Flow Monitoring

Share

Télécharger

Share

Contacter
DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
English
Emplacement
Mali
Période couverte
Feb 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Ce rapport met en exergue les principaux résultats issus de l’enregistrement de flux de migrants et des enquêtes individuelles effectués par la DTM auprès des migrants transitant aux différents points de suivi de flux (FMP) du Mali au cours du dernier trimestre de l’année 2023.

Les différents résultats témoignent du fait que le Mali soit l’une des principales routes empruntées par les migrants en Afrique de l’Ouest. En effet, la diversité des nationalités observées, des routes empruntées, des pays de provenance et de destination, démontrent la place prépondérante qu’occupe le Mali dans les mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre.

Les problématiques de la traite des personnes, du trafic illicite de migrants, de vulnérabilités, ainsi que l’insécurité observée de jour en jour sur les routes migratoires, auxquelles sont exposées les migrants restent des facteurs sur lesquels peu d’information sont fournies.

Télécharger

Share

Contacter
DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
English
Emplacement
Mali
Période couverte
Jan 11 2024
Jan 28 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring

L'indice de solution et de mobilité comprend des données collectées par le biais d'entretiens avec des informateurs clés (IC) au niveau local dans 100 localités de passage des transhumants, dans 6 cercles (Ansongo, Djenné, Douentza, Gao, Koro et Mopti) des régions de Mopti et de Gao.

Les lieux de collecte des données ont été sélectionnés grâce à un exercice de cartographie visant à identifier les zones de passage des transhumants (voir l'annexe pour plus d'informations). Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés. Ils se sont tenus du 11 au 28 janvier 2024. Plusieurs informateurs clés ont été interrogés dans chaque localité, ce qui a permis à l'OIM de procéder à une validation croisée des informations. Les informateurs clés comprennent les maires, les chefs de communauté et d'autres représentants de la communauté. La méthode d'interroger les informateurs clés présente l'avantage de collecter rapidement des informations sur de nombreuses localités, mais elle est limitée en ce sens qu'elle n'est qu'une représentation estimative des points de vue d'une communauté entière. En outre, les résultats de l’ISM représentent des conditions à un moment donné et peuvent donc varier d'un cycle à l'autre ou changer soudainement.

Télécharger

Share

Contacter
DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Oct 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM). 

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte des données qui vise à identifier des zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et les partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

Télécharger

Share

Contacter
DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Mar 08 2024
Apr 09 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Depuis la fin du mois de février 2024, la situation sécuritaire s’est détériorée dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), la capitale d’Haïti. En plus de créer des déplacements à l’intérieur de la ZMPP, l’insécurité généralisée poussent de plus en plus de personnes à quitter la capitale pour trouver refuge dans les provinces, en prenant les risques de passer par des routes contrôlées par des gangs. Afin de suivre ces mouvements vers les provinces et informer les stratégies de réponse adéquates, la DTM a lancé des collectes de données au niveau de plusieurs stations de bus les plus utilisées dans la capitale (voir la page 5 pour plus de détails sur la méthodologie). En un mois de mise en œuvre de cette activité (depuis le 08 mars), elle a permis d’observer les mouvements de 94 821 personnes quittant la ZMPP (voir les pages 3 et 4 pour plus de détails sur le profil de ces personnes). Ces personnes ont en majorité (58%) pris des moyens de transport se dirigeant vers les départements du Grand Sud (Grande’Anse, Sud, Nippes et Sud-Est). Il est à noter que cette région accueille déjà plus 116 000 personnes qui avaient en grande partie fui la ZMPP durant des mois passés (voir le rapport sur les déplacements dans le Grand Sud).

La moitié de flux se sont dirigés vers 3 communes de destination principale : Jérémie (dans la Grande’Anse), Les Cayes (Sud) et Léogâne (Ouest). Il convient de souligner que les provinces n’ont pas suffisamment d’infrastructures et les communautés hôtes n’ont pas de ressources suffisantes qui peuvent leur permettre de faire face à ces flux de déplacements massifs venant de la capitale.

 

 Il convient de souligner qu’au début du mois de mars, lorsque la situation sécuritaire s’est empirée, ce sont les personnes qui étaient déjà déplacées internes (PDIs) qui ont été les premières à commencer à quitter la capitale. Au fil du temps, les personnes qui n’étaient pas de PDIs deviennent de plus en plus nombreuses à aussi quitter la capitale : au 10 mars, 86% des personnes quittant la ZMPP étaient des PDIs. Un mois plus tard, ce pourcentage a baissé à 60% alors que près de 40% sont des personnes qui n’avaient jamais fui leur résidence et qui décident de la quitter et chercher refuge en provinces. Ceci décrit encore plus la détérioration de la situation dans la capitale, vu que quitter la capitale pourrait être une décision relativement plus rapide à prendre pour une personne qui était déjà déplacée que pour celle qui était encore dans sa résidence et qui décide de la quitter pour chercher refuge en provinces.

Télécharger

Share

Contacter
DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Mar 08 2024
Mar 27 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Depuis quelques semaines, les attaques armées se sont intensifiées dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), la capitale d’Haïti. En plus de créer des déplacements à l’intérieur de la ZMPP, les attaques et l’insécurité généralisée poussent de plus en plus de personnes à quitter la capitale pour trouver refuge dans les provinces, en prenant les risques de passer par des routes contrôlées par des gangs. Afin de suivre ces mouvements vers les provinces et informer les stratégies de réponse adéquates, la DTM a lancé des collectes de données au niveau de plusieurs stations de bus les plus utilisées dans la capitale (voir la page 5 pour plus de détails sur la méthodologie). Depuis le début de cette activité, le 08 mars, jusqu’au 27 mars, cette activité a permis d’observer les mouvements de 53 125 personnes quittant la ZMPP (voir les pages 3 et 4 pour plus de détails sur le profil de ces personnes). Ces personnes ont en majorité (61%) pris des moyens de transport se dirigeant vers les départements du Grand Sud (Grande’Anse, Sud, Nippes et Sud-Est). Il est à noter que cette région accueille déjà plus 116 000 personnes qui avaient en grande partie fui la ZMPP durant des mois passés (voir le rapport sur les déplacements dans le Grand Sud).

Il convient de souligner que les provinces n’ont pas suffisamment d’infrastructures et les communautés hôtes n’ont pas de ressources suffisantes qui peuvent leur permettre de faire face à ces flux de déplacements massifs venant de la capitale.

Télécharger

Share

Contacter
Regional Office Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Burkina Faso
Période couverte
Feb 01 2024
Feb 29 2024
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de Suivi des flux de populations de la Matrice de suivi des déplacements, récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Faramana et Yendéré en avril 2018 pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.Deux autres points importants (Cinkansé et Dori) ont été  respectivement mis en place en mai 2023 et en janvier 2024.

Télécharger

Share

Contacter
DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Mar 08 2024
Mar 10 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Depuis le 29 février 2024, plusieurs quartiers de la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), la capitale d’Haïti, sont ciblés par des attaques armées accrues. Près de 15 000 personnes se sont déplacées suite à ces attaques (voir le ETT 39.1). En plus de créer des déplacements à l’intérieur de la ZMPP, ces attaques poussent de plus en plus de personnes à quitter la capitale pour trouver refuge dans les provinces, en prenant les risques de passer par des routes contrôlées par des gangs. Afin de suivre ces mouvements vers les provinces et informer les stratégies de réponse adéquates, la DTM a lancé des collectes de données au niveau de plusieurs stations de bus les plus utilisées dans la capitale (voir la page 4 pour plus de détails sur la méthodologie). Depuis le début de cette activité, le 08 mars, jusqu’au 10 mars, cette activité a permis d’observer les mouvements de 7 672 personnes quittant la ZMPP (voir les pages 2 et 3 pour plus de détails sur le profil de ces personnes). Ces personnes ont en majorité (66%) pris des moyens de transport se dirigeant vers les départements du Grand Sud (Grande’Anse, Sud, Nippes et Sud-Est). Il est à souligner que cette région accueille déjà plus 116 000 personnes qui avaient en grande partie fui la ZMPP durant des mois passés (voir le rapport sur les déplacements dans le Grand Sud).

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Dec 07 2023
Feb 23 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring
  • Migrants presence

Dans le cadre du projet sur l’Assistance factuelle aux migrants en situation de vulnérabilité en Afrique de l'Ouest et du Centre (AOC), une étude sur les tendances migratoires régionales et les besoins de protection s’imposait. En AOC, la migration est complexe et périlleuse; elle connaît une variété de flux migratoires causés par la pression démographique, la pauvreté, les défis économiques et climatiques, ainsi que les conflits. 

Dans ce contexte, l’étude sur le profil des migrants au Gabon vise à apporter des éléments permettant de répondre aux besoins en protection fondés sur la situation effective de vulnérabilité des migrants observée dans le pays. De ce fait, le profilage des migrants s’est appuyé sur la méthodologie de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais) de l’OIM pour mener des enquêtes sur les caractéristiques, les profils, les intentions, le parcours migratoire, les conditions de vie, les risques, les vulnérabilités et les besoins des migrants au Gabon; l’objectif de cet exercice étant de mettre en évidence ces aspects afin de développer un cadre spécifique pour la protection des migrants, la lutte contre la traite et la promotion d'un retour sûr et digne en vue d'une réintégration durable. 

Ce rapport présente les résultats de l’enquête quantitative sur le profil des migrants menée au Gabon, dans les villes de Bitam, Franceville, Libreville, Mouila et Port-Gentil entre le 07 et le 23 décembre 2023. Les résultats des analyses clés sont présentés en quatre parties: le profil des migrants, leur parcours migratoire, les motifs de la migration et la situation professionnelle, ainsi que leur qualité de vie au Gabon. Des recommandations sont présentées en fin de rapport, portant sur les résultats de l’étude menée.

Télécharger

Share

Contacter
RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Other
  • Survey
  • Displacement Solutions
  • Flow Monitoring
  • Mobility Tracking

Dans la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre (AOC), le Sahel s'étend de la Mauritanie au Tchad, séparant le désert du Sahara au nord, des pays côtiers tropicaux au sud. Sur le continent africain, il s'étend de l'océan Atlantique à l'ouest jusqu’à la mer Rouge à l'est, séparant ainsi le désert de la savane. Les routes migratoires de l'AOC traversent inévitablement le Sahel et, tout au long de leur voyage, les migrants sont confrontés à de multiples risques.

Ce rapport compile des informations provenant de différentes activités menées dans la région dans le but de mettre en évidence les diverses dynamiques, profils et risques auxquels les migrants sont confrontés lorsqu'ils voyagent sur les routes d'AOC à travers le Sahel. Ce tableau de bord couvre la période allant de janvier à décembre 2023 et se base sur des informations provenant (1) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM) sur la mobilité et les flux de populations ; (2) du Projet des migrants disparus (Missing Migrants Project, MMP) sur les arrivées en Europe et aux Îles Canaries, les décès et les disparitions de migrants ; (3) des données sur les migrants cherchant l'Assistance au retour volontaire et à la réintégration (Assistance to Voluntary Return and Reitegration, AVRR) vers et à travers la région d’AOC ; (4) des données sur les expulsions de migrants d'autres régions vers l'AOC, en particulier d'Algérie et de Libye ; (5) de l'Outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool, TTT) sur la mobilité des populations transhumantes à travers le Sahel ; et (6) des indicateurs de stabilité de l'Indice de solutions et de mobilité (Solutions and Mobility Index, SMI) dans la région sahélienne.

Télécharger

Share

Contacter
DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Nov 01 2023
Jan 31 2024
Activité
  • Flow Monitoring

La transhumance est une pratique ancestrale et une activité très importante au Mali où elle est confrontée ces dernières années à des facteurs de vulnérabilité (faible pluviométrie, compétition sur les ressources naturelles) à cause du changement climatique. Ceci menace sa durabilité, entraîne des perturbations dans les mouvements de transhumance et provoque des tensions entre communautés qui résultent parfois en des conflits meurtriers.

Afin de mieux cartographier les schémas de mobilité pastorale ainsi que pour documenter les perturbations de ces modèles et les facteurs qui ont induit une telle modification (événement climatique, feux de brousse, zones cultivées, maladies animales, etc.), l’OIM a déployé son outil de suivi des mouvements de transhumance (Comptage et alerte) en partenariat avec l'ONG Tassaght, qui est l'antenne du Réseau Billital Maroobè (RBM) au Mali.

Après évaluations, 2 cercles ont été ciblés au Mali avec 7 points de comptage dans les zones de Koira-Beiry, Koubel Wel Koundia, et Douentza dans le cercle de Douentza, de Samani, Zon, Timiri, et Kiri dans le cercle de Koro. Ces cercles choisis, sont les points de passage clés des transhumants effectuant des mouvements internes et transfrontaliers.

Le TTT (Transhumance Tracking Tool, en anglais) permet de mieux comprendre les dynamiques liées à la transhumance interne et transfrontalière. Il combine trois composantes : le suivi des flux, l’enquête détaillée et l’alerte. Ce rapport présente les données du comptage et de l’alerte dans le cadre du TTT du 1er novembre au 31 janvier 2024.