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Crisis Responses
En juillet 2024, il est dénombré un total de 4 026 470 individus affectés, y compris 453 301 personnes déplacées internes (PDI) (11% de la population déplacée), 2 256 970 retournés anciennes PDI (56%), 531 919 retournés de l’étranger (13%) et 784 280 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (346 061 individus ou 47% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (210 483 individus ou 28% des réfugiés) et au Tchad (137 405 individus ou 19% des réfugiés). Néanmoins, 11 008 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Le pays est aussi le refuge d’individus de pays voisins avec 42 633 réfugiés venus du Soudan (28 659 individus), de la RDC (6 448), du Tchad (4 701 individus) et du Sud Soudan (2 825 individus).
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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Aug 05 2024
Aug 11 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de quatre informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC), des représentants des populations, avec descente dans les lieux affectés. Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations de la localité de Sékoulé vers la localité de Tolkomari dans l’arrondissement de Kolofata, département de Mayo-Sava, région de l’Extrême Nord – Cameroun.
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DTM Mali, DTMMali@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mali
Période couverte
Apr 01 2024
Jun 30 2024
Activité
- Survey
- Flow Monitoring Survey
- Flow Monitoring
Ce rapport met en exergue les principaux résultats issus de l’enregistrement de flux de migrants et des enquêtes individuelles effectués par la DTM auprès des migrants transitant aux différents points de suivi de flux (FMP) du Mali au cours du second trimestre de l’année 2024.
Les différents résultats témoignent du fait que le Mali soit l’une des principales routes empruntées par les migrants en Afrique de l’Ouest. En effet, la diversité des nationalités observées, des routes empruntées, des pays de provenance et de destination, démontrent la place prépondérante qu’occupe le Mali dans les mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre.
Les problématiques de la traite des personnes, du trafic illicite de migrants, de vulnérabilités, ainsi que l’insécurité observée de jour en jour sur les routes migratoires, auxquelles sont exposées les migrants restent des facteurs sur lesquels peu d’information sont fournies.
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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
French
Emplacement
Niger
Période couverte
Jan 01 2024
Mar 31 2024
Activité
- Flow Monitoring
Afin de mieux comprendre les mouvements et les tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix (DTM) en anglais), met en œuvre l’activité de suivi des flux de populations (Flow Monitoring (FM) en anglais). Le suivi des flux de populations, réalisé en collaboration avec les autorités et partenaires locaux et nationaux, utilise deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry (FMR) en anglais), qui recueille des données clés sur l’ampleur, la provenance, la destination et les modalités des flux de mobilités, ainsi que les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey (FMS) en anglais), conduites auprès des voyageurs afin d’obtenir des informations sur les profils, les parcours migratoires, et les intentions des migrants. Le suivi des flux de populations récolte ainsi des données sur les flux et les tendances migratoires, les profils des voyageurs, les parcours et les intentions des migrants, afin de fournir une meilleure compréhension des mobilités en Afrique de l’Ouest et du Centre. Au Niger, la DTM recueille des données aux dix (10) points de suivi des flux (Flow Monitoring Point (FMP) en anglais), dans le but d’identifier les zones à forte mobilité transfrontalière et intrarégionale, et de récolter des données sur les tendances de mobilité, les profils et les parcours des voyageurs. Ce rapport présente les données obtenues à travers ces activités entre les mois de janvier et de mars 2024, au niveau des dix FMP installés au Niger.
Ce document est une compilation de données collectées par l'OIM auprès de FRONTEX ainsi que des ministères de l'Intérieur italien, espagnol, grec et maltais sur les mouvements migratoires de l'Afrique de l’Ouest et du Centre (AOC) vers l'Europe entre 2017 et 2024 (janvier à mars). L'OIM travaille en étroite collaboration avec un large éventail d'acteurs, notamment des partenaires gouvernementaux et non-gouvernementaux, pour collecter et compiler ces données chaque trimestre. Ce document présente la situation des arrivées de migrants en Europe à partir de données datant de 2017 à 2024 (janvier à mars) du point de vue des mouvements en provenance d’AOC.
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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
French
Emplacement
Niger
Période couverte
Jun 01 2024
Jun 30 2024
Activité
- Flow Monitoring
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM, en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d’importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport a eu lieu du 1er au 30 juin 2024 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois
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DTM Niger, DTMNiger@iom.int
Langue
French
Emplacement
Niger
Période couverte
May 01 2024
May 31 2024
Activité
- Flow Monitoring
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM), à travers l’outil de suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM, en anglais) de la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM, en anglais), récolte des données à des points d’entrée, de sortie et de transit clés afin de mieux comprendre les mouvements de populations à travers l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le suivi des flux de populations est une activité qui permet de quantifier et de qualifier les flux et tendances de mobilités, les profils des migrants, et les expériences et routes migratoires. Depuis 2016, plusieurs points de suivi des flux de populations ont été progressivement installés dans d’importantes localités du Niger pour faire le suivi des flux migratoires dans le pays. La période de collecte de ce rapport s’est faite du 1er au 31 mai 2024 afin d’observer la tendance de la migration durant le mois
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dtmhaiti@iom.int
Langue
English
Emplacement
Haiti
Période couverte
Aug 01 2024
Aug 03 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Event Tracking
Ces informations ont été collectées à la suite d'incidents successifs dans la commune de Ganthier, plus précisément dans la 5ème section de Pays Pouri, la 3ème section de Fond Parisien, ainsi qu'une autre attaque dans la 4ème section de Mare Roseaux, survenues entre le 21 juillet 2024 et le 1 août 2024. Un total de 5 951 personnes (1 551 ménages) ont été déplacées en raison de ces attaques. La plupart de ces personnes (94%) ont trouvé refuge chez des proches, en familles d'accueil et 6% dans deux nouveaux sites. Ce rapport constitue une mise à jour du précédent publié après les événements du 21 juillet (voir ETT 45). D'autres mises à jour pourront être publiées en fonction de l'évolution de la situation de déplacement.
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DTM Tchad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
May 07 2024
Jun 08 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Baseline Assessment
- Site Assessment
Depuis 2015, le Tchad fait l’objet d’attaques perpétrées par des groupes armés non-étatiques présents dans le bassin du Lac Tchad engendrant des déplacements massifs de populations, aussi bien internes que transfrontaliers. Au Tchad, l’OIM met en œuvre sa Matrice de suivi des déplacements (DTM, Displacement Tracking Matrix en anglais) dans la province du Lac depuis mai 2015 pour mesurer l’évolution du nombre, des profils et les besoins des populations déplacées à la suite de cette crise, afin de mieux orienter les programmes humanitaires et de développement. Les données sont collectées à travers des entretiens avec des informateurs clés (autorités locales, chefs traditionnels, représentants des personnes déplacées et gestionnaires de sites) dans les villages et sites d’accueil des personnes déplacées, ainsi que par des observations directes dans ces localités. Ce tableau de bord présente les résultats des évaluations menées entre le 07 mai et le 08 juin 2024 dans 293 lieux de déplacement. En comparant le Round 23 et le Round 22 en termes de total de population déplacée, nous constatons que dans le Round 23, il y a une légère augmentation de 0,2 %, ce qui est insignifiant car cela représente moins de 500 personnes. Cela s'explique par le fait que, bien que certains sites soient abandonnés en raison du manque d'assistance et des déplacements préventifs dans certains cas, certaines personnes des sites abandonnés continuent à se déplacer vers des sites existants, par exemple, ceux qui ont quitté le site de Koulkime 3 (Baga-Sola) sont allés sur le site de Kollom (Bol). De plus, les attaques dans les îles ont conduit à la création de nouveaux sites de déplacement comme Tchoukou-Kebi. La situation de déplacement dans la province du Lac reste volatile, avec la création de nouveaux sites de déplacement spontanés et l'abandon de certains sites existants. Cette collecte de données a été réalisée en partenariat avec la Commission Nationale d'Accueil et de Réinsertion des Réfugiés et Rapatriées (CNARR), le gouvernorat de la province du Lac, la délégation provinciale du Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération Internationale (MEPCI) et la Croix-Rouge du Tchad (CRT). Les données ont été triangulées par la DTM et les acteurs humanitaires ont été impliqués dans l'élaboration d'indicateurs spécifiques aux clusters et l'analyse approfondie des données.
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DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
May 03 2024
May 08 2024
Activité
- Mobility Tracking
- Transhumance Tracking Tool
La mobilité pastorale ou transhumance est une tradition de longue date en Mauritanie, par laquelle des éleveurs, parfois des familles entières, y compris les enfants, se déplacent à la recherche d’eau et de pâturages. En conséquence, le calendrier et les itinéraires de transhumance se font en concordance des pluies, ainsi que de la distribution de l’eau et des pâturages, qui varient d’une saison à l’autre. Compte tenu des conditions environnementales difficiles en Mauritanie et des répercussions sur les productions végétales et animales, y compris sur la sécurité alimentaire des populations, et dans le contexte actuel d’aléas climatiques, économiques et sécuritaires croissants, on constate que les systèmes de mobilité pastorale connaissent des évolutions importantes sous les effets combinés du changement climatique, de la pression démographique, de la baisse de la fertilité des sols et de l’insécurité.
Dans le cadre du projet «Renforcement des capacités nationales et locales en matière de préparation et réponse aux catastrophes dans les zones frontalières et de transhumance couloirs dans la région du Hodh Ech Chargui en Mauritanie » financé par la Protection civile et aide humanitaire de l’Union européenne (ECHO) et mis en œuvre par l’Organisation Internationale pour les migrations (OIM), au niveau de la Wilaya du Hodh Charghi et plus précisément dans les moughataas de Bassikounou et d’Adel Bagrou, plusieurs activités sont mises en place y compris des activités de collecte de données sur la migration et le changement climatique.