Situation Report

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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Nov 08 2023
Nov 16 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le 5 novembre 2023 28 ressortissants tchadiens 26 hommes, 2 femmes) ont été collectivement expulsés de la Libye et sont arrivés dans la ville d’ Ounianga Kébir le 7 novembre 2023 La plupart des personnes expulsées sont originaires de Guéra W adi Fira Ouaddaï et Batha Ces derniers ont affirmé avoir été emprisonnés en Libye pendant une période allant de un à sept mois à Benghazi, Djidabya et Kouffra avant d'être expulsés. De ce fait une équipe de l’Organisation Internationale pour les migrations ( a mené une évaluation à Ounianga Kébir le 8 novembre 2023 afin d’enregistrer ces personnes expulsées. Ainsi, le même jour, ces derniers ont reçu de l’assistance en nourriture en articles non alimentaires (notamment des couvertures et des nattes), des soins de santé et du transport vers leurs localités d’origine.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
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English
Emplacement
Période couverte
Aug 01 2023
Sep 30 2023
Activité
  • Other
  • Mobility Tracking

Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 30 septembre 2023, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 30 septembre 2023.

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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Oct 21 2023
Oct 23 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des situations d’urgenceest une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations. Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques.

Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de cinq informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non-gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés. 

Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de manière progressive et continue de populations des localités de Ldinglding, Moutaz, Doulong, Ldoubam-Bas, Ziver, Batawaya, Oupai, HatakaGoldavi, Douval, Moudouko et Talakatchi vers  les localités de Ouro-Tada, Ldoubam, Ldamang, Ségoulé, Goulanda, Mokolo Centre, Maxi Mabass, Jeugoue, Wandai, Yobourga, Goulanda, Sirak-Gorai, Zamalva, Mikilik, Grédé et Windé-Zamai dans l'arrondissement de Mokolo, département du Mayo-Tsanaga.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
French
Emplacement
Période couverte
Sep 01 2023
Sep 30 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
  • Village Assessment

La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. Plus récemment, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées. En septembre 2023, il est dénombré un total de 3 923 458 individus affectés, y compris 488 866 personnes déplacées internes (PDI) (13% de la population déplacée), 2 125 798 retournés anciennes PDI (54%), 513 037 retournés de l’étranger (13%) et 795 575 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (352 938 individus ou 44% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (211 366 individus ou 27% des réfugiés) et au Tchad (128 083 individus ou 16% des réfugiés). Néanmoins, 24 370 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (3% des réfugiés). Depuis le début de la crise Soudanaise, ce sont 15 335 individus qui sont entrés en RCA traversant la frontière d’Am-Dafock. Le pays est le refuge d’individus de pays voisins avec 45 286 refugiés venus du Soudan (34 796 individus), de la RDC (6 405), du Sud Soudan (2 741 individus) et du Tchad (1 344).

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Aug 01 2023
Oct 09 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des urgences a pour but de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés ou d'observations directes. Ce tableau de bord présente les informations sur les mouvements de réfugiés tchadiens ayant quitté la souspréfecture de N’guiguimi (Niger) pour la sous-préfecture de Daboua durant la période d’août à octobre 2023.

  • Suite à la multiplication d’enlèvements de personnes survenus dans les localités de Djaikimé, Malliyari, Koulbou-Koura, Gaouri et Kimena (sous-préfecture de N’guiguimi), un total de 497 ménages (2 565 individus) réfugiés tchadiens ont quitté ces localités pour s’installer dans les sites de Daboua Ecole, Djilkori, Tchaounarom, Malkaouri et Taloua, situés dans la sous-préfecture de Daboua.
  • Suite aux attaques armées perpétrées par des groupes armés en octobre près du village de Kimena, 20 ménages (50 individus), ont quitté d’une manière préventive ce village (sous-préfecture de N’guiguimi) et se sont réfugiés le 9 octobre 2023 dans le site de Ngarana 3 (sous-préfecture de Daboua).
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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Sep 01 2023
Sep 30 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des urgences a pour but de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les informations sont collectées par le biais d’entretiens avec des informateurs clés ou par des observations directes. Ce tableau de bord présente les informations sur les mouvements des personnes survenus dans la période du 01 au 30 septembre 2023 dans la province du Lac.

Au cours du mois de septembre 2023, un nombre important d’incidents de sécurité se sont produits dans la province du Lac et au-delà (Niger), entrainant des déplacements de population. Au total, 3 546 ménages (12 627 individus) ont été affectés par des déplacements, soit 43 pour cent de plus comparé au mois d’août. Parmi la population déplacée, nous comptons 340 ménages (1 800 individus) de réfugiés tchadiens qui ont été contraints de quitter la sous-préfecture de N’guiguimi (Niger) pour la sous-préfecture de Daboua. La grande majorité (86%) des personnes affectées durant septembre étaient membres des communautés locales avant leur déplacement. Ainsi, la raison de déplacement a principalement été les attaques armées (82%). La majorité (65%) de la population déplacée est restée dans la même sous-préfecture (voir le tableau de la page 2). Les trois principaux besoins signalés par la plupart des personnes déplacées dans les lieux de déplacement sont la nourriture (29%), les articles non-alimentaires (29%), les abris (23%) et l’eau (19%).

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Snapshot Date
Sep 26 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring
  • Depuis le début des affrontements au Soudan, plus de 487 000 personnes ont traversé la frontière vers le Tchad. L’OIM estime que plus de 67 780 parmi eux sont des retournés tchadiens et s’attend à ce que ce nombre passe à 80 000 dans les semaines à venir.
  • En coordination avec la CNARR et les organisations humanitaires, l’OIM a déjà enregistré 52 786 retournés et 135 ressortissants de pays (Soudan du Sud, Niger, Ethiopie, République Centrafricaine, Burkina Faso, Ouganda et Nigéria) dans 30 localités dans trois provinces.
  • La plupart des retournés sont installés spontanément près de la frontière avec le Soudan et ont un besoin urgent de nourriture, d’eau, d’assainissement et d’hygiène, d’abris, d’articles non alimentaires, de soutien sanitaire et de protection.
  • L’OIM a commencé la relocalisation des retournés d’Adre vers un site à Tongori en coordination avec les autorités. 975 des ménages de retournés (6 325 personnes) les plus vulnérables ont déjà été relocalisés. Des ambulances ont été utilisées pour transporter les personnes les plus vulnérables, y compris les personnes handicapées. Par ailleurs, l’OIM a soutenu la mise en place d’une structure de gouvernance de la zone d’accueil de Tongori avec des représentants élus par les résidents du site, ainsi que des groupes communautaires (femmes, jeunes, surveillance communautaire, etc.).
  • La réponse à la situation des retournés est effectuée en partenariat avec le gouvernement du Tchad, le HCR, la LWF, PUI, l’UNICEF, MSF, le FNUAP, le PAM, IRC, ACTED, la Croix Rouge du Tchad, et le CICR.
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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Période couverte
Sep 14 2023
Sep 18 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des urgences a pour but de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés ou d'observations directes. Ce tableau de bord présente des informations sur les affrontements intercommunautaires survenus dans les souspréfectures rurales de Kouka Margné, Bithotchi Mangalmé et Eref. Ces conflits ont causé plus d'une centaine de morts et 80 personnes blessés. Cependant, aucun mouvement d'individus n'a été signalé.
 

Depuis le début du mois d’août 2023, des tensions surgissent entre les agriculteurs et les transhumants dans le département de Mangalmé sur l’utilisation des couloirs de transhumance. Pour faire face à cela, les autorités locales et administratives ont pris des mesures pour apaiser la situation et promouvoir une transhumance pacifique. Malgré leurs efforts, un affrontement survenu le 20 août 2023 entre les éleveurs transhumants et les communautés des sous-préfectures rurales de Kouka Margné, Bithotchi Mangalmé et Eref (situés dans le département de Mangalmé), a causé la perte de 116 vie humaine et 80 personnes blessées. Au vu de cette situation critique qui continue à causer des pertes matérielles ainsi qu’humaines, des discussions au niveau local sont en cours afin de trouver une solution durable et réduire la survenance de ce type d’incident.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Aug 01 2023
Aug 31 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
  • Village Assessment

La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. Plus récemment, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées. En août 2023, il est dénombré un total de 3 865 278 individus affectés, y compris 514 547 personnes déplacées internes (PDI) (13% de la population déplacée), 2 063 885 retournés anciennes PDI (54%), 503 019 retournés de l’étranger (13%) et 783 827 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (352 938 individus ou 45% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (211 274 individus ou 27% des réfugiés) et au Tchad (128 083 individus ou 16% des réfugiés). Néanmoins, 24 370 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (3% des réfugiés). Depuis le début de la crise Soudanaise, ce sont 15 335 individus qui sont entrés en RCA traversant la frontière d’Am-Dafock. Le pays est le refuge d’individus de pays voisins avec 34 493 refugiés venus du Soudan (24 017 individus), de la RDC (6 410), du Sud Soudan (2 731 individus) et du Tchad (1 335).

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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Sep 13 2023
Sep 13 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

L'objectif de l'Emergency Tracking Tool (ETT) est de collecter des informations sur les mouvements de population importants et soudains, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés ou d'observations directes. Ce tableau de bord présente des informations sur un mouvement qui a eu lieu le 13 septembre 2023 dans la ville d’Ounianga Kébir, située dans la province de l’Ennedi Ouest, près de la frontière Libyenne.

Le 9 septembre 2023, un total de 61 ressortissants tchadiens et 1 ressortissant nigérian (dont dix mineurs non-accompagnés parmi eux) ont été expulsés collectivement de la Libye et sont arrivés dans la ville d’Ounianga-kebir le 13 septembre 2023. Par ailleurs, ces derniers ont affirmé avoir été emprisonnés en Libye pendant trois mois à trois ans à Koufra avant d'être expulsés. Il est à noter que la vaste majorité des personnes expulsées sont originaires d’Abéché, Ati et d’Amtiman. Ainsi, les 62 personnes expulsées n’ont reçu aucune assistance et vivent dans une situation d’extrême vulnérabilité (certains mineurs non accompagnés sont malades) et ne disposent d'aucun moyen pour poursuivre leur voyage vers leur communauté d'origine. De ce fait, elles ont manifesté avoir urgemment besoin de nourritures après avoir fait plusieurs jours sans manger, de soins de santé ainsi que d’assistance au transport vers leurs localités d’origine.