Survey

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DTMCameroon@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Sep 01 2023
Nov 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM). 

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte des données qui vise à identifier des zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et des partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

L'outil récolte des données clés sur l’amplitude des flux migratoires, les profils des voyageurs ainsi que leurs parcours et intentions, afin de fournir une meilleure compréhension des flux migratoires dans la région et de contribuer à l’élaboration des politiques migratoires basées sur des preuves

À cet effet, plusieurs points de suivi des flux de population (Flow Monitoring Point, FMP) ont été installés dans des zones de transit importantes. Durant la deuxième phase de collecte, allant du 01 septembre au 30 novembre 2023, trois FMP étaient actifs, situés dans la région de l’Est du Cameroun à la frontière avec la République centrafricaine, dans les communes de Garoua Boulaï (département du Lom-et-Djérem), de Kentzou (département de la Kadey) et de  Ouli (département de la Kadey). 

Ce rapport présente les données clés collectées entre le 01 septembre au 30 novembre 2023 au niveau de ces trois FMP. Le rapport est subdivisé en deux sections: 

-Une section présentant les données obtenues lors de l’enregistrement des flux (FMR).

-Une autre section présentant les résultats des enquêtes individuelles effectuées auprès des voyageurs (FMS).

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DTM Burkina Faso, BFInformationUnit@iom.int
Langue
English
Emplacement
Burkina Faso
Période couverte
Oct 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM). 

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte des données qui vise à identifier des zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et des partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

Le suivi des flux de populations récolte ainsi des données sur les flux et tendances migratoires, les profils des voyageurs et les parcours et intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre. 

Au Burkina Faso, la DTM recueille des données au niveau de 4 points de suivi des flux (Flow Monitoring Points, FMP) que sont Fada N’Gourma, Cinkansé, Faramana et Yendéré répartis dans 4 régions afin d’obtenir une meilleure compréhension de l’ampleur, des tendances, des caractéristiques socio-démographiques et des parcours des flux de voyageurs traversant ces différents points. Ce rapport présente les données clés collectées entre octobre et décembre 2023 au niveau des quatre FMP.

Le présent rapport est subdivisé en deux sections: 

-Une section présentant les données obtenues lors de l’enregistrement des flux (FMR).

-Une autre section présentant les résultats des enquêtes individuelles effectuées auprès des voyageurs (FMS).

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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Nov 01 2023
Nov 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 01 2023
Aug 31 2023
Activité
  • Survey
  • Migrants presence

L’OIM, en collaboration avec l’Institut National de la Statistique du Mali (INSTAT), a mis en œuvre une enquête dite de Présence des Migrants entre juillet et août 2023. Cette enquête a pour objectif de mettre en lumière les tendances, profils, vulnérabilités et besoins spécifiques des populations migrantes afin de mettre en place un cadre spécifique en faveur de la protection des migrants, de la lutte contre la traite et de la promotion d’un retour sûr et digne en vue d’une réintégration durable.

Cette enquête s’est déroulée dans les régions de Kayes, Koulikoro et Sikasso où, selon l’Enquête Modulaire Permanente Auprès des Ménages (EMOP) de l’INSTAT réalisée chaque année, une population migrante importante vie dans ces régions.

Contrairement aux précédentes enquêtes qui abordent la présence migratoire étrangère dans sa globalité, l’étude de cette année s’intéresse à des cibles particulières : les femmes et les jeunes migrants (en activité professionnelle) présents dans les localités à fortes attractions économiques situées dans les régions ciblées. Elle utilise la méthode de recherche mixte avec une opération de collecte de données quantitative et des discussions de groupe avec des femmes, des jeunes et des représentants des autorités locales.

Cette étude a été réalisée avec l’appui financier du Ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas.

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DTM Chad, DTMTchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Oct 01 2022
Sep 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring

La transhumance est une pratique ancienne dans la région du Sahel, et plus particulièrement au Tchad. Au cours des dernières décennies, cette transhumance a subi des changements importants, notamment dus à la variabilité climatique, la pression démographique, la raréfaction des ressources naturelles et la crise sécuritaire. Par conséquent, ces bouleversements provoquent souvent des conflits meurtriers entre agriculteurs et éleveurs transhumants.

Dans le cadre du Suivi des mouvements de transhumance (Transhumance Tracking Tool (TTT), en anglais), l’OIM a mis en œuvre un système d’alerte qui a pour objectif de recenser les mouvements inattendus des bétails et les conflits liées à l’utilisation des ressources naturelles et aux interactions entre agriculteurs et éleveurs, de comprendre les modes de résolution de conflits existants et d’informer les autorités compétentes, dans l’objectif de prévenir et de réduire les tensions dans les régions d’intervention. Ce système permet de recenser les alertes liées à un événement conflictuel, ainsi qu’aux catastrophes (alerte événement) ou à un mouvement massif ou inattendu de bétail (alerte prévention) dans les régions couvertes.

Ce rapport présente les données de l’outil d’alerte collectées par le biais des informateurs clés de la Confédération des Organisations Professionnelles des Pasteurs et Acteurs Filières Bétail (COPAFIB) entre les mois d’octobre 2022 et de septembre 2023 dans les provinces du Sila, de Salamat et du Ouaddaï.

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Snapshot Date
Dec 15 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey

• Depuis le début des affrontements au Soudan, plus de 550 000 personnes ont traversé la frontière vers le Tchad. L’OIM estime que plus de 109 000 parmi eux sont des retournés tchadiens et s’attend à ce que ce nombre passe à 150 000 d’ici fin mars 2024, en raison de la reprise du conflit au Darfour.

• En coordination avec la CNARR et les organisations humanitaires, l’OIM a déjà enregistré 93 452 retournés et 346 ressortissants de pays (Soudan du Sud, Niger, Ethiopie, République Centrafricaine, Burkina Faso, Ouganda et Nigéria) dans 41 localités dans trois provinces.

• La plupart des retournés sont installés spontanément près de la frontière avec le Soudan et ont un besoin urgent de nourriture, d’eau, d’assainissement et d’hygiène, d’abris, d’articles non alimentaires, de soutien sanitaire et de protection.

• L’OIM soutient la relocalisation des retournés d’Adre vers un site à Tongori en coordination avec les autorités. 7 567 personnes parmi les plus vulnérables ont déjà été relocalisés. Des ambulances ont été utilisées pour transporter les personnes les plus vulnérables, y compris les personnes handicapées. Par ailleurs, l’OIM a soutenu la mise en place d’une structure de gouvernance de la zone d’accueil de Tongori avec des représentants élus par les résidents du site, ainsi que des groupes communautaires (femmes, jeunes, surveillance communautaire, etc.).

• La réponse à la situation des retournés est effectuée en partenariat avec le gouvernement du Tchad, le HCR, OCHA, la LWF, PUI, l’UNICEF, MSF, le FNUAP, LMI, le CICR, IRC, ACTED, la Croix Rouge du Tchad, HELP-Tchad, ATURAD, Concern Worldwide, COOPI, INTERSOS, et le PAM.

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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Oct 01 2023
Oct 31 2023
Activité
  • Survey
  • Site Assessment
  • Village Assessment

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
English
Emplacement
Burundi
Période couverte
Jan 01 2023
Jun 30 2023
Activité
  • Survey

L’Indice de Stabilité comprend des données recueillies lors d’entretiens avec des informateurs clés au niveau local dans les provinces cibles touchées par le déplacement interne et les mouvements de retour des réfugiés burundais des pays voisins. Des informateurs clés, des leaders de PDI et rapatriés, des agents communautaires et des volontaires de la Croix-Rouge, ont été interrogés à chaque endroit par des enquêteurs au mois de juin 2023. La méthode de l’informateur clé a l’avantage de permettre la couverture de nombreuses collines. Plusieurs informateurs clés ont été interrogés dans chaque colline, ce qui a permis à l’OIM de valider les informations.

Au total, les 363 lieux de retour et/ou de déplacement évalués lors du premier tour ont également été évalués lors du second tour dans les mêmes provinces de Cankuzo, Cibitoke, Kirundo, Makamba, Muyinga, Rumonge, Rutana et Ruyigi afin de permettre l’observation des changements dans le temps. Grâce aux résultats des évaluations de base de la DTM et de la cartographie des rapatriées fournis par le UNHCR, les collines ont été sélectionnées afin d’identifier les zones où se trouvent un grand nombre de personnes déplacées et des rapatriées. La récurrence des aléas météorologiques en raison du changement climatique et le nombre important de rapatriés étaient un facteur clé dans le choix des collines3 (localités)

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Dec 05 2023
Dec 05 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Depuis le début des affrontements au Soudan, plus de 547 000 personnes ont traversé la frontière vers le Tchad. L’OIM estime que plus de 98 770 parmi eux sont des retournés tchadiens et s’attend à ce que ce nombre passe à 150 000 d’ici fin mars 2024, en raison de la reprise du conflit au Darfour.
  • En coordination avec la CNARR et les organisations humanitaires, l’OIM a déjà enregistré 86 604 retournés et 346 ressortissants de pays (Soudan du Sud, Niger, Ethiopie, République Centrafricaine, Burkina Faso, Ouganda et Nigéria) dans 37 localités dans trois provinces.
  • La plupart des retournés sont installés spontanément près de la frontière avec le Soudan et ont un besoin urgent de nourriture, d’eau, d’assainissement et d’hygiène, d’abris, d’articles non alimentaires, de soutien sanitaire et de protection.
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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2019
Jun 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring

La transhumance transfrontalière est une pratique pastorale traditionnelle de longue date en Afrique de l’Ouest et du Centre par laquelle les éleveurs migrent de façon saisonnière, passant les frontières avec leur bétail, à la recherche d’eau et de pâturages. ​

En fournissant des données clés sur la mobilité transhumante, l’outil de suivi de la transhumance est un outil stratégique qui structure et appuie les mécanismes locaux de résolution des conflits dans le but de prévenir et de réduire les tensions entre les communautés d'agriculteurs et d'éleveurs, ainsi que d’appuyer le développement et l’adoption de solutions adaptées au lien entre le climat, les conflits et la mobilité.​

Ce rapport vise à présenter de façon non-exhaustive les principaux résultats obtenus par la mise en place de l’outil de suivi de la transhumance depuis sa mise en œuvre en 2019, jusqu’en juin 2023.​