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Crisis Responses
Mobility Tracking
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Feb 10 2024
Feb 14 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de quatre informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non-gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés.
Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Dor-Imar, Kouk 1, Kouk 2 et Koussouma vers les sites de Blangoua Bâche et de Dougoumachi (Blangoua Centre) dans l’arrondissement de Blangoua, département du Logone-Et-Chari.
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DTMDRC@iom.int
Emplacement
Democratic Republic of the Congo
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Période couverte
Jan 28 2024 -Feb 12 2024
Depuis 2022, la région orientale de la République démocratique du Congo (RDC), en particulier le Nord-Kivu, est en proie à un conflit dévastateur qui s'est intensifié et est devenu de plus en plus complexe au fil du temps, avec le potentiel d'atteindre des niveaux sans précédent dans le Nord-Kivu. Cette crise se caractérise par une multitude d'acteurs armés en conflit, une importante population déplacée et une population encore plus importante en manque d'aide humanitaire. Le conflit actuel entre le groupe M23 et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et leurs alliés a été une source majeure de violence et d'instabilité dans la région.
Le début du déploiement du personnel de la force régionale de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a été signalé depuis le 28 décembre 2023. Cette initiative intervient dans un contexte marqué par une recrudescence des combats entre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et ses alliés d’une part, et le groupe M23 d’autre part.
Depuis le début de la crise, l'OIM, par le biais de la DTM continue à mener une série d'évaluations rapides, y compris le suivi des urgences (EET/ERM), l'analyse des crises et enregistrement avec priorité de répondre aux besoins immédiats d'information en vue de comprendre la dynamique des déplacements et les besoins. Ce rapport présente les résultats des évaluations menées dans les différentes zones de déplacement et de retour du 28 janvier au 12 février 2024.
Population Groups
IDPs
Returnee (Previously Internally Displaced)
Survey Methodology
Unit of Analysis Or Observation
Admin Area 2
Admin Area 3
Admin Area 4
Type of Survey or Assessment
Key Informant
Keywords
Geographical Scope Partial Coverage
Administrative boundaries with available data
The current dataset covers the following administrative boundaries
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Feb 06 2024
Feb 13 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de six informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non-gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés.
Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Mavoumai, Hazalak, Moutsecar, Guedjele (arrondissement de Koza), Ldubam-Bas, Magoumaz, Oupai, Ldamang et site 4 de Zamai (arronsissement de Mokolo) vers les localités de Gouzda-Wayam, Mazi, Oulad, Dzakorma, Guid-Balla, Kondorma, Pamba’o (arrondissement de Koza) et Kessohone-Zamai (Arrondissement de Mokolo) , département du Mayo-Tsanaga.
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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 07 2024
Feb 13 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ces informations ont été recueillies à la suite de diverses attaques armées survenues dans plusieurs quartiers de la capitale depuis le 05 février, dans les communes de Carrefour, Cité Soleil et Tabarre. Ce rapport est une mise à jour de celui publié le 11 février et d’autres mises à jour seront publiées selon l’évolution des déplacements. Un total de 9 901 personnes se sont déplacées suite à ces attaques dont 7 261 à la suite des attaques dans des quartiers limitrophes des communes de Cité Soleil et Tabarre ainsi que 2 640 à la suite de celles dans la commune de Carrefour. La plupart de ces personnes (90%) se sont réfugiées dans zones situées dans le département de l’Ouest et le reste sont partis en provinces, notamment vers les Nippes (5%) et le Centre (3%). La majorité (63%) se sont réfugiées dans des familles d’accueil et 37% dans 13 sites (tous situés dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince, dans le département de l’Ouest) dont 3 qui existaient déjà avant ces incidents et 10 nouvellement créés.
Type de carte
Atlas Map
Date de publication
Wed, 02/14/2024 - 03:40
Activité
Mobility Tracking
Ce document présente une collection de cartes basées sur les données recueillies lors de la première phase (Round 1) des évaluations sur la situation de déplacement dans le Grand Sud (département du Sud, Sud-Est, Nippes et Grande'Anse). Les évaluations ont eu lieu du 16 novembre au 02 décembre 2023 dans les sections communales et les sites d'accueil des populations déplacées internes et retournées. Les résultats ont indiqué que près de 117 000 personnes sont déplacées internes dans le Grand Sud dont la quasi totalité a fui la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince.
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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Nov 16 2023
Dec 02 2023
Activité
- Mobility Tracking
- Site Assessment
- Baseline Assessment
- Village Assessment
Ce document présente une collection de cartes basées sur les données recueillies lors de la première phase (Round 1) des évaluations sur la situation de déplacement dans le Grand Sud (département du Sud, Sud-Est, Nippes et Grande'Anse). Les évaluations ont eu lieu du 16 novembre au 02 décembre 2023 dans les sections communales et les sites d'accueil des populations déplacées internes et retournées. Les résultats ont indiqué que près de 117 000 personnes sont déplacées internes dans le Grand Sud dont la quasi totalité a fui la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince.
La région du Sahel central, et plus particulièrement la zone du Liptako Gourma, qui enjambe le Burkina Faso, le Mali et le Niger, est témoin d’une crise complexe qui comprend comme enjeux une compétition grandissante pour le contrôle des ressources; des bouleversements climatiques; une croissance démographique galopante; des niveaux élevés de pauvreté; l’absence d’opportunités économiques; des tensions communautaires; l’absence de présence étatique et le manque de services sociaux de base; ainsi que des violences provoquées par des réseaux de crime organisé et des groupes armés non-étatiques. La crise a engendré des déplacements importants de populations dans les pays concernés et affecte, par ailleurs, des pays voisins tels que la Mauritanie ou les pays côtiers.
En janvier 2024, 3 021 235 individus sont déplacés, y compris 2 636 880 personnes déplacées internes (87% de la population affectée) et 384 355 réfugiés (13% de la population affectée). Soixante-dix pour cent des individus (2 100 130 personnes) se situaient au Burkina Faso, 14 pour cent résidaient au Mali (419 468 personnes), 10 pour cent au Niger (288 734 personnes) et 4 pour cent en Mauritanie (110 997 personnes). Le recent déversement de cette crise vers les pays côtiers, à savoir la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo et le Bénin, fait prevue d’un nombre croissant de réfugiés arrivant du Sahel central vers ces pays et, à l’interne, des populations déplacées. En janvier, sont recensés 101 906 individus affectés dans ces quatre pays réunis (9 899 au Bénin, 38 497 en Côte d’Ivoire, 7 205 au Ghana et 46 305 au Togo) dont un total de 30 372 déplacés internes.
La crise dans le Bassin du lac Tchad est le résultat d’une combinaison complexe d’une multitude de facteurs, y compris un conflit armé impliquant des groupes armés non-étatiques, des niveaux extrêmes de pauvreté, un développement peinant, et des bouleversements climatiques, qui ont conduit à des déplacements importants de populations.
En janvier 2024, le Cameroun, le Chad, le Niger et le Nigéria accueillaient un total de 6 032 932 individus affectés par la crise, dont des personnes déplacées internes (PDI), des retournés (anciennes PDI et retournés de l’étranger) et des réfugiés (vivant en et hors des camps). Treize pour cent des individus affectés (775 089 personnes) résidaient au Cameroun, 5 pour cent au Tchad (288 334 personnes), 9 pour cent au Niger (513 149 personnes) et enfin, 74 pour cent au Nigéria (4 456 360 personnes). De façon générale, les nombres montrent augmentation de retournés de l’étranger (+4%) et une diminution de réfugiés (-9%) depuis décembre 2023 dans la région.
La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. Plus récemment, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées.
En janvier 2024, il est dénombré un total de 3 937 845 individus affectés, y compris 512 805 personnes déplacées internes (PDI) (13% de la population déplacée), 2 125 798 retournés anciennes PDI (54%), 513 037 retournés de l’étranger (13%) et 786 205 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (354 139 individus ou 47% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (211 774 individus ou 28% des réfugiés) et au Tchad (133 495 individus ou 18% des réfugiés). Néanmoins, 18 279 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Depuis le début de la crise Soudanaise, ce sont 41 795 individus qui sont entrés en RCA. En effet, le pays est le refuge d’individus de pays voisins avec 32 442 réfugiés venus du Soudan (21 816 individus), de la RDC (6 411), du Sud Soudan (2 726 individus) et du Tchad (1 489 individus).
Type de carte
Location Map
Date de publication
Tue, 02/13/2024 - 16:45
Activité
Mobility Tracking
Cette carte est issue des évaluations DTM conduites dans 7 départements sur les 10 que compte Haïti. Elle présente la situation de déplacement (PDIs et retournés anciennes PDIs) au niveau des départements (admin 1)
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