Mobility Tracking

Share

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
May 01 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La crise dans le Bassin du lac Tchad est le résultat d’une combinaison complexe d’une multitude de facteurs, y compris un conflit armé impliquant des groupes armés non-étatiques, des niveaux extrêmes de pauvreté, un développement peinant, et des bouleversements climatiques, qui ont conduit à des déplacements importants de populations.

En mai 2024, le Cameroun, le Chad, le Niger et le Nigéria accueillaient un total de 6 089 741 individus affectés par la crise, dont des personnes déplacées internes (PDI), des retournés (anciennes PDI et retournés de l’étranger) et des réfugiés (vivant en et hors des camps). Treize pour cent des individus affectés (776 082 personnes) résidaient au Cameroun, 5 pour cent au Tchad (296 654 personnes), 9 pour cent au Niger (559 649 personnes) et enfin, 74 pour cent au Nigéria (4 457 356 personnes). De façon générale, les nombres montrent augmentation de PDI (+1%) et de retournés de l’étranger (+5%), ainsi qu’une diminution de réfugiés (-2%) depuis décembre 2023 dans la région. ​

Télécharger

Share

Contacter
DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
May 01 2024
May 25 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des urgences a pour but de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains, ainsi que sur des urgences de sécurité et climatiques. Les informations sont collectées par le biais d’entretiens avec des informateurs clés ou par des observations directes. Ce tableau de bord présente les informations sur les mouvements des populations survenus du 31 mars au 14 avril 2024 des localités de Wadarom, Baltouwa et Tchoukou-Kadaram vers les sites de Tchoukou Toubou et Koulfoua, dans la province du Lac

Télécharger

Share

Contacter
DTM République Centrafricaine, DTMRCA@iom.int
Langue
English
Période couverte
Apr 01 2024
May 09 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment

Ce tableau de bord présente les dynamiques de déplacements à l’échelle nationale. L’évaluation a été réalisée dans 4 224 localités de présence des PDI et / ou retournés et 78 sites de déplacement. La collecte de données s’est tenue entre le 01er avril et le 09 mai 2024 dans les 16 préfectures du pays en plus de la capitale Bangui.

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Other
  • Survey
  • Flow Monitoring
  • Mobility Tracking

Dans la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre (AOC), le Sahel s'étend de la Mauritanie au Tchad, séparant le désert du Sahara au nord, des pays côtiers tropicaux au sud. Sur le continent africain, il s'étend de l'océan Atlantique à l'ouest jusqu’à la mer Rouge à l'est, séparant ainsi le désert de la savane. Les routes migratoires de l'AOC traversent inévitablement le Sahel et, tout au long de leur voyage, les migrants sont confrontés à de multiples risques. Ce rapport compile des informations provenant de différentes activités menées dans la région dans le but de mettre en évidence les diverses dynamiques, profils et risques auxquels les migrants sont confrontés lorsqu'ils voyagent sur les routes d'AOC à travers le Sahel.

Ce tableau de bord couvre la période allant de janvier à mars 2024 et se base sur des informations provenant (1) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM) sur la mobilité et les flux de populations ; (2) du Projet des migrants disparus (Missing Migrants Project, MMP) sur les arrivées en Europe et aux Îles Canaries, les décès et les disparitions de migrants ; (3) des données sur les migrants cherchant l'Assistance au retour volontaire et à la réintégration (Assistance to Voluntary Return and Reitegration, AVRR) vers et à travers la région d’AOC ; (4) des données sur les expulsions de migrants d'autres régions vers l'AOC, en particulier d'Algérie et de Libye ; (5) de l'Outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool, TTT) sur la mobilité des populations transhumantes à travers le Sahel ; et (6) des indicateurs de stabilité de l'Indice de solutions et de mobilité (Solutions and Mobility Index, SMI) dans la région sahélienne.

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
French
Emplacement
Période couverte
Apr 01 2024
Apr 30 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La région du Sahel central, et plus particulièrement la zone du Liptako Gourma, qui enjambe le Burkina Faso, le Mali et le Niger, est témoin d’une crise complexe qui comprend comme enjeux une compétition grandissante pour le contrôle des ressources; des bouleversements climatiques; une croissance démographique galopante; des niveaux élevés de pauvreté; l’absence d’opportunités économiques; des tensions communautaires; l’absence de présence étatique et le manque de services sociaux de base; ainsi que des violences provoquées par des réseaux de crime organisé et des groupes armés non-étatiques. La crise a engendré des déplacements importants de populations dans les pays concernés et affecte, par ailleurs, des pays voisins tels que la Mauritanie ou les pays côtiers.  

​En avril 2024, 3 135 099 individus sont déplacés, y compris 2 636 880 personnes déplacées internes (84% de la population affectée) et 498 219 réfugiés (16% de la population affectée). Soixante-sept pour cent des individus (2 100 990 personnes) se situaient au Burkina Faso, 14 pour cent résidaient au Mali (442 363 personnes), 11 pour cent au Niger (352 553 personnes) et 4 pour cent en Mauritanie (119 354 personnes). Le recent déversement de cette crise vers les pays côtiers, à savoir la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin, fait prevue d’un nombre croissant de réfugiés arrivant du Sahel central vers ces pays et, à l’interne, des populations déplacées. En avril, sont recensés 119 839 individus affectés dans ces quatre pays réunis (18 897 au Bénin, 47 392 en Côte d’Ivoire, 7 238 au Ghana et 46 312 au Togo) dont un total de 30 372 déplacés internes.​

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
French
Emplacement
Période couverte
Apr 01 2024
Apr 30 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. De plus, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées. En avril 2024, il est dénombré un total de 4 033 831 individus affectés, y compris 521 857 personnes déplacées internes (PDI) (13% de la population déplacée), 2 196 858 retournés anciennes PDI (54%), 528 521 retournés de l’étranger (13%) et 786 595 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (353 153 individus ou 47% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (212 437 individus ou 28% des réfugiés) et au Tchad (134 184 individus ou 18% des réfugiés). Néanmoins, 15 150 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Depuis le début de la crise Soudanaise, ce sont 41 795 individus qui sont entrés en RCA. En effet, le pays est le refuge d’individus de pays voisins avec 35 197 réfugiés venus du Soudan (24 466 individus), de la RDC (6 440), du Sud Soudan (2 792 individus) et du Tchad (1 499 individus).

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
French
Emplacement
Période couverte
Apr 01 2024
Apr 30 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La crise dans le Bassin du lac Tchad est le résultat d’une combinaison complexe d’une multitude de facteurs, y compris un conflit armé impliquant des groupes armés non-étatiques, des niveaux extrêmes de pauvreté, un développement peinant, et des bouleversements climatiques, qui ont conduit à des déplacements importants de populations. En avril 2024, le Cameroun, le Chad, le Niger et le Nigéria accueillaient un total de 6 089 049 individus affectés par la crise, dont des personnes déplacées internes (PDI), des retournés (anciennes PDI et retournés de l’étranger) et des réfugiés (vivant en et hors des camps). Treize pour cent des individus affectés (775 827 personnes) résidaient au Cameroun, 5 pour cent au Tchad (296 654 personnes), 9 pour cent au Niger (559 212 personnes) et enfin, 74 pour cent au Nigéria (4 457 356 personnes). De façon générale, les nombres montrent augmentation de PDI (+1%) et de retournés de l’étranger (+5%), ainsi qu’une diminution de réfugiés (-2%) depuis décembre 2023 dans la région.

Télécharger

Share

Contacter
dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
May 11 2024
May 12 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Les informations ci-dessous ont été collectées suite à une attaque armée survenue le 11 mai dans la commune de Gressier, plus précisément dans la 1ère section Morne à Bateau. En conséquence de cet incident, 4 463 personnes ont été déplacées et se sont dirigées vers les départements de l'Ouest (92%), Nippes (4%) et le Sud (3%). Parmi elles, 73% ont trouvé refuge auprès de familles d'accueil, tandis que 27% se sont installées dans 7 sites, comprenant 4 nouveaux sites et 3 sites déjà existants.

Télécharger

Share

Contacter
DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Apr 20 2024
May 07 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de six informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non-gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés.

Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Ngourkouma, Ndogoré (Arrondissement de Blangoua), Bedeiné, Amsakine, Gurvidik et Danka (Arrondissement de Darak) se sont déplacées vers le site de Blangoua Bâche, Massaki, Madaik et Larisky (arrondissement de Blangoua), les localités Nigué, Ndogoré, Ngarkawa, Mada, (arrondissement de Makary) dans le département du Logone-Et-Chari.

Télécharger

Share

Contacter
dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Apr 25 2024
May 07 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Les informations ci-dessous ont été collectées suite à plusieurs attaques armées survenues entre le 25 avril et le 5 mai 2024 dans la commune de Delmas, plus précisément dans les quartiers de Cité Numéro 2 (Delmas 24) et Solino. En conséquence de ces incidents, les résidents de six sites situés dans les quartiers de Cité Numéro 2, Carrefour Pean, 2ème cité Saint Martin et Sylvio Cator - Delmas 28 ont été contraints d'évacuer ces sites. Au total, 5 178 personnes ont été déplacées, comprenant à la fois les résidents de ces six sites et les résidents du quartier Cité Numéro 2. Les personnes déplacées internes (PDI) se sont dirigées vers les communes de Port-au-Prince, Delmas, Croix-Des-Bouquets et Tabarre. Parmi elles, 51% ont trouvé refuge auprès de familles d'accueil, tandis que 49% se sont installées dans dix sites, comprenant six nouveaux sites et quatre sites déjà existants.