Mobility Tracking

Ce document présente une collection de cartes issues des données collectées lors la deuxième phase (Round 2) des évaluations sur la situation de déplacement dans le département de l’Artibonite. Les évaluations se sont déroulées du 12 au 19 juin 2023 dans les sections communales et sites d’accueil des populations déplacées internes et retournées. Dans ces lieux, les données ont été collectées à travers des interviews avec des informateurs clés ainsi que des observations directes.

Ce document présente une collection de cartes issues des données collectées lors la deuxième phase (Round 2) des évaluations sur la situation de déplacement dans le département de l’Artibonite. Les évaluations se sont déroulées du 12 au 19 juin 2023 dans les sections communales et sites d’accueil des populations déplacées internes et retournées. Dans ces lieux, les données ont été collectées à travers des interviews avec des informateurs clés ainsi que des observations directes.

Ce document présente une collection de cartes issues des données collectées lors la première phase (Round 1) des évaluations sur la situation de déplacement dans le département du Centre. Ces évaluations se sont déroulées du 16 au 22 juin 2023 dans les sections communales et sites d’accueil des populations déplacées internes et retournées. Dans ces lieux, les données ont été collectées à travers des interviews avec des informateurs clés ainsi que des observations directes

Ce document présente une collection de cartes issues des données collectées lors la première phase (Round 1) des évaluations sur la situation de déplacement dans le département du Centre. Ces évaluations se sont déroulées du 16 au 22 juin 2023 dans les sections communales et sites d’accueil des populations déplacées internes et retournées. Dans ces lieux, les données ont été collectées à travers des interviews avec des informateurs clés ainsi que des observations directes.

L'objectif de ce rapport est de renforcer la compréhension de la situation de déplacement dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP) à partir des témoignages des personnes déplacées internes (PDIs) résidant dans différents sites spontanés. Ces témoignages ont été collectés à travers des entretiens individuels réalisés du 21 au 25 juillet 2023. Les informations recueillies fournissent un aperçu qualitatif sur les facteurs qui influencent leur choix de vivre dans des sites spontanés, sur leurs conditions de vie dans ces sites, les dynamiques de solidarité qui s’y développent, ainsi que sur les propositions des PDIs sur les assistances à leur apporter

La situation humanitaire au Togo a été marquée en 2022, par le débordement de la crise du sahel occasionnant d’importants dégâts matériels,des déplacement massifs des populations et des pertes en vies humaines dans la région des Savanes.

A cette crise s’ajoute les autres aléas tel que les inondations, les vents violents, les épidémies, etc. Cette situation a provoqué des déplacements interne au Nord du Togo dont les chiffres restent à déterminer.

Afin de donner un premier aperçu sur les besoins des PDIs, L'ANPC après avoir bénéficié d’une formation sur la Matrice de suivi des
déplacements (Displacement Tracking matrix, DTM en anglais) a déployé des équipes le 10 juillet 2023 pour mener une évaluation
multisectorielle des lieux (MSLA) au niveau des villages afn d'aider le gouvernement et les partenaires dans leurs efforts de réponse. Cette
première mise à jour du rapport couvre les 50 villages évalués entre le 28 juin et 9 juillet 2023 et donne un aperçu du nombre actuel de
ménages déplacés et de personnes résidant dans les six préfectures frontalières dans la région des Savanes.

Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 31 juillet 2023, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 31 juillet 2023.

Ainsi, le rapport examine l’évolution, au Ghana, au Togo, au Bénin et en Côte d’Ivoire :

- des incidents sécuritaires;

- des types et fréquence de violences;

- des déplacements forcés de PDI et de réfugiés;

- de l’ouverture des frontières internationales;

- de la sécurité alimentaire et de la nutrition;

- des violences basées sur le genre;

- des dynamiques communautaires;

- et de la situation des Droits de l’Homme.

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de six informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non-gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de manière progressive et continue de populations des localités de Tourou, Moutaz, Doulong, Dingling, Ldoubam, Batawaya, Oupai, Goldavi, Douval, Moudouko, Ziver et Talakatchi vers les localités de Ldoubam, Wandai, Segoulé, Sirak-Gorai, Zamalva, Mokolo Centre, Grédé, Mikilik, Windé-Zamai et Ouro Tada dans l'arrondissement de Mokolo, département du Mayo-Tsanaga.

Le 6 septembre 2023, des violences liées à l’insécurité ont eu lieu dans le quartier de Solino dans la commune de Port-au-Prince (Département de l’Ouest). En plus de pertes en vies humaines, ces violences ont provoqué un déplacement d’environ 299 ménages comprenant 1 305 individus, qui se sont principalement refugiés dans les quartiers de communes de Delmas (67%) et de Port-au-Prince (28%). La majorité des PDIs (56%) se sont réfugiées dans des familles d’accueil et 44% dans 4 sites (2 dans la commune de Port-au-Prince et 2 à de Delmas)