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dtmhaiti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
- Other
Haiti faces numerous environmental, socio-economic, and political challenges, including the impacts of climate change, environmental disasters, and population movements. This study aims to establish and understand the links between these phenomena and to develop effective, sustainable solutions to address them.
The report provides an overview of environmental degradation, climate change, and migration in Haiti. It analyzes the causes of deforestation and land degradation, such as cultivation practices and timber extraction. Additionally, the study outlines Haiti's vulnerabilities to climate change and presents a recent history of migration, focusing on issues like insecurity, poverty, and lack of economic opportunities.
Agroecology presents viable solutions to these challenges. Agroecological practices can create employment opportunities in areas affected by both involuntary return migration and internal displacement. Recent figures from IOM indicate that 702,973 people have been internally displaced in Haiti. This study examines how transitioning to agroecology can help targeted populations sustainably improve their socio-economic conditions.
Moreover, agroecology can enhance food security and strengthen local agricultural production. Haiti is currently experiencing a humanitarian crisis exacerbated by a deteriorating security situation, with approximately five million people—almost 50% of the population—facing acute food insecurity.
The study investigates the potential for transitioning to agroecology in Haiti and analyzes strengths and weaknesses at both national and local levels. It cross-references data to identify municipalities most affected by deforestation and involuntary return migration. Five areas are selected for in-depth analysis: Cap-Haïtien, Cornillon Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix, and the Port-au-Prince metropolitan area.
For each area, the report assesses local conditions for agroecology, including challenges and opportunities, based on scientific data and numerous interviews with local authorities, farmers, and forcibly returned migrants. The study illustrates how transitioning to agroecology can enhance local capacities to adapt to climate change and prevent deforestation. Additionally, it analyzes how these solutions can facilitate the sustainable reintegration of deported migrants.
The study proposes ways to strengthen and build upon local knowledge to address deforestation and environmental degradation, capitalizing on best practices. Finally, it presents concrete recommendations for agroecological activities in each selected area, tailored to local circumstances, challenges, and opportunities.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
- Other
Haïti fait face à de nombreux enjeux environnementaux, socioéconomiques et politiques. Parmi eux, les impacts du changement climatique, des désastres environnementaux et les mouvements de population. Cette étude vise à établir et à comprendre le lien entre ces différents phénomènes, ainsi qu'à élaborer des stratégies et des mesures à mettre en œuvre afin d'apporter des solutions efficaces et durables.
Le rapport donne un état des lieux sur la dégradation de l'environnement, le changement climatique et la migration. Entre autres, l'étude offre un aperçu des facteurs moteurs de la déforestation et de la dégradation des terres en Haïti, tels que le choix de pratiques culturales et l'exploitation des ressources ligneuses et des produits forestiers.
L’étude met en évidence les vulnérabilités d’Haïti aux changements climatiques et présente un résumé de l’histoire récente de la dynamique migratoire, en mettant l’accent sur des questions telles que l’insécurité, la pauvreté et le manque d’opportunités économiques. Pour relever ces défis, l’agroécologie peut offrir des solutions. La production agroécologique peut créer des opportunités génératrices de revenus dans des zones touchées non seulement par la migration de retour forcé, mais également par le déplacement interne. Les derniers chiffres de l’OIM indiquent que 702 973 personnes ont été déplacées à l’intérieur d’Haïti.
L’étude analyse dans quelle mesure la transition vers l’agroécologie peut aider les populations cibles à améliorer durablement leurs conditions socioéconomiques. L’agroécologie peut également contribuer à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la production agricole locale. Haïti fait face à une crise humanitaire exacerbée par une situation sécuritaire déplorable. Environ cinq millions de personnes, soit près de 50 % de la population, sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë.
Le rapport considère le potentiel de la transition vers l’agroécologie et analyse les forces et faiblesses, tant au niveau national que local. L’étude croise des données pour identifier les communes les plus touchées par la déforestation et la migration de retour forcé. Cinq zones ont été choisies pour une analyse plus approfondie : Cap-Haïtien, Cornillon/Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix et la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Pour chaque zone, une analyse des conditions locales pour l’agroécologie est réalisée, y compris les défis et les opportunités, sur la base de données scientifiques et de nombreux entretiens effectués avec des autorités locales, des agriculteurs et des migrants de retour.
L’étude démontre comment la transition vers l’agroécologie peut d’abord soutenir les capacités locales d’adaptation aux changements climatiques et prévenir la déforestation. De plus, l’étude analyse comment ces solutions peuvent également faciliter une réintégration durable des migrants de retour forcé. Elle propose des éléments pour renforcer et valoriser les connaissances locales et, par conséquent, améliorer la situation de déforestation et de dégradation de l’environnement, en capitalisant sur les bonnes pratiques locales.
Finalement, l’étude émet des recommandations concrètes pour chaque zone afin de favoriser la transition vers l’agroécologie. Il s’agit d’interventions conçues en fonction des circonstances et des opportunités locales.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 30 2024
Activité
- Other
Haïti fait face à de nombreux enjeux environnementaux, socioéconomiques et politiques. Parmi eux figurent les impacts du changement climatique, des désastres environnementaux, ainsi que les mouvements de population. Cette étude vise à établir et à comprendre le lien entre ces différents phénomènes, et à élaborer des stratégies et mesures à mettre en œuvre afin d’y apporter des solutions efficaces et durables.
Le rapport donne un état des lieux sur la dégradation de l’environnement, le changement climatique et la migration. Entre autres, l’étude fournit un aperçu des facteurs moteurs de la déforestation et de la dégradation des terres en Haïti, tels que le choix de pratiques culturales et l’exploitation des ressources ligneuses et des produits forestiers. L’étude met en évidence les vulnérabilités d’Haïti face aux changements climatiques et présente un résumé de l’histoire récente de la dynamique migratoire, en mettant l’accent sur des questions telles que l’insécurité, la pauvreté et le manque d’opportunités économiques.
Pour relever ces défis, l’agroécologie peut offrir des solutions. La production agroécologique peut créer des opportunités génératrices de revenus dans des zones touchées non seulement par la migration de retour forcé, mais également par le déplacement interne. Les derniers chiffres de l’OIM indiquent que 702 973 personnes ont été déplacées à l’intérieur d’Haïti. L’étude analyse dans quelle mesure la transition vers l’agroécologie peut aider les populations cibles à améliorer durablement leurs conditions socioéconomiques.
L’agroécologie peut également contribuer à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la production agricole locale. Haïti fait face à une crise humanitaire exacerbée par une situation sécuritaire déplorable. Environ cinq millions de personnes, soit près de 50 % de la population, sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë.
Le rapport considère le potentiel de la transition vers l’agroécologie et analyse les forces et faiblesses, tant au niveau national que local. L’étude croise les données pour identifier les communes les plus touchées par la déforestation et la migration de retour forcé. Parmi celles-ci, cinq zones ont été choisies pour une analyse plus approfondie : Cap-Haïtien, Cornillon/Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix et la zone métropolitaine de Port-au-Prince.
Pour chaque zone, une analyse est réalisée des conditions locales pour l’agroécologie, y compris les défis et les opportunités, sur la base de données scientifiques et de nombreux entretiens menés avec des autorités locales, des agriculteurs et des migrants de retour. L’étude démontre comment la transition vers l’agroécologie peut d’abord soutenir les capacités locales d’adaptation aux changements climatiques et prévenir la déforestation.
D’ailleurs, l’étude analyse comment ces solutions peuvent également faciliter une réintégration durable des migrants de retour forcé. Elle propose des éléments visant à renforcer et à valoriser les connaissances locales et, par conséquent, à améliorer la situation de déforestation et de dégradation de l’environnement, en capitalisant sur les bonnes pratiques locales.
Finalement, l’étude émet des recommandations concrètes pour chaque zone en vue de la transition vers l’agroécologie. Il s’agit d’interventions conçues en fonction des circonstances et des opportunités locales.
En 2023, le MMP a enregistré 811 décès de migrants dans la région Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC), une augmentation de 565 pour cent par rapport à l’année précédente. Les facteurs tels que la pauvreté et l’instabilité politique poussent de nombreux ressortissants de l’AOC à migrer, exacerbant la situation.
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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burundi
Période couverte
Dec 01 2022
Jun 29 2024
Activité
- Other
Depuis juin 2022, la Displacement Tracking Matrix (DTM) de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le Joint IDP Profiling Service (JIPS) collaborent au projet financé par ECHO intitulé « Environmental Degradation and Displacement : Leveraging Citizen-Centered Data to Enhance Humanitarian Programming » (Dégradation de l'environnement et déplacements : exploiter des données centrées sur les citoyens pour améliorer la programmation humanitaire). Cette initiative vise à répondre au défi croissant que représentent les déplacements dus à des facteurs environnementaux. Pour ce faire, l'OIM et le JIPS sont à la tête d'une initiative d'intelligence collective (IC) axée sur les déplacements dus aux catastrophes et l'action anticipée, en particulier dans les zones prioritaires du Plan de mise en œuvre humanitaire (PMH) dans l'Est et la Corne de l'Afrique. Les résultats de l'étude contribueront à renforcer les systèmes d'alerte précoce déjà opérationnels au Burundi.
L'intelligence collective pour lutter contre la dégradation de l'environnement et les déplacements de population
L'intelligence collective peut être comprise comme la capacité accrue qui émerge lorsque des groupes de personnes travaillent ensemble, en mettant en commun leurs connaissances, leurs compétences et leurs idées pour résoudre des problèmes et prendre des décisions plus efficacement que des individus travaillant seuls (PNUD, 2021). En utilisant des outils analytiques pour traiter et synthétiser ces informations, l'IC peut révéler des schémas et des idées qui ne seraient pas évidents autrement et garantit que les solutions et les décisions reflètent l'apport collectif du groupe, créant ainsi des résultats efficaces et inclusifs.
Projet d'intelligence collective
Le projet, décrit ci-dessous, comprenait des consultations communautaires dans neuf collines avec 115 groupes de discussion (51 % d'hommes et 49 % de femmes). La collecte de données à l'aide de l'outil d'intelligence collective a couvert 65 collines dans six communes de quatre provinces du Burundi, dont trois bordent le lac Tanaganyika, ce qui a permis de recueillir 3 373 personnes (59 % d'hommes et 42 % de femmes). Tout au long du projet, 2 520 incidences de dommages ou d'impacts de catastrophes météorologiques ainsi que 2 311 mesures de prévention et d'atténuation ont été cartographiées. Le projet s'est achevé par des sessions de validation communautaire organisées dans neuf collines avec 144 participants aux FGD (52% d'hommes, 48% de femmes). Cette étude de cas peut être utilisée pour reproduire l'approche de l'IC dans d'autres régions confrontées à des défis similaires. Ainsi, cette approche contribuera aux efforts mondiaux de réduction des risques de catastrophes (RRC) et renforcera la résilience des communautés, en démontrant comment l'exploitation des connaissances collectives des populations touchées peut conduire à des solutions durables et efficaces.
Si vous avez eu l'occasion de lire ou d'utiliser cette étude de cas, veuillez remplir un court questionnaire en anglais (lien ici) ou en français (lien ici). Nous apprécions grandement vos commentaires.
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Mar 08 2024
Jun 08 2024
Activité
- Other
L’Outil de Suivi des Transhumances (TTT - Transhumance Tracking Tool) permet de mieux comprendre les dynamiques liées à la transhumance interne et transfrontalière. Il combine quatre composantes : le suivi des flux, l’enquête détaillée, l’alerte et la présence et profile.
Afin de mieux comprendre les mouvements de transhumance, particulièrement les rôles des transhumants, les sources d'information utilisées pour s'informer sur la proximité de pâturage, les raisons des mouvements des éleveurs, les itinéraires empruntés, le niveau d’éducation des transhumants, et le changement de route au cours du mouvement, l’OIM a déployé une composante de son outil de suivi des mouvements de transhumance (l’enquête détaillée) en partenariat avec l'ONG Tassaght, qui est l'antenne du Réseau Billital Maroobè (RBM) au Mali. Après évaluations, sept points de comptage ont été identifiés et positionnés dans les zones de Koira-Beiry et Douentza dans le cercle de Douentza; de Samani, Zon et Timiri dans le cercle de Koro. Ces cercles choisis sont les points de passage clés des éleveurs transhumants effectuant des mouvements internes et transfrontaliers. Ce rapport présente les données de l’enquête détaillée collectées entre le 8 mars et le 11 juillet 2024. 1721 transhumants ont été enquêtés.
Dans le contexte du Mali, la transhumance est une activité pratiquée en majorité par les hommes. Ce qui justifie la forte représentativité des hommes transhumants dans la collecte de cette période. Ils sont peu nombreux à avoir fréquenté une école formelle car la majorité n’a aucun niveau ou ont un niveau coranique. Tous les transhumants enquêtés sont des chefs de troupeaux. Parmi les transhumants enquêtés, certains sont propriétaires de leurs troupeaux et d’autres sont des employés. Ainsi, quel que soit leur rôle, leurs expériences varient d’un an à plus de 10 ans.
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Apr 01 2024
Jun 30 2024
Activité
- Other
La transhumance est un mode d’élevage mobile fondé sur des déplacements réguliers et saisonniers, c’est une pratique ancestrale et une activité très importante dans toute l’Afrique de l’Ouest et particulièrement au Mali. La transhumance au Mali est confrontée à des facteurs de vulnérabilité (crise sécuritaire, faible pluviométrie, compétition sur les ressources naturelles) qui menacent sa durabilité, fragilisent ses capacités d’adaptation et provoquent des tensions entre communautés qui provoquent parfois des conflits.
Le mécanisme d’alerte est établi dans le cadre du suivi des mouvements transhumants mis en place par l'OIM pour recueillir des informations sur les évènements conflictuels et sur des mouvements soudains ou inhabituels de bétail dans le cadre de la transhumance. Il a pour but d’obtenir des informations précises sur le nombre, le type et les caractéristiques de ces mouvements, permettant ainsi de lancer des alertes dans l’optique de prévenir un éventuel conflit qui pourrait avoir lieu dans le cadre des mouvements de transhumance. Il permet également d'alerter sur les conflits en cours ainsi que sur les aléas naturels tels que les feux de brousse, et d'en atténuer les impacts.
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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burundi
Période couverte
Feb 27 2024
Mar 31 2024
Activité
- Other
Cette analyse porte sur les données recueillies jusqu'au 31 mars 2024, auprès de 7 883 ménages situés dans des communautés transfrontalières, représentant une portion des populations de ces zones. Parmi ces ménages, 72 pour cent comptent des enfants de moins de cinq ans, totalisant 8 216 enfants répartis comme suit : 2 615 à Busoni, 2 211 à Rugombo, 2 096 à Mutimbuzi et 1 294 à Mabanda. Ces chiffres permettent de dresser un portrait partiel mais utile de la situation sanitaire et de l'accès aux services de vaccination. Environ 48 pour cent des ménages enquêtés indiquent que le trajet pour atteindre le centre de santé le plus proche est supérieur à 30 minutes, ce qui peut constituer un obstacle à l'accès régulier aux soins de santé. Malgré ces défis, 72 pour cent des enfants disposent d'un carnet de vaccina-tions, ce qui est crucial pour le suivi de la vaccination infantile. Il est à noter que cette collecte de données est continue et que les résultats présentés ici ne reflètent que les informations obtenues à ce stade. Environ 6 pour cent des ménages signalent que le manque de temps est un obstacle majeur à la vaccination. Cependant, une proportion encourageante de 82 pour cent des ménages affirme que la vaccination de leurs enfants de moins de cinq ans est en cours ou déjà achevée. Concernant les enfants zéro dose, 1 pour cent des enfants de moins de cinq ans, soit 59 enfants, n'ont jamais reçu de vaccin. Ces cas sont répartis de manière inégale entre les différentes communes : 31 enfants (1,4%) à Rugombo, 11 enfants (0,9%) à Mabanda, 11 enfants (0,4%) à Busoni et 6 enfants (0,3%) à Mutimbuzi, nécessitant des interventions ciblées. Enfin, parmi les adultes, 89 pour cent des membres de ménage âgés de 18 ans et plus n'ont pas été vaccinés contre la Covid-19. Les principales raisons invoquées sont le manque d'information (67%) et la disponibilité limitée des vaccins (23%).
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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Snapshot Date
Jun 30 2024
Activité
- Other
- Survey
- Flow Monitoring Survey
- Return Intention
- Registration
- Flow Monitoring
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
- Event Tracking
- Migrants presence
- Site Assessment
- Village Assessment
Ce rapport est composé d’un ensemble de cartes présentant les différents phénomènes et tendances migratoires au Tchad. Il décrit les différents mouvements de populations recensés depuis une période donnée, vers et au sein du territoire tchadien et dresse le profil des populations en mouvement. Parmi les types de mobilités traitées dans ce document figurent "les mouvements socioéconomiques; les mouvements de Tchadiens vers l’Étranger et de ressortissants Étrangers au Tchad; les transhumances; l’inondation; les déplacements forcés et les retours facilités par l’OIM". Souvent, ces différentes mobilités se croisent et s’imbriquent. Ce rapport tente de mettre en lumière ce lien et de mieux saisir les dynamiques y afférentes. Ce rapport est le résultat d’une compilation de diverses bases de données, de rapports provenant de différentes sources d’information et de témoignages recueillis directement auprès des populations mobiles ou d’informateurs clés. Les sources sont indiquées dans chacune des pages.
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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 01 2024
Mar 04 2024
Activité
- Other
L’évaluation des comportements suicidaires (suicides, planifications et tentatives de suicides) parmi les personnes déplacées interne (PDI) dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPAP) présentée dans ce rapport propose de comprendre le lien possible entre la situation migratoire des Haïtiens et le risque suicidaire éventuel. Elle s’inscrit dans un contexte difficile, avec une histoire complec et une culture forte et ancrée qu’il est nécessaire de prendre en compte.
Dans le but de contribuer à l’effort collectif nécessaire à la diminution du risque suicidaire au sein des PDI de la ZMPAP, cette évaluation suggère des modalités d’intervention s’articulant autour de trois axes spécifiques :
➔Le renforcement des capacités et compétences techniques des services de l’état dans les domaines de la santé men-tale et de la prévention du suicide ;
➔Le renforcement du bien-être psychosocial des déplacés internes de Port-Au-Prince ;
➔ L’amélioration de la prise en charge spécialisée en santé mentale et du risque suicidaire.
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