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DTM Chad, dtmtchad@iom.int
Langue
French
Emplacement
Chad
Période couverte
Oct 01 2023
Dec 31 2023
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Afin de mieux comprendre les mouvements et tendances migratoires en Afrique de l’Ouest et du Centre, l’OIM, à travers la Matrice de suivi des déplacements (Displacement Tracking Matrix, DTM), met en œuvre l’activité de Suivi des flux de populations (Flow Monitoring, FM). 

Le suivi des flux de populations est un travail de collecte des données qui vise à identifier des zones sujettes aux migrations internes et transfrontalières et à mettre en lumière les caractéristiques et les parcours des personnes passant par ces zones. Il est mis en œuvre en étroite collaboration avec les autorités et les partenaires nationaux et locaux, à travers deux outils: l’enregistrement des flux (Flow Monitoring Registry, FMR) et les enquêtes individuelles (Flow Monitoring Survey, FMS). 

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DTMmauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Jan 01 2024
Feb 29 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Village Assessment

La Mauritanie est un pays particulièrement vulnérable aux risques de catastrophes telles que les sécheresses et les inondations. Dans le contexte du changement climatique, le pays a connu ces dernières années des événements environnementaux extrêmes se matérialisant par des sécheresses prolongées, des inondations et des feux de brousses ravageant d’importantes surfaces de terres agricoles.

Face à cette situation et à une menace toujours présente, il est devenu urgent de prévenir ces catastrophes et de renforcer la capacité des différents acteurs intervenant dans la réduction des risques de catastrophe et la gestion des catastrophes à faire face aux menaces. C’est dans ce cadre que dans le projet visant la réduction des risques de catastrophes, financé par la protection civile et l’aide humanitaire de l’Union Européenne, un réseau d’informateurs clés (au niveau communautaire) et un système d’alertes précoces sur les risques de catastrophes ont été mis en place au niveau de dix villages de la moughataa  (département) de Bassikounou et de dix autres dans la moughataa de Adel Bagrou. Ces informateurs clés remontent les informations (alertes météos, risques de sécheresses, etc.) vers un point focal des alertes qui se charge de vérifier la véracité et la pertinence de l’information avant d’en informer les services techniques compétents.

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DTM Haiti, DTMHaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Apr 16 2024
Apr 20 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment

Afin de continuellement informer les réponses humanitaires dans les sites de la ZMPP, le cluster CCCM et la DTM conduisent des collectes des données régulières dans ces sites pour mettre à jour les informations de base sur la situation de déplacement dans les sites. 

Ce rapport présente la situation au 20 avril 2024. Au total 85 sites sont actifs dans la ZMPP accueillant 90 254 PDIs, cela représente 1.4% de plus comparé à la dernière mise à jour du 4 avril. 

Jeux de données publique

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dtmhaiti@iom.int
Emplacement
Haiti
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
Période couverte
Apr 16 2024 -
Apr 21 2024

Ce dataset inclut les données sur les Populations Déplacées Internes résidant dans des sites dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP) à la date du 21 avril 2024.  Au total, 90 254 PDIs (21 982 ménages) sont accueillies dans 85 sites dans la ZMPP, soit 1.4% de plus qu'au 04 avril 2024. Sur les 85 sites, 36 sont des écoles. 

Population Groups

IDPs

Survey Methodology

Unit of Analysis Or Observation

Admin Area 2

Admin Area 3

Admin Area 4

Site

Site or Location

Type of Survey or Assessment

Key Informant

Keywords

CCCM

Demographics

Mobility

Geographical Scope Full Coverage

Administrative boundaries with available data

The current dataset covers the following administrative boundaries

Jeux de données publique

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DTMMadagascar@iom.int
Emplacement
Madagascar
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
Période couverte
Oct 01 2023 -
Oct 31 2023

La côte Est de Madagascar a été frappée en février 2022 par deux cyclones (Bastirai et Emnati) provoquant le déplacement de milliers de personnes qui ont trouvé refuge dans des sites temporaires et spontanés ou auprès des familles et proches. 4,612 personnes déplacées et 1,044 ménages déplacés ont été évalués au cours du troisième cycle.

Population Groups

Absent Residents (Departed In Country)

IDPs

Residents

Survey Methodology

Unit of Analysis Or Observation

Admin Area 2

Admin Area 3

Admin Area 4

Site or Location

Type of Survey or Assessment

Key Informant

Keywords

Education

Food security & livelihoods

Mobility

Protection

Shelter

WASH

Geographical Scope Partial Coverage

Administrative boundaries with available data

The current dataset covers the following administrative boundaries

Jeux de données publique

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DTM Burundi, DTMBurundi@iom.int
Emplacement
Burundi
Activité
  • Mobility Tracking
  • Baseline Assessment
Période couverte
Feb 02 2024 -
Feb 18 2024

IOM’s Displacement Tracking Matrix is a comprehensive system to analyse and disseminate information to better understand the movements and needs of Internally Displaced Persons (IDPs) in Burundi. The baseline assessment aims at providing information on the stock (presence) by colline of IDPs which are categorized into two groups: Internally Displaced Persons (IDPs) including IDPs who returned to their colline of origin but not their home and returnees who became IDPs. The baseline assessment also collects information on the cause of displacement and the type of shelter hosting IDPs. Data collection is conducted four times per year by trained Burundian Red Cross volunteers operating at all administrative levels: provinces, communes and collines. In Round 74, 79,917 IDPs and 17,008 displaced households were assessed.

Population Groups

IDPs

Returnee (Previously Displaced Abroad)

Survey Methodology

Unit of Analysis Or Observation

Admin Area 2

Admin Area 3

Site or Location

Type of Survey or Assessment

Key Informant

Keywords

Metadata

Mobility

Protection

Shelter

Geographical Scope Partial Coverage

Administrative boundaries with available data

The current dataset covers the following administrative boundaries

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DTMMauritania@iom.int
Langue
French
Emplacement
Mauritania
Période couverte
Jan 01 2024
Jan 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Site Assessment
  • Baseline Assessment

La transhumance en Mauritanie, et en particulier dans la wilaya du Guidimaghaa, est une pratique ancestrale qui consiste à déplacer périodiquement des troupeaux de bétail sur de longues distances à la recherche de pâturages et d'eau.

Dans la wilaya du Guidimaghaa, située dans le sud-est de la Mauritanie, la transhumance est une activité vitale pour de nombreuses familles qui dépendent de l'élevage pour leur subsistance. Elle accueille des mouvements provenant des régions voisines, telles que la wilaya du Brakna ou d'autres régions de la Mauritanie où les conditions de pâturage sont défavorables à certaines périodes de l'année. Il est également possible que des troupeaux proviennent de régions plus éloignées, voire d'autres pays comme le Sénégal ou le Mali.

Cependant avec les aléas climatiques, les routes sont souvent changées, entrainant des modifications sur les couloirs empruntés qui par conséquents peuvent amener des conflits principalement entre agriculteurs et éleveurs mais aussi entre éleveurs transhumants et/ou éleveurs locaux.

L’OIM avec le financement du Fonds des Nations Unies pour la consolidation de la paix (PBF) met en œuvre un projet dénommé : « Soutenir les capacités locales et communautaires de prévention et de gestion des conflits et des catastrophes liées au changement climatique au Guidimaghaa. », avec pour objectif principal de soutenir et d'améliorer l'accès des populations du Guidimaghaa à des moyens de subsistance plus durables et de renforcer l'engagement inclusif des communautés et des autorités dans la prévention des catastrophes et des conflits liés au changement climatique.

C’est dans ce cadre que l’OIM déploie son outil de suivi de la transhumance (Transhumance Tracking Tool (TTT), en anglais). dans la wilaya du Guidimaghaa et plus précisément dans les moughataas de Khabou, Sélibaby, Ould Yenge et Wompou dans le but de collecter des données sur les mouvements en transhumance et les risques de catastrophe pour ainsi guider les actions du projet.

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DTM Cameroon, DTMCameroun@iom.int
Langue
French
Emplacement
Cameroon
Période couverte
Apr 10 2024
Apr 15 2024
Activité
  • Mobility Tracking
  • Event Tracking

Le suivi des situations d’urgence (en anglais, Emergency Tracking Tool, ETT) est une des composantes de la Matrice de suivi des déplacements (en anglais, Displacement Tracking Matrix, DTM) déployée par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). Il a pour objectif de rassembler des informations sur les mouvements significatifs et soudains de populations, ainsi que sur des urgences sécuritaires et climatiques. Les données ont été collectées par observation directe et par des entretiens téléphoniques, auprès de cinq informateurs clés, principalement des autorités locales, des organisations non-gouvernementales (ONG), des organisations de la société civile (OSC) et des représentants des populations dans les lieux affectés.

Ce tableau de bord présente des informations sur le déplacement de populations des localités de Tourou et de Magoumaz vers les localités de Mokolo Centre (quartiers de Tascha Haman-Gawar, Zimangayak-Ldamtsai, Ouro-Kessoum et Mendézé) et le site de Mikilik dans l’arrondissement de Mokolo, département du Mayo-Tsanaga.

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DTM Haiti, dtmhaiti@iom.int
Langue
French
Emplacement
Haiti
Période couverte
Mar 08 2024
Apr 09 2024
Activité
  • Survey
  • Flow Monitoring Survey
  • Flow Monitoring

Depuis la fin du mois de février 2024, la situation sécuritaire s’est détériorée dans la Zone Métropolitaine de Port-au-Prince (ZMPP), la capitale d’Haïti. En plus de créer des déplacements à l’intérieur de la ZMPP, l’insécurité généralisée poussent de plus en plus de personnes à quitter la capitale pour trouver refuge dans les provinces, en prenant les risques de passer par des routes contrôlées par des gangs. Afin de suivre ces mouvements vers les provinces et informer les stratégies de réponse adéquates, la DTM a lancé des collectes de données au niveau de plusieurs stations de bus les plus utilisées dans la capitale (voir la page 5 pour plus de détails sur la méthodologie). En un mois de mise en œuvre de cette activité (depuis le 08 mars), elle a permis d’observer les mouvements de 94 821 personnes quittant la ZMPP (voir les pages 3 et 4 pour plus de détails sur le profil de ces personnes). Ces personnes ont en majorité (58%) pris des moyens de transport se dirigeant vers les départements du Grand Sud (Grande’Anse, Sud, Nippes et Sud-Est). Il est à noter que cette région accueille déjà plus 116 000 personnes qui avaient en grande partie fui la ZMPP durant des mois passés (voir le rapport sur les déplacements dans le Grand Sud).

La moitié de flux se sont dirigés vers 3 communes de destination principale : Jérémie (dans la Grande’Anse), Les Cayes (Sud) et Léogâne (Ouest). Il convient de souligner que les provinces n’ont pas suffisamment d’infrastructures et les communautés hôtes n’ont pas de ressources suffisantes qui peuvent leur permettre de faire face à ces flux de déplacements massifs venant de la capitale.

 

 Il convient de souligner qu’au début du mois de mars, lorsque la situation sécuritaire s’est empirée, ce sont les personnes qui étaient déjà déplacées internes (PDIs) qui ont été les premières à commencer à quitter la capitale. Au fil du temps, les personnes qui n’étaient pas de PDIs deviennent de plus en plus nombreuses à aussi quitter la capitale : au 10 mars, 86% des personnes quittant la ZMPP étaient des PDIs. Un mois plus tard, ce pourcentage a baissé à 60% alors que près de 40% sont des personnes qui n’avaient jamais fui leur résidence et qui décident de la quitter et chercher refuge en provinces. Ceci décrit encore plus la détérioration de la situation dans la capitale, vu que quitter la capitale pourrait être une décision relativement plus rapide à prendre pour une personne qui était déjà déplacée que pour celle qui était encore dans sa résidence et qui décide de la quitter pour chercher refuge en provinces.

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RO Dakar, RODakar-DataResearch@iom.int
Langue
English
Emplacement
Période couverte
Mar 01 2024
Mar 31 2024
Activité
  • Mobility Tracking

La République centrafricaine (RCA) souffre d’instabilité depuis deux décennies. La dernière crise atteignant le pays a débuté en 2012, suite à une prise du pouvoir violente, et a depuis évolué en un état d’insécurité et de fragilité permanent, découlant d’une crise complexe de long-terme qui s’est étendue dans les pays voisins. Cette dernière est caractérisée par des rivalités pour le pouvoir parmi les élites du pays, l’absence d’institutions étatiques et d’investissement d’argent public, des tensions inter-ethniques et inter-religieuses et la lutte pour le contrôle de ressources. Plus récemment, la partie à l’est du pays est affectée par la crise ayant éclaté mi-avril 2023 au Soudan, témoignant d’un nombre croissant de personnes déplacées.

En mars 2024, il est dénombré un total de 4 035 261 individus affectés, y compris 520 060 personnes déplacées internes (PDI) (13% de la population déplacée), 2 196 858 retournés anciennes PDI (54%), 528 521 retournés de l’étranger (13%) et 789 822 réfugiés (20%). En RCA, les personnes retournées, anciennement déplacées internes, représentent la majeure partie de la population affectée. Les réfugiés centrafricains ont pris principalement refuge au Cameroun (354 725 individus ou 47% des réfugiés), en République Démocratique du Congo (RDC) (212 211 individus ou 28% des réfugiés) et au Tchad (134 184 individus ou 18% des réfugiés). Néanmoins, 18 279 réfugiés centrafricains sont encore dénombrés au Soudan (2% des réfugiés). Depuis le début de la crise Soudanaise, ce sont 41 795 individus qui sont entrés en RCA. En effet, le pays est le refuge d’individus de pays voisins avec 34 012 réfugiés venus du Soudan (23 308 individus), de la RDC (6 425), du Sud Soudan (2 786 individus) et du Tchad (1 493 individus).