 10 en 2023. L’une des raisons principales à cette augmentation a été le manque de
ressources des communautés hôtes pour continuer à accueillir les PDI et la détérioration de la cohésion sociale dans ce
contexte.

Par ailleurs, 50 000 personnes retournées anciennement PDI ont été identifiées, notamment dans la ZMPP, à Croixdes-
Bouquets (21%), Cité Soleil (14%), Port-au-Prince (12%) ; dans le Sud à Tiburon (19%) ; et dans le Centre à Sauts
d’Eau (10%). Il est à souligner que pour le moment ces retours restent très fragiles et ne sont pas durables, notamment
dans la ZMPP.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 24 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment

Le Round 6, publié au début du mois de mars 2024, a indiqué que 362 551
personnes étaient déplacées internes en Haïti. Ce nouveau rapport indique la présence de 578 074 personnes déplacées
internes, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire
observée dans la ZMPP, la capitale d’Haïti, entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI
a été plus marquée en province où il a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des
violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

Le Grand Sud a été la région ayant connu la plus grande augmentation du nombre de PDI qui y sont accueillies (130%
de plus comparé au round 6). Près de la moitié (47%) des PDI dans le pays se trouvent dans le Grand Sud.

La majorité des PDI dans le pays sont accueillies en province : 68% en province vs 32% dans la ZMPP.

Les PDI en province sont principalement les personnes qui ont fui la ZMPP : 78% des PDI en province sont venues de
la ZMPP. L’Artibonite, où la moitié des PDI ont fui des zones situées dans ce département, fait exception. Dans tous les
autres départements du pays les PDI sont majoritairement venues de la ZMPP.

Au niveau national, la majorité des PDI sont accueillies en familles d’accueil : 80% contre 20% en sites. Cependant, dans
la ZMPP la majorité des PDI résident plutôt en sites (61% en sites vs 39% en familles d’accueil), alors qu’en province c'est
l'inverse qui se produit (97% en familles d’accueil vs 3% en sites). Il est crucial d’appuyer les communautés hôtes en
province, notamment dans le Grand Sud, afin de leur permettre de continuer d’accueillir les PDI; et important de
promouvoir la cohésion sociale entre ces deux groupes de populations. Sans une résilience des communautés hôtes, le
nombre de sites en province risquera d’augmenter comme cela a été le cas dans la ZMPP. En effet, au début de la crise la
majorité des PDI dans la ZMPP étaient accueillies en familles d’accueil: seulement environ 2 PDI sur 10 étaient en sites en
2022 ; ce chiffre est passé à 6 PDI sur 10 en 2023. L’une des raisons principales à cette augmentation a été le manque de
ressources des communautés hôtes pour continuer à accueillir les PDI et la détérioration de la cohésion sociale dans ce
contexte.

Par ailleurs, 50 000 personnes retournées anciennement PDI ont été identifiées, notamment dans la ZMPP, à Croixdes-
Bouquets (21%), Cité Soleil (14%), Port-au-Prince (12%) ; dans le Sud à Tiburon (19%) ; et dans le Centre à Sauts
d’Eau (10%). Il est à souligner que pour le moment ces retours restent très fragiles et ne sont pas durables, notamment
dans la ZMPP.

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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burundi
Période couverte
Jul 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Survey
  • Displacement Solutions

l'Indice de Stabilité comprend des données recueillies lors d’entretiens avec des informateurs clés au niveau local (niveau administratif le plus bas possible) dans les provinces cibles touchées par les déplacements internes et les mouvements de retour des réfugiés burundais en provenance des pays voisins. Des informateurs clés comprenant des représentants de PDI et rapatriés, des agents communautaires et des volontaires de la Croix-Rouge, ont été interrogés à chaque endroit par des enquêteurs au mois de janvier 2024. Passer par des informateurs clés a l’avantage de permettre une large couverture géographique. Plusieurs informateurs clés ont été interrogés dans chaque colline, ce qui a permis à l’OIM de trianguler afin de valider ces informations.

Au total, les 363 lieux de retour et/ou de déplacement évalués lors du premier et second round ont également été évalués lors du troisième round dans les mêmes provinces de Cankuzo, Cibitoke, Kirundo, Makamba, Muyinga, Rumonge, Rutana et Ruyigi afin de permettre l’observation des évolutions dans le temps. Grâce aux résultats des évaluations de base de la DTM et de la cartographie des rapatriées fournis par le Haut Commissariat des nations unies pour les réfugiés (HCR), les collines ont été sélectionnées afin d’identifier les zones où se trouvent un grand nombre de personnes déplacées et des rapatriées. La récurrence des aléas environnementaux en raison du changement climatique et le nombre important de rapatriés étaient un facteur clé dans le choix des collines.

 

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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
English
Emplacement
Niger
Période couverte
Apr 01 2024
Apr 30 2024
Activité
  • Flow Monitoring

L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM, en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport s’est faite du 1er au 30 avril 2024 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois.

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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
French
Emplacement
Niger
Période couverte
Oct 01 2023
Dec 31 2024
Activité
  • Flow Monitoring

Afin de mieux comprendre les mouvements et les tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix (DTM) en anglais), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring (FM) en anglais). 

Le suivi des flux, qui est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et des partenaires nationaux et locaux, est composé de deux outils : l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry (FMR) en anglais), qui recueille des données clés sur l’ampleur, la provenance, la destination et les modalités des flux de mobilité. À cela s’ajoute, les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey (FMS) en anglais), conduites auprès des voyageurs afin d’obtenir des informations sur les profils, les parcours migratoires, et les intentions des migrants. Le suivi des flux de populations récolte ainsi des données sur les flux et les tendances migratoires, les profils des voyageurs, les parcours et les intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre. 

Au Niger, la DTM recueille des données à dix points de suivi des flux (Flow Monitoring Point (FMP) en anglais), dans le but d’identifier les zones à forte mobilité transfrontalière et intra régionale, et récolter des données sur les tendances de mobilités, les profils et les parcours des voyageurs dans le pays.

Ce rapport présente des données sur les migrants décédés ou disparus le long des routes migratoires de cette région et les données obtenues à travers les activités entre les mois d' Octobre et de Décembre 2023, au niveau des dix Flow Monitoring Points (FMP) du Niger.    

Pour d’informations sur les méthodologies utilisées se trouvent à la dernière page de ce rapport.

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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
English
Emplacement
Niger
Période couverte
Mar 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM, en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte des données de ce rapport s’est faite du 1 er au 31 Mars 2024, afin d’observer les tendances de la migration durant le mois.