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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
May 01 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment

Depuis plus de 10 ans, le Mali est affecté par une crise sécuritaire sans précédente, poussant plusieurs ménages à quitter leurs localités d’origines. La persistance de l’insécurité croissante continue d’affecter les conditions de vie des populations déjà fragilisées par l’insuffisance d’accès aux services sociaux de bases et les aléas climatiques; certaines localités continuent d’être blocus avec des impacts socioéconomiques et humanitaires qui accroitraient la vulnérabilité de certaines populations.

Au cours des deux premiers trimestres de l’année 2024, d’importants mouvements de populations ont continué d’être observés dans des localités au Nord et au Centre du Mali. Le suivi des déplacements reste très complexe, dans un contexte marqué par l’insécurité, entrainant des mouvements de courte durée qui ont continué à être signalés dans différentes régions du pays, des combats et attaques sporadiques dans plusieurs localités, occasionnant des déplacements internes de populations civiles. Au-delà des mouvements internes, le caractère violent des conflits a provoqué d’importants déplacements de populations dans les communes frontalières entre le Burkina Faso et le Niger.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Other
  • Mobility Tracking

Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 31 mars 2024, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 31 mars 2024.

Ainsi, le rapport examine l’évolution, au Ghana, au Togo, au Bénin et en Côte d’Ivoire :

- des incidents sécuritaires;

- des types et fréquence de violences;

- des déplacements forcés de PDI et de réfugiés;

- de l’ouverture des frontières internationales;

- de la sécurité alimentaire et de la nutrition;

- des violences basées sur le genre;

- des dynamiques communautaires;

- et de la situation des Droits de l’Homme.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 24 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment

Le Round 6, publié au début du mois de mars 2024, a indiqué que 362 551
personnes étaient déplacées internes en Haïti. Ce nouveau rapport indique la présence de 578 074 personnes déplacées
internes, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire
observée dans la ZMPP, la capitale d’Haïti, entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI
a été plus marquée en province où il a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des
violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

Le Grand Sud a été la région ayant connu la plus grande augmentation du nombre de PDI qui y sont accueillies (130%
de plus comparé au round 6). Près de la moitié (47%) des PDI dans le pays se trouvent dans le Grand Sud.

La majorité des PDI dans le pays sont accueillies en province : 68% en province vs 32% dans la ZMPP.

Les PDI en province sont principalement les personnes qui ont fui la ZMPP : 78% des PDI en province sont venues de
la ZMPP. L’Artibonite, où la moitié des PDI ont fui des zones situées dans ce département, fait exception. Dans tous les
autres départements du pays les PDI sont majoritairement venues de la ZMPP.

Au niveau national, la majorité des PDI sont accueillies en familles d’accueil : 80% contre 20% en sites. Cependant, dans
la ZMPP la majorité des PDI résident plutôt en sites (61% en sites vs 39% en familles d’accueil), alors qu’en province c'est
l'inverse qui se produit (97% en familles d’accueil vs 3% en sites). Il est crucial d’appuyer les communautés hôtes en
province, notamment dans le Grand Sud, afin de leur permettre de continuer d’accueillir les PDI; et important de
promouvoir la cohésion sociale entre ces deux groupes de populations. Sans une résilience des communautés hôtes, le
nombre de sites en province risquera d’augmenter comme cela a été le cas dans la ZMPP. En effet, au début de la crise la
majorité des PDI dans la ZMPP étaient accueillies en familles d’accueil: seulement environ 2 PDI sur 10 étaient en sites en
2022 ; ce chiffre est passé à 6 PDI sur 10 en 2023. L’une des raisons principales à cette augmentation a été le manque de
ressources des communautés hôtes pour continuer à accueillir les PDI et la détérioration de la cohésion sociale dans ce
contexte.

Par ailleurs, 50 000 personnes retournées anciennement PDI ont été identifiées, notamment dans la ZMPP, à Croixdes-
Bouquets (21%), Cité Soleil (14%), Port-au-Prince (12%) ; dans le Sud à Tiburon (19%) ; et dans le Centre à Sauts
d’Eau (10%). Il est à souligner que pour le moment ces retours restent très fragiles et ne sont pas durables, notamment
dans la ZMPP.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 24 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment

Le Round 6, publié au début du mois de mars 2024, a indiqué que 362 551
personnes étaient déplacées internes en Haïti. Ce nouveau rapport indique la présence de 578 074 personnes déplacées
internes, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire
observée dans la ZMPP, la capitale d’Haïti, entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI
a été plus marquée en province où il a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des
violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

Le Grand Sud a été la région ayant connu la plus grande augmentation du nombre de PDI qui y sont accueillies (130%
de plus comparé au round 6). Près de la moitié (47%) des PDI dans le pays se trouvent dans le Grand Sud.

La majorité des PDI dans le pays sont accueillies en province : 68% en province vs 32% dans la ZMPP.

Les PDI en province sont principalement les personnes qui ont fui la ZMPP : 78% des PDI en province sont venues de
la ZMPP. L’Artibonite, où la moitié des PDI ont fui des zones situées dans ce département, fait exception. Dans tous les
autres départements du pays les PDI sont majoritairement venues de la ZMPP.

Au niveau national, la majorité des PDI sont accueillies en familles d’accueil : 80% contre 20% en sites. Cependant, dans
la ZMPP la majorité des PDI résident plutôt en sites (61% en sites vs 39% en familles d’accueil), alors qu’en province c'est
l'inverse qui se produit (97% en familles d’accueil vs 3% en sites). Il est crucial d’appuyer les communautés hôtes en
province, notamment dans le Grand Sud, afin de leur permettre de continuer d’accueillir les PDI; et important de
promouvoir la cohésion sociale entre ces deux groupes de populations. Sans une résilience des communautés hôtes, le
nombre de sites en province risquera d’augmenter comme cela a été le cas dans la ZMPP. En effet, au début de la crise la
majorité des PDI dans la ZMPP étaient accueillies en familles d’accueil: seulement environ 2 PDI sur 10 étaient en sites en
2022 ; ce chiffre est passé à 6 PDI sur 10 en 2023. L’une des raisons principales à cette augmentation a été le manque de
ressources des communautés hôtes pour continuer à accueillir les PDI et la détérioration de la cohésion sociale dans ce
contexte.

Par ailleurs, 50 000 personnes retournées anciennement PDI ont été identifiées, notamment dans la ZMPP, à Croixdes-
Bouquets (21%), Cité Soleil (14%), Port-au-Prince (12%) ; dans le Sud à Tiburon (19%) ; et dans le Centre à Sauts
d’Eau (10%). Il est à souligner que pour le moment ces retours restent très fragiles et ne sont pas durables, notamment
dans la ZMPP.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Other
  • Survey
  • Flow Monitoring
  • Mobility Tracking

Dans la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre (AOC), le Sahel s'étend de la Mauritanie au Tchad, séparant le désert du Sahara au nord, des pays côtiers tropicaux au sud. Sur le continent africain, il s'étend de l'océan Atlantique à l'ouest jusqu’à la mer Rouge à l'est, séparant ainsi le désert de la savane. Les routes migratoires de l'AOC traversent inévitablement le Sahel et, tout au long de leur voyage, les migrants sont confrontés à de multiples risques. Ce rapport compile des informations provenant de différentes activités menées dans la région dans le but de mettre en évidence les diverses dynamiques, profils et risques auxquels les migrants sont confrontés lorsqu'ils voyagent sur les routes d'AOC à travers le Sahel.

Ce tableau de bord couvre la période allant de janvier à mars 2024 et se base sur des informations provenant (1) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM) sur la mobilité et les flux de populations ; (2) du Projet des migrants disparus (Missing Migrants Project, MMP) sur les arrivées en Europe et aux Îles Canaries, les décès et les disparitions de migrants ; (3) des données sur les migrants cherchant l'Assistance au retour volontaire et à la réintégration (Assistance to Voluntary Return and Reitegration, AVRR) vers et à travers la région d’AOC ; (4) des données sur les expulsions de migrants d'autres régions vers l'AOC, en particulier d'Algérie et de Libye ; (5) de l'Outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool, TTT) sur la mobilité des populations transhumantes à travers le Sahel ; et (6) des indicateurs de stabilité de l'Indice de solutions et de mobilité (Solutions and Mobility Index, SMI) dans la région sahélienne.

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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
English
Emplacement
Mali
Période couverte
Jan 11 2024
Jan 28 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring

L'indice de solution et de mobilité comprend des données collectées par le biais d'entretiens avec des informateurs clés (IC) au niveau local dans 100 localités de passage des transhumants, dans 6 cercles (Ansongo, Djenné, Douentza, Gao, Koro et Mopti) des régions de Mopti et de Gao.

Les lieux de collecte des données ont été sélectionnés grâce à un exercice de cartographie visant à identifier les zones de passage des transhumants (voir l'annexe pour plus d'informations). Les informations sont recueillies par le biais d'entretiens avec des informateurs clés. Ils se sont tenus du 11 au 28 janvier 2024. Plusieurs informateurs clés ont été interrogés dans chaque localité, ce qui a permis à l'OIM de procéder à une validation croisée des informations. Les informateurs clés comprennent les maires, les chefs de communauté et d'autres représentants de la communauté. La méthode d'interroger les informateurs clés présente l'avantage de collecter rapidement des informations sur de nombreuses localités, mais elle est limitée en ce sens qu'elle n'est qu'une représentation estimative des points de vue d'une communauté entière. En outre, les résultats de l’ISM représentent des conditions à un moment donné et peuvent donc varier d'un cycle à l'autre ou changer soudainement.

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DTMmauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Dec 11 2023
Jan 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Village Assessment

La mobilité pastorale ou transhumance est une tradition de longue date en Mauritanie, par laquelle des éleveurs, parfois des familles entières, y compris les enfants, se déplacent à la recherche d’eau et de pâturages. En conséquence, le calendrier et les itinéraires de transhumances se font en concordance des pluies, ainsi que de la distribution de l’eau et des pâturages, qui varient d’une saison à l’autre. Compte tenu des conditions environnementales difficiles en Mauritanie et des répercussions sur les productions végétales et animales, y compris sur la sécurité alimentaire des populations, et dans le contexte actuel d’aléas climatiques, économiques et sécuritaires croissants, on constate que les systèmes de mobilité pastorale connaissent des évolutions importantes sous les effets combinés du changement climatique, de la pression démographique, de la baisse de la fertilité des sols et de l’insécurité.

Dans le cadre du projet «Renforcement des capacités nationales et locales en matière de préparation et réponse aux catastrophes dans les zones frontalières et de transhumance couloirs dans la région du Hodh Ech Chargui en Mauritanie  »  financé par la Protection civile et aide humanitaire de l’Union européenne (ECHO) et mis en œuvre par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), au niveau de la Wilaya du Hodh Charghi et plus précisément dans les moughataas de Bassiknou et d’Adel Bagrou, plusieurs activités sont mises en place y compris des activités de collecte de données sur la migration et le changement climatique.

L’objectif de la collecte de données est d’informer sur les mouvements de transhumance passant dans les moughataas d’Adel Bagrou et de Bassikounou durant la période post-hivernale (après avoir effectué le même exercice en période pré-hivernale) mais également de voir l’impact du changement climatique sur les mouvements de transhumance. Spécifiquement, il s’agit :

D’estimer la taille des troupeaux passant par les principaux points de passage dans les moughataas ciblées par le projet

De déterminer le profil des personnes accompagnant ces mouvements de transhumance

De mesurer la santé des troupeaux en transhumance

D'obtenir des informations sur la perception des transhumants sur le changement climatique et les mouvements de transhumance

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Dec 01 2023
Jan 31 2024
Activité
  • Other
  • Mobility Tracking

Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 31 janvier 2024, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 31 janvier 2024.

Ainsi, le rapport examine l’évolution, au Ghana, au Togo, au Bénin et en Côte d’Ivoire :

- des incidents sécuritaires;

- des types et fréquence de violences;

- des déplacements forcés de PDI et de réfugiés;

- de l’ouverture des frontières internationales;

- de la sécurité alimentaire et de la nutrition;

- des violences basées sur le genre;

- des dynamiques communautaires;

- et de la situation des Droits de l’Homme.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Other
  • Survey
  • Displacement Solutions
  • Flow Monitoring
  • Mobility Tracking

Dans la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre (AOC), le Sahel s'étend de la Mauritanie au Tchad, séparant le désert du Sahara au nord, des pays côtiers tropicaux au sud. Sur le continent africain, il s'étend de l'océan Atlantique à l'ouest jusqu’à la mer Rouge à l'est, séparant ainsi le désert de la savane. Les routes migratoires de l'AOC traversent inévitablement le Sahel et, tout au long de leur voyage, les migrants sont confrontés à de multiples risques.

Ce rapport compile des informations provenant de différentes activités menées dans la région dans le but de mettre en évidence les diverses dynamiques, profils et risques auxquels les migrants sont confrontés lorsqu'ils voyagent sur les routes d'AOC à travers le Sahel. Ce tableau de bord couvre la période allant de janvier à décembre 2023 et se base sur des informations provenant (1) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM) sur la mobilité et les flux de populations ; (2) du Projet des migrants disparus (Missing Migrants Project, MMP) sur les arrivées en Europe et aux Îles Canaries, les décès et les disparitions de migrants ; (3) des données sur les migrants cherchant l'Assistance au retour volontaire et à la réintégration (Assistance to Voluntary Return and Reitegration, AVRR) vers et à travers la région d’AOC ; (4) des données sur les expulsions de migrants d'autres régions vers l'AOC, en particulier d'Algérie et de Libye ; (5) de l'Outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool, TTT) sur la mobilité des populations transhumantes à travers le Sahel ; et (6) des indicateurs de stabilité de l'Indice de solutions et de mobilité (Solutions and Mobility Index, SMI) dans la région sahélienne.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Survey
  • Displacement Solutions
  • Flow Monitoring
  • Mobility Tracking

Le développement et la mise en œuvre de programmes et politiques migratoires favorisant une migration sûre, ordonnée et légale en Afrique de l’Ouest et du Centre requière une meilleure compréhension des mobilités humaines dans la région.

La mobilité régionale prend différentes formes. La transhumance, la migration saisonnière lors des saisons des récoltes et des extractions de minerais, la migration économique à destination de l’Afrique du Nord et de l’Europe, les mouvements liés aux fêtes religieuses et culturelles, le tourisme, les mouvements étudiants, les déplacements forces, l’exode rural, et les migrations environnementales, sont des exemples de mouvements observes en Afrique de l’Ouest et du Centre, reflétant la diversité de la mobilité dans la région.

Ce rapport a pour tâche de fournir un aperçu des dynamiques, des tendances et schémas migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre et au-delà. Le rapport est mis à jour de manière régulière afin de fournir les dernières informations concernant les mobilités régionales.