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DTM Mauritania, DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Feb 01 2024
May 31 2024
Activité
  • Survey
  • Migrants presence
  • Mobility Tracking

La transhumance, une pratique traditionnelle de déplacement saisonnier du bétail entre différentes zones de pâturage, est une activité vitale pour les communautés pastorales. La wilaya du Guidimaghaa en Mauritanie, située à la frontière avec le Mali et le Sénégal, est une zone clé pour la transhumance entre ces trois pays en raison de sa position géographique et de ses ressources naturelles. Afin de réduire les risques de conflits pouvant découler de ces mouvements en transhumance, OIM Mauritanie avec le soutien du fonds pour la consolidation de la paix (PBF), met en œuvre son système d’alerte précoce afin de prévenir les conflits et tensions en lien avec ces mouvements mais également de réduire les impacts des aléas climatiques en informant les communités sur certains événements.

Le système d'alerte précoce de l’outil de suivi de la transhumance, en tant que composante de la matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix (DTM), en anglais) de l'OIM, avec le soutien des points focaux communautaires et des informateurs clés, recueille des informations sur les alertes relatives aux mouvements de transhumance afin de comprendre les modes de résolution et d’informer les autorités compétentes afin de réduire les tensions dans les localités d’intervention.

Ce rapport présente les données d’alerte précoce recueillies entre février et avril 2024 dans la wilaya du Guidimaghaa. Durant cette période, 16 alertes, dont 12 évènements (75%) et 4 alertes de mouvements (25%) ont été remontées par les relais communautaires intervenant dans le système d’alerte précoce.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Other
  • Mobility Tracking

Le rapport d’outil de veille sur la situation dans les quatre pays côtiers du golfe de Guinée (Ghana, Bénin, Togo et Côte d’Ivoire) en date du 31 mars 2024, élaboré par le Groupe régional d’analyse intersectorielle (GRANIT) sous la direction et l’impulsion d’OCHA, de l’OIM et de REACH, fait le suivi, sur la base des données et les analyses de partenaires humanitaires et de développement, des tendances relatives à des indicateurs clés reflétant la situation dans les quatre pays côtiers limitrophes du Burkina Faso, au 31 mars 2024.

Ainsi, le rapport examine l’évolution, au Ghana, au Togo, au Bénin et en Côte d’Ivoire :

- des incidents sécuritaires;

- des types et fréquence de violences;

- des déplacements forcés de PDI et de réfugiés;

- de l’ouverture des frontières internationales;

- de la sécurité alimentaire et de la nutrition;

- des violences basées sur le genre;

- des dynamiques communautaires;

- et de la situation des Droits de l’Homme.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Other
  • Flow Monitoring

La migration irrégulière est un phénomène complexe, dynamique et fragmenté, et reste difficile à décrire pleinement. Il est essentiel de renforcer la compréhension des itinéraires migratoires, des tendances ainsi que des profils des migrants afin de protéger les migrants et de soutenir des politiques fondées sur des données probantes. La Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM) et le Projet sur les migrants disparus (Missing Migrants Project, MMP) de l'Organisation internationale pour les migrations collectent des données sur les départs, les arrivées, les décès et les disparitions de migrants le long des routes migratoires.

Ce document présente la reprise des migrations depuis les côtes de l'Afrique de l'Ouest vers les îles Canaries (Espagne). Cette route, déjà active en 2006, a connu un nombre croissant de mouvements en 2023, et au cours des premiers mois de 2024, des augmentations considérables ont été enregistrées par rapport à l'année précédente. Les risques, décès et disparitions suite à des naufrages sont également en augmentation le long des côtes atlantiques. Entre janvier et mars 2024, 13 115 migrants ont atteint les îles Canaries de manière irrégulière après avoir traversé en bateau depuis les côtes de l'Afrique de l'Ouest, soit une augmentation de 502 pour cent par rapport à 2023 (2 178).

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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
English
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Jun 04 2024
Jun 10 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Magoumaz, Ldubam-bas, Zouba-Segoulé (arrondissement de Mokolo), Gousda-Wayam, Hazalak, Mavoumai-Mbrom, et Oupai (Arrondissement de Koza) qui se sont continuellement déplacées vers les localités de Mokolo centre (Zimangayak, Ldamtsai carrefour Dongoi, Wayam-Hawane, Wayam-Tambak, Dzawandai), Ldamang, Mikilik (arrondissement de Mokolo) et les localités de Guidbala, Kechkémé, Hamdala, Lamordé et Pambao (arrondissement de Koza) dans le département du département de Mayo-Tsanaga.​

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Snapshot Date
Jun 03 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

•Depuis le début des affrontements au Soudan, presque 750 000 personnes ont traversé la frontière vers leTchad. L’OIM estime que plus de 173 124 parmi eux sont des retournés tchadiens et s’attend à ce que cenombre passe à 240 000 d’ici fin décembre 2024, en raison de la reprise du conflit et de l’insécurité alimentaireau Darfour. Les retournés tchadiens qui vivaient au Soudan et ont été déplacés vers leur pays d'origine où ilsn'ont pas les ressources nécessaires pour reconstruire leur vie.
•En tant qu'agence principale pour la réponse aux retournés, l'OIM collabore avec un éventail de partenairesopérationnels, notamment le gouvernement du Tchad, le HCR, OCHA, la FLM, PUI, l'UNICEF, MSF, l'UNFPA,LMI, le CICR, l'IRC, ACTED, la Croix-Rouge tchadienne, HELP-Tchad, Concern Worldwide, COOPI, INTERSOSet le PAM.
•En coordination avec la CNARR et les organisations humanitaires, l'OIM a déjà enregistré plus de 122 191retournes et 365 ressortissants de pays tiers (Soudan du Sud, Niger, Éthiopie, République centrafricaine, BurkinaFaso, Sierra Leone, Nigéria et Ouganda) dans 52 localités de trois provinces.
•La plupart des retournés sont installés spontanément près de la frontière avec le Soudan et ont un besoin urgentde nourriture, d’eau, d’assainissement et d’hygiène, d’abris, d’articles non alimentaires, de soutien sanitaire et deprotection.
•L'OIM continue le développement des sites de retournés de Tongori, dans la province du Ouaddaï, et deDeguessa, dans la province de Sila, qui, avec respectivement plus de 13 000 et 25 000 individus, sont les deuxplus grands sites de retournés de l'est du Tchad. L'OIM et ses partenaires offrent une assistance en matière d'abris,d'accès à l'information sur l'eau, d'assainissement et d'assainissement, d'assainissement et d'assainissement, ainsique des services de protection et de santé mentale dans ces deux sites.
•L'OIM se coordonne avec les autorités locales et les représentations diplomatiques pour le retour volontairedans leur pays d'origine des ressortissants de pays comme l'Éthiopie, le Soudan du Sud, le Nigéria, le Niger et leCameroun, vivant auparavant au Soudan et déplacés vers l'est du Tchad.
•Parallèlement à l'aide d'urgence, l'OIM développe des activités de résilience pour les retournés et lescommunautés locales qui les accueillent. Il s'agit notamment de transformer les abris temporaires en logementsdurables, de soutenir les moyens de subsistance et d'améliorer l'accès aux services de base. L'OIM soutientégalement la coexistence pacifique à long terme entre les différentes communautés.

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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
English
Emplacement
Chad
Snapshot Date
May 20 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking
  • Depuis le début des affrontements au Soudan, presque 750 000 personnes ont traversé la frontière vers le Tchad. L’OIM estime que plus de 173 124 parmi eux sont des retournés tchadiens et s’attend à ce que ce nombre passe à 240 000 d’ici fin décembre 2024, en raison de la reprise du conflit au Darfour.
  • • En tant qu'agence principale pour la réponse aux retournés, l'OIM collabore avec un éventail de partenaires opérationnels, notamment le gouvernement du Tchad, le HCR, OCHA, la FLM, PUI, l'UNICEF, MSF, l'UNFPA, LMI, le CICR, l'IRC, ACTED, la Croix-Rouge tchadienne, HELP-Tchad, Concern Worldwide, COOPI, INTERSOS et le PAM. • En coordination avec la CNARR et les organisations humanitaires, l'OIM a déjà enregistré plus de 118 157 retournes et 365 ressortissants de pays tiers (Soudan du Sud, Niger, Éthiopie, République centrafricaine, Burkina Faso, Sierra Leone, Nigéria et Ouganda) dans 43 localités de trois provinces.
  •  La plupart des retournés sont installés spontanément près de la frontière avec le Soudan et ont un besoin urgent de nourriture, d’eau, d’assainissement et d’hygiène, d’abris, d’articles non alimentaires, de soutien sanitaire et de protection.
  • L'OIM continue le développement des sites de retournés de Tongori, dans la province du Ouaddaï, et de Deguessa, dans la province de Sila, qui, avec respectivement plus de 13 000 et 25 000 individus, sont les deux plus grands sites de retournés de l'est du Tchad. L'OIM et ses partenaires offrent une assistance en matière d'abris, d'accès à l'information sur l'eau, d'assainissement et d'assainissement, d'assainissement et d'assainissement, ainsi que des services de protection et de santé mentale dans ces deux sites.
  • L'OIM se coordonne avec les autorités locales et les représentations diplomatiques pour le retour volontaire dans leur pays d'origine des ressortissants de pays comme l'Éthiopie, le Soudan du Sud, le Nigéria, le Niger et le Cameroun, vivant auparavant au Soudan et déplacés vers l'est du Tchad.
Jeux de données publique

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DTMDRC@iom.int
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
Période couverte
Apr 30 2024 -
May 28 2024

Les données de déplacement collectées dans cette dix-neuvième analyse de crise montrent une augmentation du nombre de personnes déplacées par rapport à la publication précédente (voir le rapport). Le nombre de personnes déplacées est passé de 1 524 179 à 1 771 692 au 28 mai 2024 (données détaillées ici). Cette augmentation de 16% est principalement liée aux affrontements rapportés sur les axes Kikuku-Bwalanda et Rwindi-Kibirizi du territoire de Rutshuru au Nord-Kivu et dans le territoire de Masisi sur les axes Bihambwe-Katale-Masisi centre et NgunguBitonga.Bien que la majorité des personnes déplacées résident dans les communautés d'accueil, les sites de déplacement continuent d'accueillir une proportion significative (44%) des ménages déplacés. Certains sites offrent des abris temporaires et une assistance de base, mais la plupart ne répondent pas de manière adéquate aux besoins des personnes touchées. Ces sites sont souvent surpeuplés et 
ont des difficultés à fournir des services essentiels tels que la sécurité, l'eau potable, la nourriture et l'assainissement, ce qui exacerbe les difficultés rencontrées par les personnes déplacées.

Population Groups

IDPs

Returnee (Previously Internally Displaced)

Survey Methodology

Unit of Analysis Or Observation

Admin Area 2

Admin Area 3

Type of Survey or Assessment

Key Informant

Keywords

Demographics

Mobility

Geographical Scope Partial Coverage

Administrative boundaries with available data

The current dataset covers the following administrative boundaries

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 24 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment

Le Round 6, publié au début du mois de mars 2024, a indiqué que 362 551
personnes étaient déplacées internes en Haïti. Ce nouveau rapport indique la présence de 578 074 personnes déplacées
internes, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire
observée dans la ZMPP, la capitale d’Haïti, entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI
a été plus marquée en province où il a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des
violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

Le Grand Sud a été la région ayant connu la plus grande augmentation du nombre de PDI qui y sont accueillies (130%
de plus comparé au round 6). Près de la moitié (47%) des PDI dans le pays se trouvent dans le Grand Sud.

La majorité des PDI dans le pays sont accueillies en province : 68% en province vs 32% dans la ZMPP.

Les PDI en province sont principalement les personnes qui ont fui la ZMPP : 78% des PDI en province sont venues de
la ZMPP. L’Artibonite, où la moitié des PDI ont fui des zones situées dans ce département, fait exception. Dans tous les
autres départements du pays les PDI sont majoritairement venues de la ZMPP.

Au niveau national, la majorité des PDI sont accueillies en familles d’accueil : 80% contre 20% en sites. Cependant, dans
la ZMPP la majorité des PDI résident plutôt en sites (61% en sites vs 39% en familles d’accueil), alors qu’en province c'est
l'inverse qui se produit (97% en familles d’accueil vs 3% en sites). Il est crucial d’appuyer les communautés hôtes en
province, notamment dans le Grand Sud, afin de leur permettre de continuer d’accueillir les PDI; et important de
promouvoir la cohésion sociale entre ces deux groupes de populations. Sans une résilience des communautés hôtes, le
nombre de sites en province risquera d’augmenter comme cela a été le cas dans la ZMPP. En effet, au début de la crise la
majorité des PDI dans la ZMPP étaient accueillies en familles d’accueil: seulement environ 2 PDI sur 10 étaient en sites en
2022 ; ce chiffre est passé à 6 PDI sur 10 en 2023. L’une des raisons principales à cette augmentation a été le manque de
ressources des communautés hôtes pour continuer à accueillir les PDI et la détérioration de la cohésion sociale dans ce
contexte.

Par ailleurs, 50 000 personnes retournées anciennement PDI ont été identifiées, notamment dans la ZMPP, à Croixdes-
Bouquets (21%), Cité Soleil (14%), Port-au-Prince (12%) ; dans le Sud à Tiburon (19%) ; et dans le Centre à Sauts
d’Eau (10%). Il est à souligner que pour le moment ces retours restent très fragiles et ne sont pas durables, notamment
dans la ZMPP.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Feb 24 2024
May 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment

Le Round 6, publié au début du mois de mars 2024, a indiqué que 362 551
personnes étaient déplacées internes en Haïti. Ce nouveau rapport indique la présence de 578 074 personnes déplacées
internes, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire
observée dans la ZMPP, la capitale d’Haïti, entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI
a été plus marquée en province où il a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des
violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

Le Grand Sud a été la région ayant connu la plus grande augmentation du nombre de PDI qui y sont accueillies (130%
de plus comparé au round 6). Près de la moitié (47%) des PDI dans le pays se trouvent dans le Grand Sud.

La majorité des PDI dans le pays sont accueillies en province : 68% en province vs 32% dans la ZMPP.

Les PDI en province sont principalement les personnes qui ont fui la ZMPP : 78% des PDI en province sont venues de
la ZMPP. L’Artibonite, où la moitié des PDI ont fui des zones situées dans ce département, fait exception. Dans tous les
autres départements du pays les PDI sont majoritairement venues de la ZMPP.

Au niveau national, la majorité des PDI sont accueillies en familles d’accueil : 80% contre 20% en sites. Cependant, dans
la ZMPP la majorité des PDI résident plutôt en sites (61% en sites vs 39% en familles d’accueil), alors qu’en province c'est
l'inverse qui se produit (97% en familles d’accueil vs 3% en sites). Il est crucial d’appuyer les communautés hôtes en
province, notamment dans le Grand Sud, afin de leur permettre de continuer d’accueillir les PDI; et important de
promouvoir la cohésion sociale entre ces deux groupes de populations. Sans une résilience des communautés hôtes, le
nombre de sites en province risquera d’augmenter comme cela a été le cas dans la ZMPP. En effet, au début de la crise la
majorité des PDI dans la ZMPP étaient accueillies en familles d’accueil: seulement environ 2 PDI sur 10 étaient en sites en
2022 ; ce chiffre est passé à 6 PDI sur 10 en 2023. L’une des raisons principales à cette augmentation a été le manque de
ressources des communautés hôtes pour continuer à accueillir les PDI et la détérioration de la cohésion sociale dans ce
contexte.

Par ailleurs, 50 000 personnes retournées anciennement PDI ont été identifiées, notamment dans la ZMPP, à Croixdes-
Bouquets (21%), Cité Soleil (14%), Port-au-Prince (12%) ; dans le Sud à Tiburon (19%) ; et dans le Centre à Sauts
d’Eau (10%). Il est à souligner que pour le moment ces retours restent très fragiles et ne sont pas durables, notamment
dans la ZMPP.

Jeux de données publique

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Emplacement
Haiti
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
  • Site Assessment
  • Village Assessment
Période couverte
Feb 24 2024 -
May 31 2024

Le Round 7 indique la présence de 578 074 personnes déplacées internes en Haïti, soit près de 60% de plus qu’au round 6. Cette augmentation est due à la détérioration de la situation sécuritaire observée dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), entre fin février et avril 2024 notamment. L’augmentation du nombre des PDI a été plus marquée en province où le nombre de PDI a augmenté de 95% (contre 15% dans la ZMPP). En effet, suite à l’augmentation des violences dans la ZMPP, de nombreuses personnes ont fui la capitale pour chercher refuge en province.

En plus de contenir les données sur le nombre des personnes déplacées internes et retournées, ce jeu des données contient des données sectorielles sur plusieurs secteurs : CCCM, Accès des enfants déplacés aux écoles, accès des PDI aux structures de santé, Redevabilité, Eau, Hygiène et Assainissement dans les sites spontanés, Accès aux marchés, etc.

Population Groups

IDPs

Returnee (Previously Internally Displaced)

Survey Methodology

Unit of Analysis Or Observation

Admin Area 2

Admin Area 3

Admin Area 4

Community

Site

Site or Location

Type of Survey or Assessment

Key Informant

Keywords

AAP

CCCM

Demographics

Education

Food security & livelihoods

Health

Mobility

Protection

Shelter

WASH

Geographical Scope Full Coverage

Administrative boundaries with available data

The current dataset covers the following administrative boundaries