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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jan 19 2024
Jan 23 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Ces informations ont été recueillies à la suite des attaques armées survenues le 19 janvier 2024 dans le quartier de Bas Bizoton et ses environs, situé dans la commune de Carrefour. Au total, 2 451 personnes se sont déplacées dont 1 491 personnes résidant dans le lieu de l’attaque et ses environs ainsi que 960 personnes qui ont fui le quartier de « Le Lambi », situé dans la même commune de Carrefour, par peur que leur zone soit aussi attaquée dans les prochains jours. Toutes ces personnes se sont réfugiées auprès des proches (en familles d’accueil) dans les communes de Carrefour, Léogâne et Gressier.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Dec 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment

La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. Plus récemment, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées.

En décembre 2023, il est dénombré un total de 3 926 402 individus affectés, y compris 504 992 personnes déplacées internes (PDI) (13% de la population déplacée), 2 125 798 retournés anciennes PDI (54%), 513 037 retournés de l’étranger (13%) et 782 575 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (353 701 individus ou 47% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (212 217 individus ou 28% des réfugiés) et au Tchad (130 044 individus ou 17% des réfugiés). 

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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
English
Emplacement
Niger
Période couverte
Dec 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Flow Monitoring

L’OIM, à travers l’outil de suivi des flux de populations de la Matrice de suivi des déplacements, récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de population est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d'importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport s’est faite du 1 er au 31 décembre 2023 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois.

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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jan 15 2024
Jan 19 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Ces informations ont été recueillies à la suite des attaques armées en cours dans les quartiers de Solino et ses environs ainsi que dans le quartier de Gabelliste, tous situés dans la commune de Port-au-Prince. Les attaques à Solino ont débuté le 14 janvier 2024 et à Gabelliste le 02 janvier. Au moment de l’élaboration de ce rapport, elles sont encore en cours et les déplacements de populations continuent. Ce rapport est une mise à jour de celui publié le 18 janvier et d’autres mises à jour seront publiées selon l’évolution des déplacements. Un total de 2 475 personnes sont déjà déplacées suite à ces attaques dont 1 703 suite aux attaques à Solino et ses environs et 772 suite à celles à Gabelliste. La majorité de populations déplacées (63%) se sont réfugiées dans des familles d’accueil et 37% dans des sites (924 personnes dans 11 sites)

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dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Jan 15 2024
Jan 17 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des urgences a pour but de recueillir des informations sur les mouvements importants et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les informations sont collectées à travers des entretiens avec des informateurs clés ou des observations directes.

Ces informations ont été recueillies à la suite des attaques armées en cours dans les quartiers de Solino et ses environs ainsi que dans le quartier de Gabelliste, tous situés dans la commune de Port-au-Prince. Les attaques à Solino ont débuté le 14 janvier 2024 et à Gabelliste le 02 janvier. Au moment de l’élaboration de ce rapport, elles sont encore en cours et les déplacements de populations continuent. Des mises à jour seront publiées par la DTM selon l’évolution des déplacements. Pour le moment un total de 1 079 personnes sont déjà déplacées suite à ces attaques dont 761 suite aux attaques à Solino et ses environs et 318 suite à celles à Gabelliste. La majorité de populations déplacées (60%) se sont réfugiées dans des sites (8 au total).

 

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Oct 12 2023
Dec 19 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
  • Baseline Assessment
  • Village Assessment

Ces dernières années, l’insécurité généralisée en Haïti a poussé des milliers de personnes à fuir leurs zones de résidence. Bien que les violences surviennent le plus souvent dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP) située dans le département de l'Ouest, d'autres départements sont également touchés car de plus en plus de personnes quittent la ZMPP pour se réfugier dans les départements provinciaux.

Ce rapport présente les principaux résultats des évaluations DTM menées fin 2023 dans les départements de l'Ouest, du Sud, du Sud-Est, de l'Artibonite, de la Grande Anse, du Centre et des Nippes sur la situation des déplacements dans le pays. Au total, 313 901 personnes sont déplacées internes dans le pays, dont une majorité d'enfants (55%). Les résultats indiquent que 147 000 personnes ont déjà fui la ZMPP pour se réfugier dans les départements provinciaux.

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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burundi
Période couverte
Dec 17 2023
Dec 23 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

La DTM a identifié 1 030 personnes affectées, dont 123 personnes déplacées par les vents violents et les pluies torrentielles  dans les provinces de Cibitoke, Makamba, Muyinga et Bururi. 

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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burundi
Période couverte
Dec 24 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

La DTM a identifié 10 767 personnes affectées, dont 2 010 personnes déplacées par les pluies torrentielles, les vents violents et les glissements de terrain dans les provinces de Bujumbura Mairie, Bujumbura Rural, Bururi et Makamba.

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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Langue
French
Emplacement
Burundi
Période couverte
Jan 08 2024
Jan 13 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

La DTM a identifié 6 861 personnes affectées, dont 453 personnes déplacées par les glissements de terrain, les pluies torrentielles, les inondations et les vents violents dans les provinces de Bujumbura Rural, Makamba, Gitega, Cibitoke et Bururi.

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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Nov 01 2023
Nov 30 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes  se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction et la gestion des risques de catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.