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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Aug 01 2024
Aug 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La crise dans le Bassin du lac Tchad est le résultat d’une combinaison complexe d’une multitude de facteurs, y compris un conflit armé impliquant des groupes armés non-étatiques, des niveaux extrêmes de pauvreté, un développement peinant, et des bouleversements climatiques, qui ont conduit à des déplacements importants de populations.

En août 2024, le Cameroun, le Chad, le Niger et le Nigéria accueillaient un total de 6 067 908 individus affectés par la crise, dont des personnes déplacées internes (PDI), des retournés (anciennes PDI et retournés de l’étranger) et des réfugiés (vivant en et hors des camps). Treize pour cent des individus affectés (777 656 personnes) résidaient au Cameroun, 5 pour cent au Tchad (294 965 personnes), 9 pour cent au Niger (558 416 personnes) et enfin, 74 pour cent au Nigéria (4 436 871 personnes). De façon générale, les nombres montrent une forte augmentation de retournés anciens PDI (+45%) et des diminutions de PDI (-1%), retournés de l’étranger (-5%) et de réfugiés (-1%) depuis décembre 2023.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
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English
Emplacement
Période couverte
Aug 01 2024
Aug 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. De plus, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées.

En août 2024, il est dénombré un total de 4 039 349 individus affectés, y compris 467 066 personnes déplacées internes (PDI) (12% de la population déplacée), 2 256 970 retournés anciennes PDI (56%), 531 919 retournés de l’étranger (13%) et 783 394 réfugiés (19%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (346 061 individus ou 47% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (208 276 individus ou 28% des réfugiés) et au Tchad (138 225 individus ou 19% des réfugiés). Néanmoins, 11 008 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Le pays est aussi le refuge d’individus de pays voisins avec 43 017 réfugiés venus du Soudan (29 043 individus), de la RDC (6 448), du Tchad (4 701 individus) et du Sud Soudan (2 825 individus).

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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Sep 05 2024
Sep 09 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur les urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de cinq informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Katikimé 2 et Ndogoré dans l'arrondissement de Darak, qui se sont continuellement déplacées vers la localité de BlangouaBâche dans l’arrondissement de Blangoua, département de Logone et Chari, région de l’Extrême-Nord du Cameroun.

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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Sep 05 2024
Sep 09 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de dix informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Gabaraye Widi (arrondissement de Guémé), Goboissou, Djibetsou, Danay 1, Kaskao (arrondissement de Yagoua) dans le département du Mayo-Danay et les localités de Ardebe, Angout, Mlohie (arrondissement du Logone-Birni) et de Tanné Ndjamena (arrondissement de Goulfey) dans le département du Logone-et-Chari vers les localités de Gabaraye Digue (arrondissement Guémé), de Hléké, de Tcheke (arrondissement de Yagoua) dans le département du Mayo-Danay, de Dabanga (arrondissement du Logone-Birni) et de Tanné Ndjamena (arrondissement de Goulfey) dans le département du Logoneet-Chari , région de l’Extrême-Nord du Cameroun

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DTM Djibouti, DTMDjibouti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Djibouti
Période couverte
Jul 01 2024
Jul 31 2024
Activité
  • Flow Monitoring

En juillet 2024, 40 118 mouvements migratoires ont été observés aux points de suivi des flux (PSF) à Djibouti, dont 19 310 entrants en provenance d'Éthiopie. Ces mouvements entrants ont augmenté de 8 pour cent par rapport à juin, principalement en raison des conflits dans les régions d'Amhara et du Tigré, qui ont incité de nombreux Éthiopiens à emprunter les routes migratoires vers Djibouti.

Au 31 juillet, l'OIM a enregistré 911 migrants bloqués à Djibouti, soit une hausse de 10 pour cent par rapport à juin. Les migrants bloqués sont principalement des migrants d'origine Oromo arrivant d'Éthiopie.

Jeux de données publique

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lekobe@iom.int
Emplacement
Benin
Activité
  • Mobility Tracking
Période couverte
Feb 05 2024 -
Feb 09 2024

In round 2, 12,501 IDP individuals were identified. Among them, 4,564 were children under 18 years old.

Population Groups

IDPs

Survey Methodology

Unit of Analysis Or Observation

Admin Area 2

Admin Area 3

Admin Area 4

Site or Location

Type of Survey or Assessment

Key Informant

Keywords

Demographics

Metadata

Mobility

Geographical Scope Partial Coverage

Administrative boundaries with available data

The current dataset covers the following administrative boundaries

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Snapshot Date
Sep 06 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Environ 910 000 personnes sont estimées avoir traversé la frontière vers le Tchad depuis le début de la crise au Soudan, incluant 213 339 parmi eux qui sont des retournés tchadiens depuis fin juillet. L’OIM s’attend à ce que ce nombre passe à 240 000 d’ici fin décembre 2024, en raison de la reprise du conflit au Darfour.

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dtmhaiti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Haiti
Période couverte
Sep 04 2024
Sep 05 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Ces informations ont été collectées à la suite d’attaques survenues dans la commune de Ganthier, plus précisément dans la 2e section communale de Balan, le 4 septembre 2024. Un total de 830 personnes (172 ménages) ont été déplacées suite à ces attaques. Ces personnes se sont refugiées dans la 3ème section Fonds Parisien, la plupart (66 %) chez des proches en familles d’accueil, tandis que 34 % se sont réfugiées dans deux sites. Il est à rappeler que la commune de Ganthier est de plus en plus affectée par des attaques armées depuis quelques semaines, les plus importantes en juillet et août 2024, entraînant les déplacements de près de 6 000 personnes (voir ETT 45.1) qui se sont refugiées dans la même 3ème section Fonds Parisien qui est devenu un lieu d'accueil important des personnes déplacées dans la commune de Ganthier.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Mar 08 2024
Jun 08 2024
Activité
  • Other

L’Outil de Suivi des Transhumances (TTT - Transhumance Tracking Tool) permet de mieux comprendre les dynamiques liées à la transhumance interne et transfrontalière. Il combine quatre composantes : le suivi des flux, l’enquête détaillée, l’alerte et la présence et profile. 

Afin de mieux comprendre les mouvements de transhumance, particulièrement les rôles des transhumants, les sources d'information utilisées pour s'informer sur la proximité de pâturage, les raisons des mouvements des éleveurs, les itinéraires empruntés, le niveau d’éducation des transhumants, et le changement de route au cours du mouvement, l’OIM a déployé une composante de son outil de suivi des mouvements de transhumance (l’enquête détaillée) en partenariat avec l'ONG Tassaght, qui est l'antenne du Réseau Billital Maroobè (RBM) au Mali. Après évaluations, sept points de comptage ont été identifiés et positionnés dans les zones de Koira-Beiry et Douentza dans le cercle de Douentza; de Samani, Zon et Timiri dans le cercle de Koro. Ces cercles choisis sont les points de passage clés des éleveurs transhumants effectuant des mouvements internes et transfrontaliers. Ce rapport présente les données de l’enquête détaillée collectées entre  le 8 mars et le 11 juillet 2024. 1721 transhumants ont été enquêtés.

Dans le contexte du Mali, la transhumance est une activité pratiquée en majorité par les hommes. Ce qui justifie la forte représentativité des hommes transhumants dans la collecte de cette période. Ils sont peu nombreux à avoir fréquenté une école formelle car la majorité n’a aucun niveau ou ont un niveau coranique. Tous les transhumants enquêtés sont des chefs de troupeaux. Parmi les transhumants enquêtés, certains sont propriétaires de leurs troupeaux et d’autres sont des employés. Ainsi, quel que soit leur rôle, leurs expériences varient d’un an à plus de 10 ans.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Apr 01 2024
Jun 30 2024
Activité
  • Other

La transhumance est un mode d’élevage mobile fondé sur des déplacements réguliers et saisonniers, c’est une pratique ancestrale et une activité très importante dans toute l’Afrique de l’Ouest et particulièrement au Mali. La transhumance au Mali est confrontée à des facteurs de vulnérabilité (crise sécuritaire, faible pluviométrie, compétition sur les ressources naturelles) qui menacent sa durabilité, fragilisent ses capacités d’adaptation et provoquent des tensions entre communautés qui provoquent parfois des conflits.

Le mécanisme d’alerte est établi dans le cadre du suivi des mouvements transhumants mis en place par l'OIM pour recueillir des informations sur les évènements conflictuels et sur des mouvements soudains ou inhabituels de bétail dans le cadre de la transhumance. Il a pour but d’obtenir des informations précises sur le nombre, le type et les caractéristiques de ces  mouvements, permettant ainsi de lancer des alertes dans l’optique de prévenir un éventuel conflit qui pourrait avoir lieu dans le cadre des mouvements de transhumance. Il permet également d'alerter sur les conflits en cours ainsi que sur les aléas naturels tels que les feux de brousse, et d'en atténuer les impacts.