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No
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Jul 01 2024
Sep 30 2024
Activité
- Survey
- Flow Monitoring Survey
- Flow Monitoring
Le suivi des flux de population a pour but de recueillir des données sur les flux et tendances migratoires, les profils des voyageurs et les parcours et intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre. Les zones à forte mobilité sont identifiées en collaboration avec les autorités nationales et locales. Des points de suivi des flux (Flow Monitoring Points, FMP) sont ensuite installés à des lieux de transit clés par lesquels passent les migrants. Au Mali, les FMP sont situés à Gogui (région de Kayes), Heremakono (région de Sikasso), Tombouctou (région de Tombouctou), Place Kidal (région de Gao) et Wabaria (région de Gao). Les FMP ont été choisis afin d’assurer un meilleur suivi des migrations à destination ou en provenance des pays d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Libye, Tunisie) ou d’Europe (Italie, Espagne, France) via les routes méditerranéennes centrales ou occidentales, mais également, des migrations saisonnières, notamment d’orpaillage au Mali, en Guinée et au Sénégal. Les données recueillies au FMP de Wabaria ne sont pas comptabilisées parmi les chiffres d’enregistrement des flux pour éviter tout double comptage. Ce rapport présente les données clés collectées entre le 01 juillet et le 30 septembre de cette année au niveau des quatre FMP au Mali. Il est subdivisé en deux sections :
- Une section présentant les données obtenues lors de l’enregistrement des flux (FMR).
- Une autre section présentant les résultats des enquêtes individuelles effectuées auprès des voyageurs (FMS).
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Nov 10 2024
Nov 12 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ce tableau de bord fournit des informations sur le déplacement de populations de la localité de Bideiné qui se sont continuellement dirigées vers la localité de Blangoua-Bâche dans l’arrondissement de Blangoua, département de Logone-et-Chari, région de l’Extrême-Nord du Cameroun.
En octobre 2024, 3 213 595 individus sont déplacés, y compris 2 622 002 personnes déplacées internes (82% de la population affectée) et 591 493 réfugiés (18% de la population affectée). Soixante-cinq pour cent des individus (2 101 972 personnes) se situaient au Burkina Faso, 14 pour cent résidaient au Mali (451 844 personnes), 11 pour cent au Niger (366 991 personnes) et 4 pour cent en Mauritanie (140 756 personnes). Le recent déversement de cette crise vers les pays côtiers, à savoir la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin, fait preuve d’un nombre croissant de réfugiés arrivant du Sahel central vers ces pays et, à l’interne, des populations déplacées. En octobre, sont recensés 151 932 individus affectés dans ces quatre pays réunis (25 848 au Bénin, 62 078 en Côte d’Ivoire, 7 242 au Ghana et 56 764 au Togo) dont un total de 25 830 déplacés internes.
En octobre 2024, le Cameroun, le Chad, le Niger et le Nigeria accueillaient un total de 6 069 794 individus affectés par la crise, dont des personnes déplacées internes (PDI), des retournés (anciennes PDI et retournés de l’étranger) et des réfugiés (vivant en et hors des camps). Treize pour cent des individus affectés (779 110 personnes) résidaient au Cameroun, 5 pour cent au Tchad (294 099 personnes), 9 pour cent au Niger (555 664 personnes) et enfin, 73 pour cent au Nigeria (4 440 921 personnes). De façon générale, les nombres montrent une forte augmentation de retournés anciens PDI (+45%), des augmentations de PDI (+1%) et de réfugiés (+2%), ainsi qu’une diminution de retournés de l’étranger (-8%) depuis décembre 2023.
En octobre 2024, il est dénombré un total de 4 024 862 individus affectés, y compris 455 533 personnes déplacées internes (PDI) (11% de la population déplacée), 2 309 365 retournés anciennes PDI (57%), 539 800 retournés de l’étranger (14%) et 720 164 réfugiés (18%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (282 008 individus ou 42% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (207 776 individus ou 31% des réfugiés) et au Tchad (137 988 individus ou 20% des réfugiés). Néanmoins, 10 648 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Le pays est aussi le refuge d’individus de pays voisins avec 43 983 réfugiés venus du Soudan (29 660 individus), de la RDC (6 505), du Tchad (4 951 individus) et du Sud Soudan (2 867 individus).
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Nov 11 2024
Nov 13 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ces informations ont été recueillies à la suite des violences armées survenues depuis le 11 novembre 2024 dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince, particulièrement dans les communes de Delmas (quartiers de Delmas 13 et Delmas 28), Tabarre (quartier de Tabarre 27) et Port-au-Prince (quartiers de Solino et Fort National). Au total, 4 372 personnes ont été déplacées en raison de ces attaques, dont 3 586 à Port-au-Prince, 488 à Tabarre et 298 à Delmas. La majorité des personnes déplacées (76%), soit 3 326 individus, se sont réfugiées dans 8 sites, dont 6 qui existaient déjà avant ces incidents et 2 qui ont été créés à cause de cette situation. Le reste des personnes (24%) a trouvé refuge auprès des familles d'accueil. Il est à souligner que des déplacements continuaient au moment de la rédaction de ce rapport et que des mises à jour seront en publiées. Par ailleurs dans plusieurs quartiers, les informateurs clés ont indiqué que les populations ne sont pas en mesure de fuir en raison de l’intensité des violences et des barricades.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
- Other
Haiti faces numerous environmental, socio-economic, and political challenges, including the impacts of climate change, environmental disasters, and population movements. This study aims to establish and understand the links between these phenomena and to develop effective, sustainable solutions to address them.
The report provides an overview of environmental degradation, climate change, and migration in Haiti. It analyzes the causes of deforestation and land degradation, such as cultivation practices and timber extraction. Additionally, the study outlines Haiti's vulnerabilities to climate change and presents a recent history of migration, focusing on issues like insecurity, poverty, and lack of economic opportunities.
Agroecology presents viable solutions to these challenges. Agroecological practices can create employment opportunities in areas affected by both involuntary return migration and internal displacement. Recent figures from IOM indicate that 702,973 people have been internally displaced in Haiti. This study examines how transitioning to agroecology can help targeted populations sustainably improve their socio-economic conditions.
Moreover, agroecology can enhance food security and strengthen local agricultural production. Haiti is currently experiencing a humanitarian crisis exacerbated by a deteriorating security situation, with approximately five million people—almost 50% of the population—facing acute food insecurity.
The study investigates the potential for transitioning to agroecology in Haiti and analyzes strengths and weaknesses at both national and local levels. It cross-references data to identify municipalities most affected by deforestation and involuntary return migration. Five areas are selected for in-depth analysis: Cap-Haïtien, Cornillon Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix, and the Port-au-Prince metropolitan area.
For each area, the report assesses local conditions for agroecology, including challenges and opportunities, based on scientific data and numerous interviews with local authorities, farmers, and forcibly returned migrants. The study illustrates how transitioning to agroecology can enhance local capacities to adapt to climate change and prevent deforestation. Additionally, it analyzes how these solutions can facilitate the sustainable reintegration of deported migrants.
The study proposes ways to strengthen and build upon local knowledge to address deforestation and environmental degradation, capitalizing on best practices. Finally, it presents concrete recommendations for agroecological activities in each selected area, tailored to local circumstances, challenges, and opportunities.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 13 2024
Activité
- Other
Haïti fait face à de nombreux enjeux environnementaux, socioéconomiques et politiques. Parmi eux, les impacts du changement climatique, des désastres environnementaux et les mouvements de population. Cette étude vise à établir et à comprendre le lien entre ces différents phénomènes, ainsi qu'à élaborer des stratégies et des mesures à mettre en œuvre afin d'apporter des solutions efficaces et durables.
Le rapport donne un état des lieux sur la dégradation de l'environnement, le changement climatique et la migration. Entre autres, l'étude offre un aperçu des facteurs moteurs de la déforestation et de la dégradation des terres en Haïti, tels que le choix de pratiques culturales et l'exploitation des ressources ligneuses et des produits forestiers.
L’étude met en évidence les vulnérabilités d’Haïti aux changements climatiques et présente un résumé de l’histoire récente de la dynamique migratoire, en mettant l’accent sur des questions telles que l’insécurité, la pauvreté et le manque d’opportunités économiques. Pour relever ces défis, l’agroécologie peut offrir des solutions. La production agroécologique peut créer des opportunités génératrices de revenus dans des zones touchées non seulement par la migration de retour forcé, mais également par le déplacement interne. Les derniers chiffres de l’OIM indiquent que 702 973 personnes ont été déplacées à l’intérieur d’Haïti.
L’étude analyse dans quelle mesure la transition vers l’agroécologie peut aider les populations cibles à améliorer durablement leurs conditions socioéconomiques. L’agroécologie peut également contribuer à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la production agricole locale. Haïti fait face à une crise humanitaire exacerbée par une situation sécuritaire déplorable. Environ cinq millions de personnes, soit près de 50 % de la population, sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë.
Le rapport considère le potentiel de la transition vers l’agroécologie et analyse les forces et faiblesses, tant au niveau national que local. L’étude croise des données pour identifier les communes les plus touchées par la déforestation et la migration de retour forcé. Cinq zones ont été choisies pour une analyse plus approfondie : Cap-Haïtien, Cornillon/Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix et la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Pour chaque zone, une analyse des conditions locales pour l’agroécologie est réalisée, y compris les défis et les opportunités, sur la base de données scientifiques et de nombreux entretiens effectués avec des autorités locales, des agriculteurs et des migrants de retour.
L’étude démontre comment la transition vers l’agroécologie peut d’abord soutenir les capacités locales d’adaptation aux changements climatiques et prévenir la déforestation. De plus, l’étude analyse comment ces solutions peuvent également faciliter une réintégration durable des migrants de retour forcé. Elle propose des éléments pour renforcer et valoriser les connaissances locales et, par conséquent, améliorer la situation de déforestation et de dégradation de l’environnement, en capitalisant sur les bonnes pratiques locales.
Finalement, l’étude émet des recommandations concrètes pour chaque zone afin de favoriser la transition vers l’agroécologie. Il s’agit d’interventions conçues en fonction des circonstances et des opportunités locales.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Snapshot Date
Jul 30 2024
Activité
- Other
Haïti fait face à de nombreux enjeux environnementaux, socioéconomiques et politiques. Parmi eux figurent les impacts du changement climatique, des désastres environnementaux, ainsi que les mouvements de population. Cette étude vise à établir et à comprendre le lien entre ces différents phénomènes, et à élaborer des stratégies et mesures à mettre en œuvre afin d’y apporter des solutions efficaces et durables.
Le rapport donne un état des lieux sur la dégradation de l’environnement, le changement climatique et la migration. Entre autres, l’étude fournit un aperçu des facteurs moteurs de la déforestation et de la dégradation des terres en Haïti, tels que le choix de pratiques culturales et l’exploitation des ressources ligneuses et des produits forestiers. L’étude met en évidence les vulnérabilités d’Haïti face aux changements climatiques et présente un résumé de l’histoire récente de la dynamique migratoire, en mettant l’accent sur des questions telles que l’insécurité, la pauvreté et le manque d’opportunités économiques.
Pour relever ces défis, l’agroécologie peut offrir des solutions. La production agroécologique peut créer des opportunités génératrices de revenus dans des zones touchées non seulement par la migration de retour forcé, mais également par le déplacement interne. Les derniers chiffres de l’OIM indiquent que 702 973 personnes ont été déplacées à l’intérieur d’Haïti. L’étude analyse dans quelle mesure la transition vers l’agroécologie peut aider les populations cibles à améliorer durablement leurs conditions socioéconomiques.
L’agroécologie peut également contribuer à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la production agricole locale. Haïti fait face à une crise humanitaire exacerbée par une situation sécuritaire déplorable. Environ cinq millions de personnes, soit près de 50 % de la population, sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë.
Le rapport considère le potentiel de la transition vers l’agroécologie et analyse les forces et faiblesses, tant au niveau national que local. L’étude croise les données pour identifier les communes les plus touchées par la déforestation et la migration de retour forcé. Parmi celles-ci, cinq zones ont été choisies pour une analyse plus approfondie : Cap-Haïtien, Cornillon/Grand-Bois, Gonaïves, Port-de-Paix et la zone métropolitaine de Port-au-Prince.
Pour chaque zone, une analyse est réalisée des conditions locales pour l’agroécologie, y compris les défis et les opportunités, sur la base de données scientifiques et de nombreux entretiens menés avec des autorités locales, des agriculteurs et des migrants de retour. L’étude démontre comment la transition vers l’agroécologie peut d’abord soutenir les capacités locales d’adaptation aux changements climatiques et prévenir la déforestation.
D’ailleurs, l’étude analyse comment ces solutions peuvent également faciliter une réintégration durable des migrants de retour forcé. Elle propose des éléments visant à renforcer et à valoriser les connaissances locales et, par conséquent, à améliorer la situation de déforestation et de dégradation de l’environnement, en capitalisant sur les bonnes pratiques locales.
Finalement, l’étude émet des recommandations concrètes pour chaque zone en vue de la transition vers l’agroécologie. Il s’agit d’interventions conçues en fonction des circonstances et des opportunités locales.
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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
English
Emplacement
Burundi
Période couverte
Oct 28 2024
Nov 03 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
La Matrice de Suivi des Déplacements de l’OIM est un système mis en oeuvre dans le but de capturer, analyser et disséminer des informations pour mieux comprendre les mouvements et les besoins des personnes déplacées internes (PDI) au Burundi. L'évaluation de base vise à fournir des informations sur la présence des PDI par colline qui sont catégorisés en deux groupes : Personnes déplacées internes (PDI) incluant les PDI retournées dans leur colline d'origine mais pas dans leur maison et les rapatriés devenus PDI. L'évaluation de base recueille également des informations sur la cause du déplacement et le type d'abri accueillant les PDI. La collecte des données est effectuée quatre fois par an par des volontaires formés de la Croix-Rouge du Burundi et opérant à tous les niveaux administratifs : provinces, communes et collines.
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