Flow Monitoring

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migration.iom.int
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
English
Emplacement
Mali
Période couverte
Feb 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Ce rapport met en exergue les principaux résultats issus de l’enregistrement de flux de migrants et des enquêtes individuelles effectués par la DTM auprès des migrants transitant aux différents points de suivi de flux (FMP) du Mali au cours du dernier trimestre de l’année 2023.

Les différents résultats témoignent du fait que le Mali soit l’une des principales routes empruntées par les migrants en Afrique de l’Ouest. En effet, la diversité des nationalités observées, des routes empruntées, des pays de provenance et de destination, démontrent la place prépondérante qu’occupe le Mali dans les mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre.

Les problématiques de la traite des personnes, du trafic illicite de migrants, de vulnérabilités, ainsi que l’insécurité observée de jour en jour sur les routes migratoires, auxquelles sont exposées les migrants restent des facteurs sur lesquels peu d’information sont fournies.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jan 01 2023
Mar 17 2024
Activité
  • Survey

La Matrice de suivi des déplacements (DTM, Displacement Tracking Matrix en anglais) est mise en œuvre en Haïti pour recueillir des données sur les déplacements forcés et les flux migratoires, ainsi que sur les profils et besoins des populations mobiles. Dans ce cadre, la DTM développe des produits d'information (notamment des rapports, tableaux de bord, des Atlas, cartes interactives et bases de données) compilant et analysant les données recueillies, afin d'orienter les opérations et stratégies des partenaires. Afin d'améliorer les produits de la DTM Haïti et continuer de mieux répondre aux besoins des partenaires, une enquête sur l’utilisation des produits d’information a été menée du 23 février au 17 mars 2024. Ce tableau de bord présente les principaux résultats de cette enquête, qui a recueilli les réponses de 65 partenaires.

Au cours de l’année 2023, la DTM a publié 73 produits d’information sur son portail (dtm.iom.int/haiti). Ils ont été téléchargés plus de 55 000 fois. Parmi les 65 partenaires ayant répondu à l’enquête, 95% des participants ont affirmé avoir connaissance du travail de la DTM en Haïti, parmi lesquels 97% utilisent les produits d’information de la DTM Haïti dans le cadre de leur travail. 

Les résultats de l’enquête indiquent que les produits les plus consultés étaient les tableaux de bord sur la situation de déplacement (lus au moins une fois en 2023 par 92% des partenaires), les tableaux de bord sur le suivi des urgences [ETT, Emergency Tracking Tool en anglais] (86%), et les rapports sur les profils et besoins multisectoriels des populations affectées (65%).

Ces 3 produits d’information étaient aussi les plus cités comme les plus pertinents dans le cadre du travail des partenaires : les tableaux de bord sur la situation de déplacement (78%), les tableaux de bord sur le suivi des urgences (75%) et les rapports sur les profils et besoins multisectoriels des populations affectées par les déplacements (52%). Les produits dont les participants sont les plus satisfaits sont les tableaux de bord sur les déplacements (87% sont satisfaits) et les tableaux de bord sur le suivi des urgences (79%).

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
English
Emplacement
Mali
Période couverte
Jan 11 2024
Jan 28 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring

L'indice de solution et de mobilité comprend des données collectées par le biais d'entretiens avec des informateurs clés (IC) au niveau local dans 100 localités de passage des transhumants, dans 6 cercles (Ansongo, Djenné, Douentza, Gao, Koro et Mopti) des régions de Mopti et de Gao.

Les lieux de collecte des données ont été sélectionnés grâce à un exercice de cartographie visant à identifier les zones de passage des transhumants (voir l'annexe pour plus d'informations). Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés. Ils se sont tenus du 11 au 28 janvier 2024. Plusieurs informateurs clés ont été interrogés dans chaque localité, ce qui a permis à l'OIM de procéder à une validation croisée des informations. Les informateurs clés comprennent les maires, les chefs de communauté et d'autres représentants de la communauté. La méthode d'interroger les informateurs clés présente l'avantage de collecter rapidement des informations sur de nombreuses localités, mais elle est limitée en ce sens qu'elle n'est qu'une représentation estimative des points de vue d'une communauté entière. En outre, les résultats de l’ISM représentent des conditions à un moment donné et peuvent donc varier d'un cycle à l'autre ou changer soudainement.

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Oct 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM). 

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte des données qui vise à identifier des zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et les partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

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DTMmauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Jan 01 2024
Feb 29 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Village Assessment

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction des risques de catastrophe et la gestion des catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

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DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Jan 01 2024
Jan 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
  • Baseline Assessment

La transhumance en Mauritanie, et en particulier dans la wilaya du Guidimaghaa, est une pratique ancestrale qui consiste à déplacer périodiquement des troupeaux de bétail sur de longues distances à la recherche de pâturages et d'eau.

Dans la wilaya du Guidimaghaa, située dans le sud-est de la Mauritanie, la transhumance est une activité vitale pour de nombreuses familles qui dépendent de l'élevage pour leur subsistance. Elle accueille des mouvements provenant des régions voisines, telles que la wilaya du Brakna ou d'autres régions de la Mauritanie où les conditions de pâturage sont défavorables à certaines périodes de l'année. Il est également possible que des troupeaux proviennent de régions plus éloignées, voire d'autres pays comme le Sénégal ou le Mali.

Cependant avec les aléas climatiques, les routes sont souvent changées, entrainant des modifications sur les couloirs empruntés qui par conséquents peuvent amener des conflits principalement entre agriculteurs et éleveurs mais aussi entre éleveurs transhumants et/ou éleveurs locaux.

L’OIM avec le financement du Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF) met en œuvre un projet dénommé : « Soutenir les capacités locales et communautaires de prévention et de gestion des conflits et des catastrophes liées au changement climatique au Guidimaghaa. », avec pour objectif principal de soutenir et d'améliorer l'accès des populations du Guidimaghaa à des moyens de subsistance plus durables et de renforcer l'engagement inclusif des communautés et des autorités dans la prévention des catastrophes et des conflits liés au changement climatique.

C’est dans ce cadre que l’OIM déploie son outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool (TTT), en anglais). dans la wilaya du Guidimaghaa et plus précisément dans les moughataas de Khabou, Sélibaby, Ould Yenge et Wompou dans le but de collecter des données sur les mouvements en transhumance et les risques de catastrophe pour ainsi guider les actions du projet.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Mar 08 2024
Apr 09 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Depuis la fin du mois de février 2024, la situation sécuritaire s’est détériorée dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), la capitale d’Haïti. En plus de créer des déplacements à l’intérieur de la ZMPP, l’insécurité généralisée poussent de plus en plus de personnes à quitter la capitale pour trouver refuge dans les provinces, en prenant les risques de passer par des routes contrôlées par des gangs. Afin de suivre ces mouvements vers les provinces et informer les stratégies de réponse adéquates, la DTM a lancé des collectes de données au niveau de plusieurs stations de bus les plus utilisées dans la capitale (voir la page 5 pour plus de détails sur la méthodologie). En un mois de mise en œuvre de cette activité (depuis le 08 mars), elle a permis d’observer les mouvements de 94 821 personnes quittant la ZMPP (voir les pages 3 et 4 pour plus de détails sur le profil de ces personnes). Ces personnes ont en majorité (58%) pris des moyens de transport se dirigeant vers les départements du Grand Sud (Grande’Anse, Sud, Nippes et Sud-Est). Il est à noter que cette région accueille déjà plus 116 000 personnes qui avaient en grande partie fui la ZMPP durant des mois passés (voir le rapport sur les déplacements dans le Grand Sud).

La moitié de flux se sont dirigés vers 3 communes de destination principale : Jérémie (dans la Grande’Anse), Les Cayes (Sud) et Léogâne (Ouest). Il convient de souligner que les provinces n’ont pas suffisamment d’infrastructures et les communautés hôtes n’ont pas de ressources suffisantes qui peuvent leur permettre de faire face à ces flux de déplacements massifs venant de la capitale.

 

 Il convient de souligner qu’au début du mois de mars, lorsque la situation sécuritaire s’est empirée, ce sont les personnes qui étaient déjà déplacées internes (PDIs) qui ont été les premières à commencer à quitter la capitale. Au fil du temps, les personnes qui n’étaient pas de PDIs deviennent de plus en plus nombreuses à aussi quitter la capitale : au 10 mars, 86% des personnes quittant la ZMPP étaient des PDIs. Un mois plus tard, ce pourcentage a baissé à 60% alors que près de 40% sont des personnes qui n’avaient jamais fui leur résidence et qui décident de la quitter et chercher refuge en provinces. Ceci décrit encore plus la détérioration de la situation dans la capitale, vu que quitter la capitale pourrait être une décision relativement plus rapide à prendre pour une personne qui était déjà déplacée que pour celle qui était encore dans sa résidence et qui décide de la quitter pour chercher refuge en provinces.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Mar 08 2024
Mar 27 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Depuis quelques semaines, les attaques armées se sont intensifiées dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), la capitale d’Haïti. En plus de créer des déplacements à l’intérieur de la ZMPP, les attaques et l’insécurité généralisée poussent de plus en plus de personnes à quitter la capitale pour trouver refuge dans les provinces, en prenant les risques de passer par des routes contrôlées par des gangs. Afin de suivre ces mouvements vers les provinces et informer les stratégies de réponse adéquates, la DTM a lancé des collectes de données au niveau de plusieurs stations de bus les plus utilisées dans la capitale (voir la page 5 pour plus de détails sur la méthodologie). Depuis le début de cette activité, le 08 mars, jusqu’au 27 mars, cette activité a permis d’observer les mouvements de 53 125 personnes quittant la ZMPP (voir les pages 3 et 4 pour plus de détails sur le profil de ces personnes). Ces personnes ont en majorité (61%) pris des moyens de transport se dirigeant vers les départements du Grand Sud (Grande’Anse, Sud, Nippes et Sud-Est). Il est à noter que cette région accueille déjà plus 116 000 personnes qui avaient en grande partie fui la ZMPP durant des mois passés (voir le rapport sur les déplacements dans le Grand Sud).

Il convient de souligner que les provinces n’ont pas suffisamment d’infrastructures et les communautés hôtes n’ont pas de ressources suffisantes qui peuvent leur permettre de faire face à ces flux de déplacements massifs venant de la capitale.

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DTMmauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Dec 11 2023
Jan 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Village Assessment

La mobilité pastorale ou transhumance est une tradition de longue date en Mauritanie, par laquelle des éleveurs, parfois des familles entières, y compris les enfants, se déplacent à la recherche d’eau et de pâturages. En conséquence, le calendrier et les itinéraires de transhumances se font en concordance des pluies, ainsi que de la distribution de l’eau et des pâturages, qui varient d’une saison à l’autre. Compte tenu des conditions environnementales difficiles en Mauritanie et des répercussions sur les productions végétales et animales, y compris sur la sécurité alimentaire des populations, et dans le contexte actuel d’aléas climatiques, économiques et sécuritaires croissants, on constate que les systèmes de mobilité pastorale connaissent des évolutions importantes sous les effets combinés du changement climatique, de la pression démographique, de la baisse de la fertilité des sols et de l’insécurité.

Dans le cadre du projet «Renforcement des capacités nationales et locales en matière de préparation et réponse aux catastrophes dans les zones frontalières et de transhumance couloirs dans la région du Hodh Ech Chargui en Mauritanie  »  financé par la Protection civile et aide humanitaire de l’Union européenne (ECHO) et mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), au niveau de la Wilaya du Hodh Charghi et plus précisément dans les moughataas de Bassiknou et d’Adel Bagrou, plusieurs activités sont mises en place y compris des activités de collecte de données sur la migration et le changement climatique.

L’objectif de la collecte de données est d’informer sur les mouvements de transhumance passant dans les moughataas d’Adel Bagrou et de Bassikounou durant la période post-hivernale (après avoir effectué le même exercice en période pré-hivernale) mais également de voir l’impact du changement climatique sur les mouvements de transhumance. Spécifiquement, il s’agit :

D’estimer la taille des troupeaux passant par les principaux points de passage dans les moughataas ciblées par le projet

De déterminer le profil des personnes accompagnant ces mouvements de transhumance

De mesurer la santé des troupeaux en transhumance

D'obtenir des informations sur la perception des transhumants sur le changement climatique et les mouvements de transhumance

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Regional Office Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Burkina Faso
Période couverte
Feb 01 2024
Feb 29 2024
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de Suivi des flux de populations de la Matrice de suivi des déplacements, récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés, afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Au Burkina Faso, des points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés sur plusieurs lieux de transit importants à Faramana et Yendéré en avril 2018 pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays.Deux autres points importants (Cinkansé et Dori) ont été  respectivement mis en place en mai 2023 et en janvier 2024.