Assessment Report

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DTM Djibouti, DTMDjibouti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Djibouti
Période couverte
Sep 01 2024
Sep 30 2024
Activité
  • Flow Monitoring

En septembre 2024, 43 330 mouvements migratoires ont été observés aux points de suivi des flux (PSF) de Djibouti. Parmi ces mouvements, 19 838 étaient entrants en provenance d'Éthiopie. Les mouvements migratoires ont augmenté de 12 pour cent par rapport à août principalement en raison des conflits dans les régions d'Amhara et du Tigré, qui ont incité de nombreux Éthiopiens à emprunter les routes migratoires vers Djibouti.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Sep 01 2024
Nov 30 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment

La Matrice de Suivi des Déplacements, (Displacement Tracking Matrix – DTM, en anglais), est un outil de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), qui permet de suivre et de surveiller les déplacements et la mobilité des populations. Le transfert du programme de matrice de suivi des déplacements, (Displacement Tracking Matrix – DTM), au gouvernement par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), à travers la signature d’un protocole en novembre 2014 et de deux accords de partenariat entre le gouvernement et l’UNHCR pour la gestion et la coordination des sites de personnes déplacées internes et l’enregistrement des rapatriés ont permis à la DNDS une centralisation et une meilleure harmonisation des données sur les mouvements de populations et de l’évaluation des besoins des populations déplacées et retournées. La méthodologie et les outils utilisés par la DTM ont été élaborés par la Commission Mouvements de Populations (CMP), groupe de travail du cluster protection. Pour l’enregistrement des rapatriés, une Procédure Opérationnelle Standard (POS) est établie entre la DNDS et l’UNHCR. Les équipes DTM sont présentes dans l’ensemble des régions du Mali. Depuis plusieurs années, le Mali est affecté par des crises politiques, sécuritaires et humanitaires liées aux violences armées, aux tensions intercommunautaires et à des désastres naturels (inondations). La situation sécuritaire durant les neuf premiers mois de l’année 2024 marquée, les attaques ciblée par des individus armées et par des affrontements militaires sporadiques entre les Forces Armées Maliennes (FAMA) et les groupes armés non-étatiques. Le transfert du programme matrice de suivi des déplacements DTM (Displacement Tracking Matrix) au Gouvernement par l’OIM, en novembre 2014 et la signature de deux accords de partenariat entre le Gouvernement et l’UNHCR pour la gestion des sites PDIs et l’enregistrement des rapatriés, ont permis au Gouvernement du Mali d’obtenir une meilleure compréhension des caractéristiques des populations déplacées et retournées, ainsi que de mettre au jour leurs besoins et accès aux services de base. Ces informations sont collectées puis disséminées auprès de la communauté humanitaire et des pouvoirs publics afin de leur fournir une analyse complète des caractéristiques, mouvements et besoins des populations déplacées dans le pays et d’orienter les programmes d’aide humanitaire.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 01 2024
Sep 30 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Le suivi des flux de population a pour but de recueillir des données sur les flux et tendances migratoires, les profils des voyageurs et les parcours et intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre. Les zones à forte mobilité sont identifiées en collaboration avec les autorités nationales et locales. Des points de suivi des flux (Flow Monitoring Points, FMP) sont ensuite installés à des lieux de transit clés par lesquels passent les migrants. Au Mali, les FMP sont situés à Gogui (région de Kayes), Heremakono (région de Sikasso), Tombouctou (région de Tombouctou), Place Kidal (région de Gao) et Wabaria (région de Gao). Les FMP ont été choisis afin d’assurer un meilleur suivi des migrations à destination ou en provenance des pays d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Libye, Tunisie) ou d’Europe (Italie, Espagne, France) via les routes méditerranéennes centrales ou occidentales, mais également, des migrations saisonnières, notamment d’orpaillage au Mali, en Guinée et au Sénégal. Les données recueillies au FMP de Wabaria ne sont pas comptabilisées parmi les chiffres d’enregistrement des flux pour éviter tout double comptage. Ce rapport présente les données clés collectées entre le 01 juillet et le 30 septembre de cette année au niveau des quatre FMP au Mali. Il est subdivisé en deux sections :

- Une section présentant les données obtenues lors de l’enregistrement des flux (FMR).

- Une autre section présentant les résultats des enquêtes individuelles effectuées auprès des voyageurs (FMS).

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dtmhaiti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
  • Other

Haiti faces numerous environmental, socio-economic, and political challenges, including the impacts of climate change, environmental disasters, and population movements. This study aims to establish and understand the links between these phenomena and to develop effective, sustainable solutions to address them.

The report provides an overview of environmental degradation, climate change, and migration in Haiti. It analyzes the causes of deforestation and land degradation, such as cultivation practices and timber extraction. Additionally, the study outlines Haiti's vulnerabilities to climate change and presents a recent history of migration, focusing on issues like insecurity, poverty, and lack of economic opportunities.

Agroecology presents viable solutions to these challenges. Agroecological practices can create employment opportunities in areas affected by both involuntary return migration and internal displacement. Recent figures from IOM indicate that 702,973 people have been internally displaced in Haiti. This study examines how transitioning to agroecology can help targeted populations sustainably improve their socio-economic conditions.

Moreover, agroecology can enhance food security and strengthen local agricultural production. Haiti is currently experiencing a humanitarian crisis exacerbated by a deteriorating security situation, with approximately five million people—almost 50% of the population—facing acute food insecurity.

The study investigates the potential for transitioning to agroecology in Haiti and analyzes strengths and weaknesses at both national and local levels. It cross-references data to identify municipalities most affected by deforestation and involuntary return migration. Five areas are selected for in-depth analysis: Cap-Haïtien, Cornillon Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix, and the Port-au-Prince metropolitan area.

For each area, the report assesses local conditions for agroecology, including challenges and opportunities, based on scientific data and numerous interviews with local authorities, farmers, and forcibly returned migrants. The study illustrates how transitioning to agroecology can enhance local capacities to adapt to climate change and prevent deforestation. Additionally, it analyzes how these solutions can facilitate the sustainable reintegration of deported migrants.

The study proposes ways to strengthen and build upon local knowledge to address deforestation and environmental degradation, capitalizing on best practices. Finally, it presents concrete recommendations for agroecological activities in each selected area, tailored to local circumstances, challenges, and opportunities.

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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
  • Other

Haïti fait face à de nombreux enjeux environnementaux, socioéconomiques et politiques. Parmi eux, les impacts du changement climatique, des désastres environnementaux et les mouvements de population. Cette étude vise à établir et à comprendre le lien entre ces différents phénomènes, ainsi qu'à élaborer des stratégies et des mesures à mettre en œuvre afin d'apporter des solutions efficaces et durables.

Le rapport donne un état des lieux sur la dégradation de l'environnement, le changement climatique et la migration. Entre autres, l'étude offre un aperçu des facteurs moteurs de la déforestation et de la dégradation des terres en Haïti, tels que le choix de pratiques culturales et l'exploitation des ressources ligneuses et des produits forestiers.

L’étude met en évidence les vulnérabilités d’Haïti aux changements climatiques et présente un résumé de l’histoire récente de la dynamique migratoire, en mettant l’accent sur des questions telles que l’insécurité, la pauvreté et le manque d’opportunités économiques. Pour relever ces défis, l’agroécologie peut offrir des solutions. La production agroécologique peut créer des opportunités génératrices de revenus dans des zones touchées non seulement par la migration de retour forcé, mais également par le déplacement interne. Les derniers chiffres de l’OIM indiquent que 702 973 personnes ont été déplacées à l’intérieur d’Haïti.

L’étude analyse dans quelle mesure la transition vers l’agroécologie peut aider les populations cibles à améliorer durablement leurs conditions socioéconomiques. L’agroécologie peut également contribuer à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la production agricole locale. Haïti fait face à une crise humanitaire exacerbée par une situation sécuritaire déplorable. Environ cinq millions de personnes, soit près de 50 % de la population, sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë.

Le rapport considère le potentiel de la transition vers l’agroécologie et analyse les forces et faiblesses, tant au niveau national que local. L’étude croise des données pour identifier les communes les plus touchées par la déforestation et la migration de retour forcé. Cinq zones ont été choisies pour une analyse plus approfondie : Cap-Haïtien, Cornillon/Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix et la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Pour chaque zone, une analyse des conditions locales pour l’agroécologie est réalisée, y compris les défis et les opportunités, sur la base de données scientifiques et de nombreux entretiens effectués avec des autorités locales, des agriculteurs et des migrants de retour.

L’étude démontre comment la transition vers l’agroécologie peut d’abord soutenir les capacités locales d’adaptation aux changements climatiques et prévenir la déforestation. De plus, l’étude analyse comment ces solutions peuvent également faciliter une réintégration durable des migrants de retour forcé. Elle propose des éléments pour renforcer et valoriser les connaissances locales et, par conséquent, améliorer la situation de déforestation et de dégradation de l’environnement, en capitalisant sur les bonnes pratiques locales.

Finalement, l’étude émet des recommandations concrètes pour chaque zone afin de favoriser la transition vers l’agroécologie. Il s’agit d’interventions conçues en fonction des circonstances et des opportunités locales.

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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 30 2024
Activité
  • Other

Haïti fait face à de nombreux enjeux environnementaux, socioéconomiques et politiques. Parmi eux figurent les impacts du changement climatique, des désastres environnementaux, ainsi que les mouvements de population. Cette étude vise à établir et à comprendre le lien entre ces différents phénomènes, et à élaborer des stratégies et mesures à mettre en œuvre afin d’y apporter des solutions efficaces et durables.

Le rapport donne un état des lieux sur la dégradation de l’environnement, le changement climatique et la migration. Entre autres, l’étude fournit un aperçu des facteurs moteurs de la déforestation et de la dégradation des terres en Haïti, tels que le choix de pratiques culturales et l’exploitation des ressources ligneuses et des produits forestiers. L’étude met en évidence les vulnérabilités d’Haïti face aux changements climatiques et présente un résumé de l’histoire récente de la dynamique migratoire, en mettant l’accent sur des questions telles que l’insécurité, la pauvreté et le manque d’opportunités économiques.

Pour relever ces défis, l’agroécologie peut offrir des solutions. La production agroécologique peut créer des opportunités génératrices de revenus dans des zones touchées non seulement par la migration de retour forcé, mais également par le déplacement interne. Les derniers chiffres de l’OIM indiquent que 702 973 personnes ont été déplacées à l’intérieur d’Haïti. L’étude analyse dans quelle mesure la transition vers l’agroécologie peut aider les populations cibles à améliorer durablement leurs conditions socioéconomiques.

L’agroécologie peut également contribuer à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la production agricole locale. Haïti fait face à une crise humanitaire exacerbée par une situation sécuritaire déplorable. Environ cinq millions de personnes, soit près de 50 % de la population, sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë.

Le rapport considère le potentiel de la transition vers l’agroécologie et analyse les forces et faiblesses, tant au niveau national que local. L’étude croise les données pour identifier les communes les plus touchées par la déforestation et la migration de retour forcé. Parmi celles-ci, cinq zones ont été choisies pour une analyse plus approfondie : Cap-Haïtien, Cornillon/Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix et la zone métropolitaine de Port-au-Prince.

Pour chaque zone, une analyse est réalisée des conditions locales pour l’agroécologie, y compris les défis et les opportunités, sur la base de données scientifiques et de nombreux entretiens menés avec des autorités locales, des agriculteurs et des migrants de retour. L’étude démontre comment la transition vers l’agroécologie peut d’abord soutenir les capacités locales d’adaptation aux changements climatiques et prévenir la déforestation.

D’ailleurs, l’étude analyse comment ces solutions peuvent également faciliter une réintégration durable des migrants de retour forcé. Elle propose des éléments visant à renforcer et à valoriser les connaissances locales et, par conséquent, à améliorer la situation de déforestation et de dégradation de l’environnement, en capitalisant sur les bonnes pratiques locales.

Finalement, l’étude émet des recommandations concrètes pour chaque zone en vue de la transition vers l’agroécologie. Il s’agit d’interventions conçues en fonction des circonstances et des opportunités locales.

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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
May 01 2024
Jul 31 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

La transhumance, une pratique traditionnelle de déplacement saisonnier du bétail entre différentes zones de pâturage, est une activité vitale pour les communautés pastorales. La wilaya du Guidimaghaa en Mauritanie, située à la frontière avec le Mali et le Sénégal, est une zone clé pour la transhumance entre ces trois pays en raison de sa position géographique et de ses ressources naturelles. Afin de réduire les risques de conflits pouvant découler de ces mouvements en transhumance, OIM Mauritanie avec le soutien du fonds pour la consolidation de la paix (PBF), met en œuvre son système d’alerte précoce afin de prévenir les conflits et tensions en lien avec ces mouvements mais également de réduire les impacts des aléas climatiques en informant les communités sur certains événements.

Le système d'alerte précoce de l’outil de suivi de la transhumance, en tant que composante de la matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix (DTM), en anglais) de l'OIM, avec le soutien des points focaux communautaires et des informateurs clés, recueille des informations sur les alertes relatives aux mouvements de transhumance afin de comprendre les modes de résolution et d’informer les autorités compétentes afin de réduire les tensions dans les localités d’intervention.

Ce rapport présente les données d’alerte précoce recueillies entre mai et juillet 2024 dans la wilaya du Guidimaghaa. Durant cette période, 40 alertes, dont 08 évènements (20%) et 32 alertes de mouvements (80%) ont été

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jun 11 2024
Aug 13 2024
Activité
  • Survey
  • Mobility Tracking
  • Multi-Sectoral Needs Assessment

Haïti, et particulièrement la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), a été ces dernières années le théâtre de violences armées qui ont entraîné d'importants déplacements de population.

Dans ce contexte, la DTM met en oeuvre divers instruments pour améliorer la compréhension des dynamiques des déplacements, ainsi que des profils et des besoins des populations affectées. Une série d’enquêtes ont notamment été menées du 11 juin au 13 août 2024.

L'objectif de ces enquêtes est de recueillir des données détaillées au niveau des ménages pour mieux appréhender les profils et les besoins des personnes affectées par les déplacements (personnes déplacées internes et communautés hôtes), afin d'éclairer de manière plus efficace les programmes humanitaires et les solutions pour les déplacements.

Dans ce rapport, les analyses sont effectuées sur les besoins en éducation des PDI et leurs communautés hôtes.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jun 11 2024
Aug 13 2024
Activité
  • Survey
  • Mobility Tracking
  • Multi-Sectoral Needs Assessment

Haïti, et particulièrement la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), a été ces dernières années le théâtre de violences armées qui ont entraîné d'importants déplacements de population.

Dans ce contexte, la DTM met en oeuvre divers instruments pour améliorer la compréhension des dynamiques des déplacements, ainsi que des profils et des besoins des populations affectées. Une série d’enquêtes ont notamment été menées du 11 juin au 13 août 2024.

L'objectif de ces enquêtes est de recueillir des données détaillées au niveau des ménages pour mieux appréhender les profils et les besoins des personnes affectées par les déplacements (personnes déplacées internes et communautés hôtes), afin d'éclairer de manière plus efficace les programmes humanitaires et les solutions pour les déplacements.

Tout en rappelant que la protection est transversale, ce rapport analyse des éléments spécifiques des besoins en protection des personnes déplacées internes et leurs communautés hôtes

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jun 11 2024
Aug 13 2024
Activité
  • Survey
  • Mobility Tracking
  • Multi-Sectoral Needs Assessment

Haïti, et particulièrement la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), a été ces dernières années le théâtre de violences armées qui ont entraîné d'importants déplacements de population.

Dans ce contexte, la DTM met en oeuvre divers instruments pour améliorer la compréhension des dynamiques des déplacements, ainsi que des profils et des besoins des populations affectées. Une série d’enquêtes ont notamment été menées du 11 juin au 13 août 2024.

L'objectif de ces enquêtes est de recueillir des données détaillées au niveau des ménages pour mieux appréhender les profils et les besoins des personnes affectées par les déplacements (personnes déplacées internes et communautés hôtes), afin d'éclairer de manière plus efficace les programmes humanitaires et les solutions pour les déplacements.

Dans ce rapport, les analyses sont effectuées sur les besoins en eau, hygiène et assainissement des PDI et leurs communautés hôtes.