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Crisis Responses
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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
- Survey
- Flow Monitoring Survey
- Flow Monitoring
- Flow Monitoring Registry
Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM).
Le suivi des flux de populations est un travail de collecte de données qui vise à identifier les zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et les partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS).
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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Dec 29 2023
Feb 07 2024
Activité
- Survey
- Return Intention
- Mobility Tracking
Suite au conflit armé survenu en avril 2023 au Soudan, plus de 750,000 personnes ont été contraintes de quitter ce pays pour se réfugier au Tchad, principalement à l’Est. Cela inclut plus de 180,000 retournés qui sont des ressortissants tchadiens vivant au Soudan depuis de nombreuses années et qui ont été enregistrés par l’OIM dans plusieurs sites dans les provinces du Sila et du Ouaddaï. L’OIM a organisé une enquête en décembre 2023 afin de recueillir des informations détaillées sur les conditions actuelles des retournés tchadiens et des communautés qui les accueillent ainsi que sur les intentions de retour des retournés. De ce fait, 1 005 ménages ont été enquêtés dans la province du Ouaddaï et 589 ménages dans la province du Sila.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jun 14 2024
Jun 17 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ces informations ont été collectées suite aux attaques armées qui ont eu lieu le 13 juin 2024 dans la section communale de Lagon située dans la commune de Terre Neuve (Département de l’Artibonite). En conséquence de ces attaques, 1 060 personnes se sont déplacées, notamment vers la commune des Gonaïves (68%). Toutes ces personnes se sont réfugiées auprès des familles d’accueil.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jun 14 2024
Jun 15 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ces informations ont été collectées suite aux affrontements armés qui ont eu lieu dans la partie basse de la commune de Delmas dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince, depuis le 13 juin 2024. En conséquence de ces affrontements, 767 personnes se sont déplacées et dirigées en majorité (67%) en familles d’accueil dans des quartiers de la même commune et dans celle de Port-au-Prince. Les autres 33% se sont réfugiées dans deux sites spontanés où d’autres personnes déplacées résident depuis plusieurs mois.
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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 01 2024
Mar 04 2024
Activité
- Other
L’évaluation des comportements suicidaires (suicides, planifications et tentatives de suicides) parmi les personnes déplacées interne (PDI) dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPAP) présentée dans ce rapport propose de comprendre le lien possible entre la situation migratoire des Haïtiens et le risque suicidaire éventuel. Elle s’inscrit dans un contexte difficile, avec une histoire complec et une culture forte et ancrée qu’il est nécessaire de prendre en compte.
Dans le but de contribuer à l’effort collectif nécessaire à la diminution du risque suicidaire au sein des PDI de la ZMPAP, cette évaluation suggère des modalités d’intervention s’articulant autour de trois axes spécifiques :
➔Le renforcement des capacités et compétences techniques des services de l’état dans les domaines de la santé men-tale et de la prévention du suicide ;
➔Le renforcement du bien-être psychosocial des déplacés internes de Port-Au-Prince ;
➔ L’amélioration de la prise en charge spécialisée en santé mentale et du risque suicidaire.
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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Feb 01 2024
May 31 2024
Activité
- Survey
- Migrants presence
- Mobility Tracking
La transhumance, une pratique traditionnelle de déplacement saisonnier du bétail entre différentes zones de pâturage, est une activité vitale pour les communautés pastorales. La wilaya du Guidimaghaa en Mauritanie, située à la frontière avec le Mali et le Sénégal, est une zone clé pour la transhumance entre ces trois pays en raison de sa position géographique et de ses ressources naturelles. Afin de réduire les risques de conflits pouvant découler de ces mouvements en transhumance, OIM Mauritanie avec le soutien du fonds pour la consolidation de la paix (PBF), met en œuvre son système d’alerte précoce afin de prévenir les conflits et tensions en lien avec ces mouvements mais également de réduire les impacts des aléas climatiques en informant les communités sur certains événements.
Le système d'alerte précoce de l’outil de suivi de la transhumance, en tant que composante de la matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix (DTM), en anglais) de l'OIM, avec le soutien des points focaux communautaires et des informateurs clés, recueille des informations sur les alertes relatives aux mouvements de transhumance afin de comprendre les modes de résolution et d’informer les autorités compétentes afin de réduire les tensions dans les localités d’intervention.
Ce rapport présente les données d’alerte précoce recueillies entre février et avril 2024 dans la wilaya du Guidimaghaa. Durant cette période, 16 alertes, dont 12 évènements (75%) et 4 alertes de mouvements (25%) ont été remontées par les relais communautaires intervenant dans le système d’alerte précoce.
Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 31 mars 2024, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 31 mars 2024.
Ainsi, le rapport examine l’évolution, au Ghana, au Togo, au Bénin et en Côte d’Ivoire :
- des incidents sécuritaires;
- des types et fréquence de violences;
- des déplacements forcés de PDI et de réfugiés;
- de l’ouverture des frontières internationales;
- de la sécurité alimentaire et de la nutrition;
- des violences basées sur le genre;
- des dynamiques communautaires;
- et de la situation des Droits de l’Homme.
La migration irrégulière est un phénomène complexe, dynamique et fragmenté, et reste difficile à décrire pleinement. Il est essentiel de renforcer la compréhension des itinéraires migratoires, des tendances ainsi que des profils des migrants afin de protéger les migrants et de soutenir des politiques fondées sur des données probantes. La Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM) et le Projet sur les migrants disparus (Missing Migrants Project, MMP) de l'Organisation internationale pour les migrations collectent des données sur les départs, les arrivées, les décès et les disparitions de migrants le long des routes migratoires.
Ce document présente la reprise des migrations depuis les côtes de l'Afrique de l'Ouest vers les îles Canaries (Espagne). Cette route, déjà active en 2006, a connu un nombre croissant de mouvements en 2023, et au cours des premiers mois de 2024, des augmentations considérables ont été enregistrées par rapport à l'année précédente. Les risques, décès et disparitions suite à des naufrages sont également en augmentation le long des côtes atlantiques. Entre janvier et mars 2024, 13 115 migrants ont atteint les îles Canaries de manière irrégulière après avoir traversé en bateau depuis les côtes de l'Afrique de l'Ouest, soit une augmentation de 502 pour cent par rapport à 2023 (2 178).
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Jun 04 2024
Jun 10 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Magoumaz, Ldubam-bas, Zouba-Segoulé (arrondissement de Mokolo), Gousda-Wayam, Hazalak, Mavoumai-Mbrom, et Oupai (Arrondissement de Koza) qui se sont continuellement déplacées vers les localités de Mokolo centre (Zimangayak, Ldamtsai carrefour Dongoi, Wayam-Hawane, Wayam-Tambak, Dzawandai), Ldamang, Mikilik (arrondissement de Mokolo) et les localités de Guidbala, Kechkémé, Hamdala, Lamordé et Pambao (arrondissement de Koza) dans le département du département de Mayo-Tsanaga.
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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Snapshot Date
Jun 03 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
•Depuis le début des affrontements au Soudan, presque 750 000 personnes ont traversé la frontière vers leTchad. L’OIM estime que plus de 173 124 parmi eux sont des retournés tchadiens et s’attend à ce que cenombre passe à 240 000 d’ici fin décembre 2024, en raison de la reprise du conflit et de l’insécurité alimentaireau Darfour. Les retournés tchadiens qui vivaient au Soudan et ont été déplacés vers leur pays d'origine où ilsn'ont pas les ressources nécessaires pour reconstruire leur vie.
•En tant qu'agence principale pour la réponse aux retournés, l'OIM collabore avec un éventail de partenairesopérationnels, notamment le gouvernement du Tchad, le HCR, OCHA, la FLM, PUI, l'UNICEF, MSF, l'UNFPA,LMI, le CICR, l'IRC, ACTED, la Croix-Rouge tchadienne, HELP-Tchad, Concern Worldwide, COOPI, INTERSOSet le PAM.
•En coordination avec la CNARR et les organisations humanitaires, l'OIM a déjà enregistré plus de 122 191retournes et 365 ressortissants de pays tiers (Soudan du Sud, Niger, Éthiopie, République centrafricaine, BurkinaFaso, Sierra Leone, Nigéria et Ouganda) dans 52 localités de trois provinces.
•La plupart des retournés sont installés spontanément près de la frontière avec le Soudan et ont un besoin urgentde nourriture, d’eau, d’assainissement et d’hygiène, d’abris, d’articles non alimentaires, de soutien sanitaire et deprotection.
•L'OIM continue le développement des sites de retournés de Tongori, dans la province du Ouaddaï, et deDeguessa, dans la province de Sila, qui, avec respectivement plus de 13 000 et 25 000 individus, sont les deuxplus grands sites de retournés de l'est du Tchad. L'OIM et ses partenaires offrent une assistance en matière d'abris,d'accès à l'information sur l'eau, d'assainissement et d'assainissement, d'assainissement et d'assainissement, ainsique des services de protection et de santé mentale dans ces deux sites.
•L'OIM se coordonne avec les autorités locales et les représentations diplomatiques pour le retour volontairedans leur pays d'origine des ressortissants de pays comme l'Éthiopie, le Soudan du Sud, le Nigéria, le Niger et leCameroun, vivant auparavant au Soudan et déplacés vers l'est du Tchad.
•Parallèlement à l'aide d'urgence, l'OIM développe des activités de résilience pour les retournés et lescommunautés locales qui les accueillent. Il s'agit notamment de transformer les abris temporaires en logementsdurables, de soutenir les moyens de subsistance et d'améliorer l'accès aux services de base. L'OIM soutientégalement la coexistence pacifique à long terme entre les différentes communautés.